La Silhouette

CORBUSIER ET LE MODULOR • Expliquer ce qu’est Modulor. Intégrer une image. Le Modulor est une notion architecturale inventée par Le Corbusier en 1945. Silhouette humaine standard. • Pourquoi utilise-t-il le Modulor : nommer ses 2 préoccupations. On utilise le modulor pour calculer la hauteur du plafond en utilisant la taille d’une silhouette standard plus la hauteur de son nombril : Premièrement Le Corbusier pense créer un système plus adapté que l'actuel, car il est directement basé sur la morphologie

donné à ce manuel se trouve inséré dans une bulle -sur fond blanc- qui préfigure la prise de parole, la voix d’un locuteur qui dit « Taxi ! » (grosses typographies rouges). Le locuteur est représenté par une silhouette noire, placée dans l’angle inférieur de la couverture, à gauche : cette silhouette représente un sujet qui lève le bras et, en faisant ce geste, appelle un taxi. Geste et parole de l’apprenant sont donc évoqués dans cette mise en scène d’ouverture. A ceci, il faut ajouter deux étiquettes

et mouchetée de petites touches horizontales d'un bleu soutenu, comme autant de vaguelettes. A l'arrière plan, on devine des silhouettes de grues sur des docks, de grands voiliers à quai, de cheminées d'usines. On retrouve ici plusieurs thèmes chers à Monet : l'illustration de l'essor industriel du 19e siècle, la représentation de l'eau, l'inscription de la silhouette humaine dans le paysage.  Mais surtout, le tableau exprime pleinement la recherche essentielle de Monet : le rendu de l'instant

préféré agir seul et rester de son coté comme s’ils ne se voyaient ni se reconnaissaient. C’est cet aveuglement qui fait de cette pièce le chaos. C’est pourquoi, la scène sera constituée d’un grand rideau blanc qui laissera apparaitre seulement la silhouette des personnages grâce à un jeu de lumière. Une forte source de lumières sera placée derrière les acteurs et le rideau qui illuminera faiblement la scène mais qui laissera une empreinte claire et nette des personnages sur le rideau. On pourra

Intrigue :Les femmes et l'argents Narrateur : extérieur, point de vue omniscient I Roman réaliste 1. Portrait de personnage principal Portrait physique : adjectifs mélioratifs Cheveux et moustaches = virilité --> SEDUCTEUR Regard vide, silhouette fière et orgueilleuse Vêtements sales mais homme élégant => Portrait nuancé Duroy est différent du héros idéal. Il est populaire, commun et a fait partie des hussands 2. Attitude et caractère Thème : argent -> en manque Champs lexical

STEP MOBILE : 3 « S’entretenir, se remettre en forme » « Affiner sa silhouette » Bilan général : Choix du mobile : Nous avons choisi le mobile trois car ce dernier correspondait à notre fréquence cardiaque, à notre conception de l’effort et à notre condition physique. Nous avons adapté notre chorégraphie à ce module mettant l’accent le plus possible sur les impulsions (monté de genoux/run/traverse) sur la gestion spatiale des bras (les tendre pendant l’exercice permettant de moduler

formes, de même qu’une image dans un cadre étiré. La courbe est un moyen d’insuffler de la vie dans des fromes trop rigides. Le logo Nike en est un parfait exemple. La « tour dynamique » de David FISCHER, avec ses étages rotatifs, présente une silhouette étirée, torsadée, qui évoque des matériaux souples ou une forme vivante. Encore à l’état de projet, elle préfigure de ce qui pourrait être l’architecture dynamique du futur. Pour rendre l’impression de flou et mettre en évidence une trajectoire

serait-il à advenir, un devenir en marche en quelque sorte? La technique : Bronze : alliage cuivre + étain en relief La ligne : du sommet du crâne au talon, on obtient une oblique rigide. Elle est instable et dynamique. Sa silhouette est un Y à l’envers, elle est étirée. De la base au sommet, la distance est grande. Superficie et texture : aspect râpeux, non poli du bronze. Le modelé de la surface accroche la lumière. La forme : l’homme est squelettique, filiforme . Lumière

14 minutes et 25 secondes), Pridamant et Alcandre, en petites silhouettes, traversent l’écran. Il en va de même à l’acte II, scène 3 (à 29 minutes et 34 secondes). U 7 L’ I L L U S I O N C O M I Q U E U Les silhouettes se transforment aussi en « négatifs ». Par exemple, à l’acte II, scène 3, Isabelle, dans une chaise à porteur, redevient personnage « normal », lorsqu’elle quitte cette chaise. À l’acte III, scène 5, la silhouette de Clindor rejoint celle de Lyse. À l’acte V, scène 2, les personnages

description est faite par les yeux de Lantier qui voit dans la nuit avec des yeux fatigués. → L'ensemble reste imprécis, flou, nome sans donner de nom précis « une masse lourde » → corons. Il ne voit pas ce que c'est « spectacle », « tas écrasé », « silhouettes », « vaguement » : impression de flou total. → L'auteur montre la surprise, l'incompréhension, l'ignorance à une perception incomplète. c) Le registre dramatique → tragique. Dès le début, les couleurs annonces une suite pas comique mais plutôt