La Satire Humaine

LB critique les partisans du roi. Dans la remarque 74 il formule une satire de cette cour par l’intermédiaire d’un regard étranger. Nous nous demanderons comment la bruyère utilise les codes du récit de voyage pour créer une description très sévère de la cour de Louis XIV. On peut diviser ce texte en 3 parties, d’abord la présentation de mœurs étrangères, ensuite une description ridicule des tenues des courtisans et enfin la satire de l’hypocrisie religieuse.Comment la bruyère utilise les codes du

Introduction La Bruyère a beaucoup observé les seigneurs du 17ème siècle. Il a été témoin de cette « comédie humaine ». Ces observations vont aider à l’écriture des Les Caractères publiés en 1688. Les Caractères sont la revanche du talent et de l’intelligence sur la naissance et la fortune. Au fur et à mesure que les éditions apparaissent, on publie les clefs révélant le nom des modèles des caractères. Louis XIV devient ainsi la risée du public. Dans cet ouvrage, La Bruyère critique les

analytique de la fable « Le rat qui s'est retiré du monde » (VII,3) Jean de la Fontaine extrait des Fables (1678) Introduction La Fontaine : moraliste du XVIIème siècle Conclusion : - objectif traditionnel didactique => ici : satire des religieux qui ne s'appliquent pas leurs préceptes -ouverture : Tartuffe de Molière => dénonciation des dévots (analogie dans description « gros et gras, le teint frais la bouche vermeille » v.234) -« Le songe d'un habitant du Mogol » fable

/ 4pts. Les trois extraits du corpus sont des textes argumentatifs qui dressent une satire de la justice. Nous allons voir comment la présence du narrateur, différente dans chaque texte, influe sur l’argumentation. Tout d’abord nous étudierons les différentes formes d’expression du narrateur dans les trois textes. Puis nous analyserons l’impact de la présence du narrateur dans le cadre de la satire judiciaire. Dans les trois textes du corpus, la présence du narrateur s’exprime de manière

C’est donc une valorisation pour ce personnage.
« chétif hôte des bois » = nobles de province. ~ Les Loups : 
Ils sont montrés cruels, aux ordres du Roi. Ils représentent une police forte, personnifiés par le champ lexical humain. (cf. Les animaux malade de la Peste) A. La satire explicite ~ Elle est contenue dans les âmes.
LF emploie de l’ironie lorsqu’il dit :« messieurs les courtisans » alors qu’il les compare à des animaux, ce qui les critique. De plus, « triste/gais » est une antithèse, ainsi

circonstances qui font attendre la suite => le récit reprendra à la fin : trois vers = le dénouement/ huit syllabes comme pour l’agneau => deux lieux/deux personnages : « l’onde/pure/le courant » # « le fond des forêts » => incarnation de deux types humains : l’innocence et la barbarie/ la victime et le tyran + à la fin : le récit toujours au présent de narration : « l’emporte et puis le mange » = brutalité + l’acte en train de se faire -> cruauté en actes. A l’intérieur du récit : le dialogue

diversité de son œuvre : poésie lyrique, satirique, épique, drame en vers et en prose, roman, etc. • Il sera le guide et/ou l’interprète des mouvements d’opinions car le poète a pour lui une mission : il diffuse les idées sociales et les sentiments humains (amour, patriotisme, etc). 1. Un talent précoce Né à Besançon en 1802 1er poèmes au Lycée (Louis le Grand) en 1815-1818 Grande ambition (1816 : « je veux être Chateaubriand ou rien ») Récompenses de l’Académie Française (1817)

confiance car il pense que c'est une société ouverte (opposé au v. 55) → Celui qui gagne est le plus fort, celui au pouvoir de la maîtrise de la parole III) La critique du fabuliste A) La société animale est l'image de la société humaine Lion : image du roi, à travers son discours, on comprend qu'il est hypocrite, aisance à la parole et ironie, sa puissance, férocité, maîtrise toutes les règles du jeu. Renard : image du courtisan, là pour flatter le roi, rusé. Loup : beau parleur

situations originales et exprimer, dans des répliques éblouissantes, la diversité des sentiments humains. De même, on lit avec plaisir et émotion les échanges de Ruy Blas et de Doña Sol dans la pièce de Victor Hugo ou la longue « tirade du nez » de Cyrano dans la pièce d’Edmond Rostand. Et, au-delà de la versification, on savoure à la lecture la subtilité des textes de Marivaux, l’ironie et la satire de Beaumarchais ou les débats désespérés des personnages de Giraudoux pour empêcher la... Comme

est plus narrative (35-36-43-44-72-111-113-fin). Les moments s’enchaînent successivement. La première partie est un portrait et est descriptive. L’ensemble étant modelé sur la passion, qui est tragique, pathétique, comporte une note d’ironie et de satire très brève (pudeur de la part du poète). Au vers 3 (« Quand Pauline Roland eut commis tous ses crimes ») il y a une critique acerbe. Au vers 110 (« les bourreaux eurent peur... »), c’est aussi une critique acerbe ainsi qu’au vers 126 (« crachez vos