La Science Peut Elle Se Passer De Métaphysique

ne voit pas bien quel en est le sujet. Les matières que l'on étudie dans le cours de philosophie sont très variées et elles sont abordées d'une manière inhabituelle qui suscite méfiance ou enthousiasme : on est en effet amené à réfléchir sur les sciences, sur l'art, etc., mais sans être soi-même scientifique ni avoir nécessairement le moindre talent artistique. La philosophie apparaît donc comme une matière hétéroclite, sans contenu bien précis, et le philosophe comme un individu capable de parler

représentation sociales étaient des manifestations privées. La sociologie dévoile des choses que l'on ne voit pas. On est le produit de conditionnement sociale. La sociologie va montrer des choses que les autres disciplines ne montrent pas. Comment peut in expliquer le social par le social ? (Émile DURKHEIM). La sociologie : c'est une études qui ce veux scientifique du social en tant que tel. Soit cette études va se faire au niveau des relations interpersonnelles soit au niveau macroscopique

Un document produit en version numérique par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Courriel: jmt_sociologue@videotron.ca Site web: http://pages.infinit.net/sociojmt Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" Site web: http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index.html Une collection développée en collaboration avec la Bibliothèque Paul-Émile-Boulet de l'Université du Québec à Chicoutimi Site web: http://bibliotheque

manière connu de nous) qu’il suscite l’entreprise scientifique. Il faut donc qu’il existe en quelque sorte une pré-science pour que la science se développe. 2. Oui, notre connaissance du réel se limite au savoir scientifique A. Il n’est de connaissance que scientifique C’est à tort que nous appelons connaissance ce qui n’est qu’appréhension, intuition ou approximation du réel. La science est justement ce qui cherche exclusivement la connaissance du réel. Bachelard montre ainsi dans La Formation

pas la foi mais la raison qui peut procurer à l'homme la liberté. La morale doit donc se libérer de toute référence (comme la religion,les Églises) extérieure à la raison humaine. “Le sentier de la liberté est le seul où il soit possible d'user de sa raison dans la conduite de sa vie." métaphysique : Domaine de la connaissance qui dépasse ce que nous pouvons connaître au moyen de nos sens, de l'expérience. Dieu, l’immortalité, l’infini sont des problèmes métaphysiques. Kant recherche dans la Fondation

connaissance qu’il avait des sciences de son temps (de la récente la physique newtonienne, tout particulièrement), auxquelles il contribuera d’ailleurs. Le jeune Kant pensait en outre que nous pouvions, à l’aide de la seule raison, répondre à certaines grandes et ultimes questions concernant Dieu, le monde envisagée dans sa totalité et dans son ultime réalité, l’âme ou la liberté humaines, et qui constituent le domaine de ce que la philosophie classique appelait la métaphysique spéculative. Or, constate

transitions (entre les différentes parties de la dissertation) sont rédigées et soulignées en italique. Entre croire et savoir, faut-il choisir ? Depuis la parution de l'Origine des Espèces jusqu'à aujourd'hui, le darwinisme alimente un conflit entre la science et la religion, la théorie de l'évolution et le principe de la sélection naturelle apparaissant strictement incompatibles avec la lettre des Écritures. Au regard de celles-ci, les espèces animales telles que nous les connaissons sont fixes depuis

de la raison signifie qu'il en conteste l'aspect métaphysique en tant qu'objet déductif de la connaissance. Il est alors évident qu'il réfute la relation entre immutabilité et tantrisme. Il convient de souligner qu'il en spécifie l'expression subsémiotique en regard de la raison ; le paradoxe illustre, par la même, l'idée selon laquelle l'ultramontanisme post-initiatique n'est ni plus ni moins qu'un ultramontanisme post-initiatique. On ne peut considérer qu'il conteste, par ce biais, l'analyse

l’argumentation théologique en faveur de l’existence par l’observation de la nature)5. Koyré peut ainsi déclarer : La science nouvelle, cette science dont les Essais nous apportent des échantillons, ne se contente pas de chasser l’homme, et la Terre, du centre du Cosmos : ce cosmos, elle le brise, le détruit, l’annihile en ouvrant à sa place l’immensité sans bornes de l’espace illimité6. Cependant, on peut tout de suite observer une différence essentielle et manifeste, entre les deux démarches :

est notamment une méthode afin d’atteindre un degré de certitude et de vérité tel que l’exige la connaissance et la science. C’est d’ailleurs à l’origine d’une science parfaite que le doute prend toute sa valeur dans l’étude des fondements de la connaissance. C’est ce que l’on peut observer chez Descartes avec sont doute systématique dans la première de ses Méditations métaphysiques. Par le doute, peu se manifeste la liberté de l’esprit tant qu’il peu se débarrasser de tous les opinions et préjugés