La Science Peut Elle Lutter Contre Le Fanatisme

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INTRODUCTION L’islam, troisième religion monothéiste du monde, représente aujourd'hui plus d’un milliard deux cents millions de fidèles. Il véhicule auprès des sociétés occidentales des images passéistes, d’immobilisme, de fanatisme et de violence vecteur principal d'expression des mouvements islamistes, et suscite un sentiment de méfiance et de suspicion des occidentaux. De plus, l’Islam apparaît comme rétrograde dans sa conception du vécu féminin. Un constat s’impose : dans

Sciences sociales – Synthèse de la 1ère partie Cette synthèse a été réalisée à partir des deux ouvrages suivants (surtout les passages consacrés à l’analyse de la pensée des auteurs) : Aron R., 1967, Les étapes de la pensée sociologique. Montesquieu. Comte. Marx. Tocqueville. Durkheim. Pareto. Weber, Paris, Editions Gallimard. Delas J.-P. et Milly B., 2005, Histoire des pensées sociologiques, Paris, Armand Colin. Introduction Les sciences sociales (dont la sociologie) sont bien souvent

l’agenda de… » qui signifie « faire partie du programme ». L’expression s’est banalisée dans la presse. Un journal anglo-saxon écrira facilement « une intervention militaire est sur l’agenda du gouvernement ». La notion est aussi fréquente dans les sciences humaines, et particulièrement la sociologie américaine des médias. La « fonction d’agenda » (agenda setting) y définit une capacité propre aux mass media : déterminer ce qui fera débat, sélectionner les événements et les sujets auxquels s’intéressera

elle lutte de toute son énergie contre le militarisme et connaît à nouveau la prison. Eclate la révolution russe qui apporte tous les espoirs aux révolutionnaires du monde entier. Sentiments généreux, mais dangereux pour le système capitaliste ; l'Amérique déporte plus de deux cents agitateurs vers leur pays d'origine : Emma Goldman et Alexandre Berkman sont du convoi. Rapidement déçus par ce qui se passe en Russie (absence totale de liberté, réaction contre les révolutionnaires éprouvés, extermination

STMG L'artSéquence 2. L’existence humaine et la culture Chapitre 1. L’art L’art peut se définir comme l’activité créatrice par laquelle les hommes ajoutent quelque chose à la nature: ils produisent quelque chose d’artificiel, qui se rajoute au donné naturel. Au sein de l’art, on peut distinguer entre ce que fabrique l’artisan et ce que créé l’artiste: - l’artisan produit grâce à ses compétences et son expertise, ses savoir-faire, des objets destinés à l’action, qui sont utiles pour les usages

séparation, la douleur. On peut le reconnaître par : • Les champs lexicaux de la souffrance et de la mort. • Les métaphores et les comparaisons qui renforcent l’expression des sentiments. • Les hyperboles et oppositions qui intensifient l’émotion. • Les ellipses narratives qui laissent deviner l’horreur de la situation. • La ponctuation expressive : questions oratoires, exclamations… > Le registre tragique Il est lié au genre théâtral de la tragédie, mais on peut également le rencontrer dans

les sciences criminelles : Le Droit Pénal fait parti d'un ensemble plus vaste qui sont les sciences criminelles. Où se situe le droit pénal ? Il existe 2 types d'approche des sciences criminelles. Les sciences criminelles et les disciplines à vocation juridique mais aussi les sciences criminelles et les disciplines à vocation scientifique. A – Les sciences criminelles et les disciplines à vocation juridique : Le droit pénal fait parti d'un ensemble plus vaste qui sont les sciences criminelles

version numérique par Jean-Marie Tremblay, bénévole, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Courriel: jean-marie_tremblay@uqac.ca Site web pédagogique : http://www.uqac.ca/jmt-sociologue/ Dans le cadre de la bibliothèque: "Les classiques des sciences sociales" Site web: http://classiques.uqac.ca/ Une bibliothèque développée en collaboration avec la Bibliothèque Paul-Émile-Boulet de l'Université du Québec à Chicoutimi Site web: http://bibliotheque.uqac.ca/ Beccaria, Traité des délits et des

entendit une voix qui assura qu’il avait été promu au rang de dieu par les divinités. Il fut dès lors honoré sous le nom de Quirinus, vieille divinité qui passait pour sabine et qui avait un temple sur le mont Quirinal5. En tant que Modernes, on peut se demander si les Romains croyaient à l’ensemble de ces légendes. Vraisemblablement, ils n’accordaient pas une foi aveugle aux détails, mais ils en acceptaient le concept. Rome était non seulement un ensemble de maisons et de bâtiments, elle était