La Science Désenchante T Elle Le Monde

Question Vives *Sociologie anthropologique Traditionnellement, la sociologie traite du même, du nous, de l’ici, l’anthropologie traite de l’autre du lointain. * Socio d’anthropologie Posture d’interdisciplinarité et de décloisonnement des sciences humaines. Société traditionnelles = exotique Anthropologie = société ancienne, communautaire. Sociologie = société contemporaine, occidentale, urbaine, Les méthodes qu’on développes en sociologie anthropologique = connaissance de l’être humain

Lumière est un siècle élancé vers le progrès et le développement des sciences, le bonheur est possible. Le romantique est un homme de sentiments, hanté par la mélancolie, l'ennui, la maladie, les ténèbres et même la mort. Le romantique contrairement au classique ne voit pas l'avenir comme quelque chose de meilleur, pour lui le temps est destruction et le progrès est remis en cause. Pour conclure le romantique est un pessimiste,un désenchanté.(voir le « mal du siècle ») *obscurantisme : attitude hostile

processus de désenchantement du monde. Il convient donc de se demander si ce désenchantement du monde dans les sociétés occidentales est total ? Pour tenter d’y répondre deux axes guiderons notre étude nous verrons d’une part que la modernité de nos société est du au désenchantement du monde puis nous verrons que cependant cette affirmation est à nuancer : la magie n’a pas complètement disparu à l’heure actuelle. I)La modernité se caractérise par un désenchantement du monde Les sociétés traditionnelles

Sciences politiques: Intro: a la découverte des sciences politiques. La science politique est une science sociale. I) Qu’est-ce que les sciences sociales? Définition: sciences sociales: sciences qui étudient les fonctionnements des sociétés passés et présentes, ici et ailleurs. Elles sont qualifiées de sciences molles à la différence de la physique, de la chimie, etc qualifiées de sciences dures. Le problème est qu’on ne peut faire l’expérience qu’une seule fois. P.Bourdieu: « les sciences

une classe qui détermine le métier. Ce qui produit le changement c’est la lutte des classes. Synthèse Weber Il est considéré comme le fondateur de la sociologie avec Durkheim, très engagé politiquement. Il considère la sociologie comme une science empirique compréhensive, et non explicative comme Durkheim, car elle cherche à comprendre l’action individuelle en partant de phénomènes macro sociaux. L’objet premier de la sociologie wébérienne est donc l’étude de l’action sociale, c-a-d toute conduite

également celui qui trouve un accord entre sa pensée, son corps et ses passions. Pour se rapprocher de cette sagesse, l'homme doit unir ses pensées et ses actes. La sagesse se base aussi sur la connaissance et ce, qu'elle soit la connaissance de soi ou du monde. Cependant, le terme de sagesse a évolué avec le temps et avec la société. Nous associons maintenant la sagesse à l'ancienneté ainsi qu'à l'expérience de la vie même si elle conserve son objectif d'idéal. Il est d'autant plus difficile d'avoir pour

responsabilité) Discours sur le peu de réalité Être libre : c’est trouver dans la réflexion personnelle les ressources nous permettant de nous orienter dans le monde, être capable de philosopher. Quelles en sont les conditions ? a. éloignement des limites politiques b. se comprendre soi-même c. comprendre le monde extérieur Problèmes : les limites naturelles 1. opacité a autrui : on ne perçoit autrui que par ce qu’il exprime et par le discours des autres

12-16 ans en Norvège: un monde désenchanté », Revue française de science politique, n°4,1988. -Berger (P.) et Luckmann (T.), La construction sociale de la réalité, Paris, Méridiens Klincksieck, 1986. -Easton (D.), Dennis (J.), Children in the political system : origins of political legitimacy, New York, Mac Graw Hill, 1969. -Festinger (L.), Riecken (H.W.) et Schachter (S.), L'échec d'une prophétie : psychologie sociale d'un groupe de fidèles qui prédisaient la fin du monde, Paris, Presses universitaires

fonction de refléter un ordre cosmique indépendant des hommes et parfait. Autrement dit quand l’art était sacré (“hiéros” en grec) il y avait une hiérarchie des valeurs esthétiques. L’art n’a plus cette fonction dans notre civilisation où la science a désenchanté le monde, et où nous accordons plus d’importance aux complexités de la vie psychologique des individus qu’aux rapports harmonieux dans le cosmos. Il n’y a pas de critères esthétiques objectifs et universels, c’est à dire relevant de l’univers lui-même:

reste régi par la logique de l’efficacité (Chapitre6). * Le travail constitue-t-il aujourd’hui le lien social ? (Chapitre 7). * Historique et critique de l’économie actuelle (Chapitre 8). * Réinventer la politique (Chapitre 9). * Désenchanter le travail, propositions de changements (Chapitre 10). II) Enjeux L’actuel paradoxe des sociétés fondées sur le travail L’emploi occupe aujourd’hui une place centrale dans nos sociétés mais le travail est actuellement au cœur d’un paradoxe :