La Répression Dans Les Régimes Totalitaires

idéologies, différentes par leurs pensées, ont marqué les esprits : le fascisme, le nazisme et le stalinisme. Chaque idéologie repose sur la présence d’un parti unique et le contrôle total de l’Etat et de la vie des citoyens, d’où l’appellation de régime totalitaire. 1) En URSS : l’idéologie stalinienne Sur le fondement, elle repose sur la dictature du prolétariat. Staline voulait faire de l’URSS une grande puissance industrielle afin de créer un Etat « fort et autoritaire ». Quatre points essentiels

L’Œuvre intérieure et la politique extérieure du régime fasciste de 1922 à 1939 En 1922, Benito Mussolini instaure en Italie un nouveau type de dictature : le fascisme. Il base cette nouvelle société sur l’idée de Nation, c’est-à-dire une communauté unie par une identité culturelle, linguistique et religieuse. Le 10 juin 1924 le socialiste Matteotti est assassiné par un groupe fasciste. Mussolini aussi appelé le Duce signifiant guide en latin dispose de la totalité du pouvoir exécutif. Il

Composition Histoire : « L’ère stalinienne, des années 1930 à 1953 » | Comment s’est déroulé l’ère stalinienne, des années 1930 à 1953 ? PLAN I) 1930-1939 : La mise en place du régime Idéologie Collectivisation des terres (Famine 1932-33) Planification et industrie (Plan quinquennaux) Grands procès (Moscou 1938 goulag) II) 1939-1945 : La 2e GM Mise en place du conflit Pacte avec Nazi (non-agression pour envahir la Pologne en 1939) Retournement de situation (Hitler

particularité. D’après son étymologie ce mot signifie "système tendant à la totalité, à l’unité". Un régime totalitaire est donc  un régime à parti unique, n'admettant aucune opposition organisée et dans lequel le pouvoir politique tend à contrôler  la totalité des activités de la société qu'il dirige. Remarquons que ce mot est nouveau, car, il est apparu dans les années 1930 pour designer les régimes autoritaires. Quelques années plus tard, Mussolini le reprend pour montrer la suprématie de l’Etat

Il s’agit bien d’un Etat totalitaire (def page 88). À partir de 1946, commence la mise au pas des intellectuels accusés d’être contaminés par les idées de l’Occident. Des directives sont données pour imposer à tous le principe du « réalisme socialiste », ce qui signifie que les productions intellectuelles et artistiques doivent avoir un fort contenu idéologique et glorifier le Parti et son secrétaire général Staline. L’artisan de ce contrôle est l’idéologue du régime, Jdanov. C’est lui qui organise

CHAPITRE 3 : De la Russie à L’URSS (1905-1991) I. Antécédents : la Russie au début du XXème siècle 1) Régime Tsariste Monarchie dirigée par un tsar. Tsar : Chef de l’état. Il ne doit sa place de chef à personne. Autocratie : Pouvoir appartient à une seule personne, celle-ci ne doit des comptes à personne, pouvoir par moi-même, j’ai le pouvoir parce que je suis le fils ainé du tsar, devoir rendre de compte à personne. Dynastie des Romanov. Dernier Tsar = Nicolas II (Romanov), il règne

|État Fédéral : certaines compétences communes |Un régime totalitaire | | |Régime présidentiel =stricte séparation des | | | |pouvoirs : exécutif, législatif et judiciaire. |Staline a tout les pouvoirs = régime de | | |

traiter comme le feraient les États totalitaires qui les ont déchu de leur nationalité, car les droits de l’homme ont été reliés dès le départ à la souveraineté nationale, donc à la nationalité. Le Système totalitaire[modifier] Arendt dégage les caractéristiques propres du totalitarisme. Pour Arendt, le totalitarisme est avant tout un mouvement, une dynamique de destruction de la réalité et des structures sociales, plus qu’un régime fixe. Un mouvement totalitaire est « international dans son organisation

de la « lutte d’en bas » tout comme la nature de sa dissidence « apolitique ». L’une des caractéristiques les plus impressionnantes de ce personnage est qu’il n’était pas un homme politique : dramaturge de métier il se retrouva, de par son refus du régime caractérisé comme un dissident et emprisonné pour ses propos. C’est son implication humaine plus que son engagement qui lui valut sa place dans la société tchécoslovaque et son rôle dans l’Histoire. Il est incroyable de voir à quel point ses propos

classe. Traumatisé par la défaite, il rejoint le dépôt de son régiment alors aux mains d'un conseil de soldats (novembre 1918). En avril 1919, il assiste à Munich à la proclamation de la république des conseils de Bavière, puis à son impitoyable répression du 1er au 10 mai. Il est alors désigné pour enquêter, au sein d'une commission militaire, sur les événements révolutionnaires. En septembre 1919, il adhère au petit parti ouvrier allemand (DAP) – il en est le septième adhérent –, rebaptisé en