La Science Ne Fournit Elle Que Des Certitudes

révélera effectivement l'importance des éléments non verbaux de ce début de pièce. Par ailleurs, on s'interrogera sur l'éventuelle fonction d'exposition de ce passage. 1. Le cadre spatiotemporel Traditionnellement, une exposition théâtrale fournit au lecteur, comme au spectateur, des indications relatives au cadre spatiotemporel de l'action. En ce sens, l'ouverture de Rhi­nocéros reste en partie classique, si on la compare à d'autres pièces du théâtre des années 1950-1960, qui ancrent volontiers

traduit de l'italien par Diane MÉNART, Albin Michel, 1989 ; Timothy KENDALL, Kingdom of Kush,in National Geographic, "Into the tombs of Kings and Queens", pp. 112-113 ; Henri de SAINT-BLANQUAT, "Les Bushmen racontent l'art de leurs ancêtres", in Sciences & Avenir, n° 531, mai 1991, pp. 95-99 ; Set setal – Des murs qui parlent – Une nouvelle culture urbaine à Dakar, Dakar, ENDA, 1991). . etc.   .B. Les arguments d'ordre sociologique mettent en évidence des traits communs aux sociétés de l'Egypte

illusoires de celles réelles. Toutefois, même si toute connaissance qui nous vient de l'expérience sensible soit douteuse, ne le sont pas ces connaissances dont la vérité estindépendante du monde corporel, telles l'arithmétique, la géométrie et des sciences similaires. Descartes fait tomber dans le doute même ces dernières, en disant qu'il pourrait y être un Dieu, tout-puissant, qui nous trompechaque fois qu'on utilise les mathématiques et qui nous fait croire comme vraies des choses fausses. C'est

montré que l’infir- mier(ère), dans cette fonction d’entremise qui requiert une pratique de déplacement, offre des prestations dans un espace-temps variable [4]. En fait, l’usager des presta- tions soignantes, quel qu’il soit, est toujours celui qui fournit l’information (mémorisée, directe ou différée) nécessaire à la conception et à la production du service. La personne soignante reste alors confrontée aux aléas de l’existence humaine, puisque les compétences récla- mées par son activité dépendent

progressives définissent le choix optimal », puisque ce n’est vrai que lorsque des processus sous-jacents certaines propriétés, par exemple, lissage, concavité, homogénéité et divisibilité du produit, « environnement » immuable, information complète (certitude) manque de comportement stratégique, absence de facteurs externes et rendement d’échelle croissant. Sinon la « convergence » ne peut pas non plus être prouvée (mathématiquement) sur papier et de tels mécanismes, sans l’aide d’une structure de contrôle

Modernité de l’esprit et certitudes au XIXème et XXème siècle Par : Hajji Ismail I. Avènement de la modernité. A. Dynamique de la modernité. 1. Dates et définitions. Le mot moderne apparaît pour la première fois au XIVème siècle. La notion de modernité est une notion difficile à définir car elle n’a pas de limitations. En effet on peut se demander quand celle-ci commence. Trois évènements jalonnent la modernité : - La révolution française à la fin du XVIIIème siècle incarne, dans la réalité

Certains individus auraient des connaissances, des liens avec les puissances de la nature et pourraient agir sur ces forces. La religion a condamné ces pratiques comme sorcellerie alors qu’il s’agit probablement des premiers balbutiements de la science. Double étymologie du mot: Etymologie des auteurs chrétiens (Tertullien) Religio, ligare, religare : lier, relier. La religion est donc un lien de piété avec la divinité, lien affectif, une attache, une dépendance à l’égard de Dieu. Ce lien

l’homme. « Ma Présentation de moi-même montre comment la psychanalyse devient le contenu de ma vie, et se conforme ensuite à ce principe justifié que rien de ce qui m’arrive personnellement ne mérite d’intéresser au regard de mes relations avec 3 la science. » Dans cette étroite liaison entre existence, projet scientifique et relation au monde, l’élément dominant est donc le projet intellectuel qui aboutit à la découverte de la psychanalyse entendue indissolublement comme thérapeutique et comme modèle

ne voit pas bien quel en est le sujet. Les matières que l'on étudie dans le cours de philosophie sont très variées et elles sont abordées d'une manière inhabituelle qui suscite méfiance ou enthousiasme : on est en effet amené à réfléchir sur les sciences, sur l'art, etc., mais sans être soi-même scientifique ni avoir nécessairement le moindre talent artistique. La philosophie apparaît donc comme une matière hétéroclite, sans contenu bien précis, et le philosophe comme un individu capable de parler

propre volonté du sujet. Mots-clé: Hume, nécéssité, causalité, induction, liberté de la volonté, imagination. 1. Nécessité, causalité et déterminisme Hume aborde le thème de la causalité en partant de la perspective mécaniste considérée par la science du XVIIe siècle.1 Il s’agit de la même idée de causalité professée par Aristote quant à la cause efficiente : «ce qui cause le commencement du mouvement».2 La causalité est descriptible, selon Hume, de la manière suivante: Deux objets peuvent,