La Résistance Dans Les Camps Nazis

Allemands à dos et ont donc essayé de rester neutres (ne pas entrer dans la guerre). Cependant, on sait très bien que la neutralité de la Suisse peut être remise en cause à ce moment-là. Cependant, beaucoup de personnes ont quand même participé à la Résistance et ont sauvé des juifs. Pour cela, nous pouvons prendre l’exemple de Paul Grüninger qui, étant chef de la police de St-Gall, devait veiller à ce que les juifs n’entrent pas en Suisse. Toutefois, il réussit à fournir de faux papiers aux juifs pour

contre l’humanité ? Sommaire Document1 : la répression massive des nazis en Europe de 1939 à 1945 Document2 : les victimes juives de la seconde guerre mondiale Documents3 : Le génocide juif en Europe Document1 : La répression massive des nazis en Europe de 1939 à 1945 Source : http://www.courrierinternational.com Ce document est une carte. Il est pris d’internet. Son idée principale est de montrer dans quels camps d’extermination se sont fait tuer certains juifs, en Europe de l'est

Cérémonie de remise des prix du concours de la résistance et de la déportationMercredi 6 mai 2009 | Monsieur le Président du comité de coordination, Monsieur le président de l’ANACR, Monsieur le vice président du conseil général, Madame la conseillère régionale, Madame le maire-adjoint de Dijon, Mesdames et messieurs les élus, Monsieur le Procureur général, Messieurs les officiers généraux, Monsieur le président de la communauté israélite, Mesdames et messieurs les chefs d’établissement

grandes batailles de l’histoire, le siège de Stalingrad (17 juillet 1942-2 février 1943). 1) Stalingrad, une bataille idéologique Cette bataille est révélatrice du caractère idéologique de cette guerre. En effet, l’ordre est donné par les autorités nazis de n’avoir aucune pitié pour l’ennemi, contrairement au front de l’ouest. Les lois de la guerre de Genève ne sont pas respectées. Le but est d’anéantir l’adversaire, par tous les moyens. Côté soviétique, l’objectif est de ne pas reculer et de se

camp fait partie des camps de l’Emsland. (Autour du petit fleuve Ems). Les camps de l’Emsland, dont le plus connu est Esterwegen, appartiennent à ce que Olga Wormser-Migot a appelé les camps sauvages, expression reprise de l’allemand « Wilden Lager » : les 1ers camps de concentration, ouverts dès mars 1933, parfois dans des lieux improbables, plus ou moins provisoires. Ils sont dirigés par les SA ou la naissante Gestapo. Leur règlement intérieur est inspiré des prisons. Ces camps fermeront entre fin

principales visions qui s’opposent. Tout d’abord, les juifs et les non-juifs résistèrent aux nazis, dans toute l’Europe occupée (Lawton, 2000). Ces partisans volaient des armes, faisaient sauter des voies ferrées et tendaient des embuscades aux soldats allemands. Des juifs réussirent à s’échapper des ghettos et des camps de concentrations pour se cacher ou pour rejoindre la résistance. Cette résistance juive aux nazis s’accrut à mesure que les déportations s’intensifiaient et que les rumeurs de l’existence

d’État, d’une collaboration économique d’industriels ou banquiers, de la collaboration idéologique (collaborationnisme).Résistance : Terme qui recouvre toutes les activités qui visent à lutter contre le pouvoir dominant. Elle peut être spontanée, organisée, violente, non violente, etc. Il est utilisé ici pour évoquer les résistances aux totalitarismes et la Résistance en France contre l’occupant et ses collaborateurs. Question Quels sont les fondements de l’idéologie nazie ?

lieu dans le domaine industriel, par le biais de plans quinquennaux, avec de grandes nationalisations des industries (lourdes). A partir de 1934-35, la dictature de Staline se renforce. En effet, tous les opposants au régime sont déportés dans les camps de travaux forcés (Goulag) (document 3). Des milliers de soviétiques servent de main d’oeuvre gratuite sur les grands chantiers. De plus, Staline en 1936-38 organise de grands procès à Moscou qui lui permettent d’éliminer tous les vieux camarades bolcheviks

Europe durant la Seconde Guerre mondiale, 1939-1945. Cette carte montre tous les camps d'extermination (ou camps de la mort ), les camps de concentration les plus grands, les camps de travail, les camps de prisonniers, les ghettos, les routes principales et d'expulsion des lieux de massacre majeur. 2 Document 2 Source : Google images Ce document présente le plan d'un camp d'extermination. Ce type de camps doit permettre, en conformité avec l'idéologie nazie, d'exterminer les éléments

présentait comme des « ennemis ». Aussi la « solution finale » organisée et décidée lors de la conférence de Wannsee par des acteurs important du régime nazi, des SS, et de la Gestapo, a décidé du sort de ces millions de personnes mortes dans les Camps d’extermination et les chambres à gaz. Ces victimes étaient des juifs mais aussi des handicapés, des homosexuels, des opposants, des communistes, des tziganes, des slaves ou toutes personnes ne correspondant pas à l’idéal Aryen (issue de l’idéologie