La Scénographie

souvenirs de voyages ? Comment parvient-il à faire de ces acteurs handicapés les porte-paroles de la vie ordinaire ? Nous verrons d’abord comment la scénographie dévoile un espace de représentation intime, ensuite nous analyserons le jeu de ces comédiens en situations d’handicap, qui font d’eux des porte-paroles de la vie ordinaire. I. Une scénographie qui fait de la scène un espace de représentation intime 1. Des containers évoquant le voyage, la vie quotidienne Sur la scène, 4 containers de

fabrications à leurs usages et enjeux. Le parcours permettra de prendre conscience des usages courants des brosses, puis de découvrir leurs utilisations spécifiques. Chaque section présentera des gammes complètes, innovations, documents. La scénographie, inventive, fera appel aux matières et savoir-faire de la brosserie, les rendant ainsi sensibles. Les animations Durant toute la manifestation, auront lieu des démonstrations de montage main et des animations par des professionnels usagers

la tragédie, et ainsi, par le théâtre de Racine. Scénographie Tout au long de la pièce, les personnages évoluent dans un atrium romain, qui est un lieu de passage avec un bassin au centre et des colonnes sur les cotés. Ce bassin figurait au centre de la scène, nommé aussi apluvium. Les colonnes n’étaient pas des colonnes antiques mais des panneaux de bois gris les représentaient, épurant ainsi les formes de cette scène. En effet, la scénographie, mise en place par Gilles Taschet comporte peu d’effets

Mlle Azimont Virginie, bonne chez Beauperthuis Mlle Gallois Une femme de chambre de la Baronne Mlle Chollet Un caporal Floridor Un domestique Andrieux Entrée au répertoire de la Comédie-Française en mars 19381 mise en scène de Gaston Baty, scénographie et costumes de Louis Touchagues, musique d' André Cadou Pierre Bertin (Fadinard), Gisèle Casadesus (Hélène), André Brunot (Nonancourt), Irène Brillant (Anaïs), André Bacqué (Beauperthuis), Béatrice Bretty (la Baronne de Champigny), Maurice Chambreuil

perdu. » Le Client Mise en scène de Jean-Christophe Saïs en janvier 2005 au Théâtre des Abbesses à Paris Mise en scène Jean-Christophe Saïs ; Avec Nathalie Royer et Laurent Vercelletto ; Texte Koltès ; Musique Gilbert Gandil ; Scénographie Jean Tartaroli et Jean-Christophe Saïs ; Costumes Montserat Casanova ; Lumière JeanTartaroli ; Production Théâtre de la Ville, Paris, Scène nationale d'Orléans et Scène national de Blois « Mais plus un vendeur est correct, plus l’acheteur

vie d'un des personnages principaux de la pièce « un être humain a beaucoup de possibilités n'est-ce pas ? » Nous allons donc nous intéresser à la scénographie de la pièce car elle rendue tout particulièrement intéressante par son originalité ainsi que par la pluralité des supports utilisés. Avant toute chose, redéfinissions le terme : scénographie. Il désigne l'ensemble des éléments picturaux, plastiques et techniques qui permettent l'élaboration d'une mise en scène, notamment théâtrale. Le metteur

spectateur : par l’écoute, le souffle, les gestes, le parcours, le rythme. - A la fin de l’exposition, dans la rotonde, le spectateur est invité à devenir lui même créateur de musique plastique, à l’aide d’une tablette numérique. CONCEPT DE LA SCÉNOGRAPHIE Le transport, le voyage musicale, qui place la vision et l’écoute au coeut du parcours. « Rythmes et sons font de la musique une variation sur le morcellement du temps. Pourtant, quelque chose travaille la musique qui ne se mesure pas en temps

mise en scène LAURENT DELVERT CORNEILLE PRODUCTION / LES THEATRES DE LA VILLE DE LUXEMBOURG - LE THEATRE D’ESCH LA COMPAGNIE NTB d’après CINNA… d’après CORNEILLE mise en scène scénographie Laurent Delvert Frédéric Rebuffat Louise Deschamps-Wallon costumes Lumière créa�on sonore vidéo Fred Millot Madame Miniature NN La Distribu�on comprendra 5 acteurs Cinna - NN Emilie - Myriam Muller Maxime - Stéphane Daublain Auguste - Vincent Schmi� Livie / Fulvie - Sandrine A�ard

branche de l’art scénique, un genre de spectacle qui a à voir avec l’interprétation, la représentation et la mise en scène, par lesquels sont exécutés en la présence d’un public. Cet art regroupe le discours, les gestes, les sons, la musique et la scénographie. De plus, le théâtre désigne aussi le genre littéraire comprenant les ouvrages dramatiques qui ont lieu sur la scène (ou sur le plateau) et le bâtiment dans lequel se déroulent les pièces de théâtre. Aujourd’hui, il existe des pièces faites

olympiques de 1936, ou encore Mère blafarde, tendre sœur (d’après Jorge Semprun, 1995) à Weimar dans un cimetière. ( » Sur la grand-route » ). Son théâtre, c'est un théâtre qui se fonde sur l'écoute. Un théâtre sur le théâtre à la source. Ses scénographies sont la concrétisation d'une quête artistique, tournée vers le murmure, la lenteur, l'épure, l'effacement. Il s'agit de « dé-théâtraliser » pour aller à l'essentiel. Bérénice: Dégagée de tout maniérisme, la mise en scène, d'une retenue saisissante