La Science Est Elle Désintéressée

rationnel. Domaine du raisonnement logique c'est-à-dire la science l’ordre de la science . La philosophie ici est une quête de vérité, d’un savoir objectif et certain. L’ordre caractérise la rationnalité. Le philosophe veut connaître le monde qui l’entoure. Ces 2 sens du mot sagesse montrent que la philosophie est un discour qui a une dimmension critique (ordre du jugement de valeur) mais aussi contemplative ( quête de savoir, observation désinteressée du monde) 2 aspects fondamentaux de la philosophie :

Introduction Pourquoi se demander si l'art est moins nécessaire que la science ? Cette question présuppose l'existence de critères en vertu desquels on les évalue. Or ce point n'est pas évident. Chaque domaine a sa spécificité, il suppose une formation différente et ne vise pas les mêmes objectifs. Un artiste dévoile la beauté ou la laideur du réel, un savant cherche à l'expliquer sans prendre en compte des critères esthétiques. La comparaison s'établit donc en fonction d'un troisième domaine

Le statut de la philosophie a évolué au fil du temps. Regroupant au départ toutes les sciences, elle s'est peu à peu vidée de tous ses domaines. La plupart des questions les plus fréquemment posées par l'homme ont une science qui leurs sont consacrées, il ne reste rien à la philosophie ou du moins, rien qui puisse apporter quelque chose comme peuvent le faire les sciences. Ainsi, nous pouvons nous demander si une discipline comme la philosophie, qui apparaît vraisemblablement comme obsolète, ne serait

très grand de la tradition, du passé et peu novateur. A la différence de la technologie, l’artisanat est un corps de métiers conservateurs. La technique artisanale est préscientifique. Alors qu’on dit que la technologie est une application de la science. Cette forme de technique artisanale ne peut être que limitée dans ses prétentions. Elle n’a pas pour optique de bouleverser l’ordre de la nature mais plutôt de reproduire à son niveau les processus naturels. C’est ce que Aristote dit quand il dit

susceptibles d'être développés et transmis, et non des dons ou capacités innées. Il est vrai qu'avec le développement des sciences, la technique s'est considérablement développée. Elle en est même venue à changer de forme, abandonnant son caractère artisanal pour devenir une technologie, c'est-à-dire un ensemble de dispositifs et de procédés dérivés de théories scientifiques. Fondée sur la science, cette technique n'est plus celle, traditionnelle, de l'artisan ; elle devient, à partir de la Renaissance, le

dans une société (patrimoine). Fait intervenir tradition (conservation des techniques), héritage (amélioration des techniques) et innovation (en invente de nouvelles). Progrès | La technique: Recherche l'utilitaire (rend service, n'est pas désintéressée). Vouée, au service de la vie. | Qu'est ce qui pousse l'Homme à inventer des techniques? L'origine de la technique n'est-elle pas liée à la faiblesse naturelle des Homme ? (Platon) But de la technique: vaincre le dénuement

3e partie : les pratiques humaines A. La croyance en la science Introduction : La science décrit ce qui est (un jugement de fait) et la croyance s’interroge su ce qui doit être (un jugement de valeur). Ex : « cette chose est blanche », description. « Cette chose est bonne », lui attribue une valeur. Or, « ce qui est » ne peut-il encore être une croyance ? Affirmer l’objectivité des connaissances n’est-ce pas encore un objet de croyance ? Définir la notion de « croyance » : 1) simple opinion (croire

sa propre fin ou bien faut-il soupçonner cette conception libérale de la connaissance d’entretenir un rapport illusoire à elle-même ?    Car les démystifications opérées par les philosophies du soupçon quant au principe d’une activité humaine désintéressée invitent à se demander si les motivations de l’effort de connaissance ne sont pas moins  pures qu’on le prétend et ses fins moins nobles. Qu’est-ce donc qui peut nous déterminer à poursuivre le savoir comme une fin souveraine ? Une inaptitude foncière

en recherchant des solutions à partir de ses facultés de réflexions théorique, qui somme toutes, évoluent de manière à dégrader globalement notre écosystème : il parait contradictoire de parler d'évolution réfléchie des sciences par rapport aux répercussions alarmantes que la science engendre sur notre environnement, pensons aux nucléaires, aux polluants ménagers, industriels etc. Cependant les exemples énoncés ci-dessus ne rendent pas comptent de la valeur de nos actes, la survie, son intérêt propre

la tradition. D'une part, il cherche des « connaissances qui soient fort utiles à la vie », d'autre part la science cartésienne ne contemple plus les choses de la nature, mais construit des objets de connaissance. Avec le cartésianisme, un idéal d'action, de maîtrise s'introduit au coeur même de l'activité de connaître. La science antique & la philosophie chrétienne étaient désintéressées ; Descartes veut, lui, une « philosophie pratique ». « Ce qui n'est pas seulement à désirer pour l'invention