La Socialisation Des Pertes Bancaires Et Leur Nationalisation

trésorerie, les plus faibles font mêmes faillite, ce qui accroît la fragilité des banques. Les épargnants, paniqués, retirent leurs économies. Les consommations et investissements diminuent, le chômage explose : GRANDE DEPRESSION ! Le système bancaire n’a pas été aidé, les lois protectionnistes se multiplient (loi Hawley Smoot, new deal) : entraîne la propagation de la crise à toutes les économies occidentales. Ce n’est qu’avec l’entrée dans la 2nd GM que les USA vont se redresser durablement

du 15 juillet 2009, « Finance : malgré les crises, les pays dérégulés croissent plus vite ». 30 29 24 www.economie-cours.fr Chapitre 10 : Les défis de la mondialisation Sommaire du cours Mais cette crise ne devint visible au niveau bancaire, s’agissant des premières prémices, qu’à partir de février 2007, notamment avec l'annonce d'importantes provisions pour perte passées par la banque HSBC 32. 2) La titrisation Les crédits hypothécaires à risque, les fameux « subprimes », sont une

et financiers du monde libéral, préparant la forte croissance à venir Tome2chapitre2Deleuze Le leadership américain I) LES ETATS-UNIS EN 1945 A) Les véritables vainqueurs de la guerre - Les pertes humaines des Etats-Unis sont relativement limitées : - 300 000 morts (1/80e des pertes soviétiques) - population civile épargnée par les bombardements - D’une manière générale, pas de destructions sur le sol américain - La guerre semble même avoir profité aux Etats-Unis : - Le

amortissements. Si on tient compte de ces derniers, les agrégats précédents sont alors nets : PIN, PNN, RNDN, DIN. AGRÉGATS MONÉTAIRES Ce sont les composantes de la masse monétaire. M1 : Monnaie + billets + dépôts à vue (comptes courants bancaires). M2 : M1 + comptes d'épargnes sur livret. M3 : M2 + dépôts à terme (avec durée d'immobilisation) + avoirs en devises. M4 : M3 + épargne contractuelle (argent immobilisé relativement longtemps). ————————————————————————————————————— AI : Allocation

|Le toyotisme |100 | |37. |Les firmes multinationales |102 | |38. |Nationalisations et privatisations |104 | | | |5. Le travail 22

nord : soies et textiles ; Flandres : industrie lainière ; Bordelais : vins d’Aquitaine…) ; ▪ l’innovation financière (cf. La lettre de change ou le billet à ordre, dus à l’insuffisance du numéraire) et l’avènement d’une bourgeoisie bancaire (Italie du nord, communautés juives) pratiquant le prêt à intérêt ; ▪ la création de puissantes entités commerciales exerçant un rôle de premier au niveau international (Allemagne : Ligue hanséatique ; Italie : « républiques » de

1998) Expliquer l'accélération de la concentration économique à la fin du XlX ième siècle (ESC 1998) Pourquoi la courbe de A.W.Phillips est-elle une droite pour M.Friedman ? (INEDIT) Justifier et illustrer l'importance de la régulation des activités bancaires (ESC 1999) Qu’est-ce que l’habitus selon Pierre Bourdieu ? (INEDIT) Les Administrations Publiques au sens de la comptabilité nationale (INEDIT) Qu’est-ce que la valeur de la monnaie ? (INEDIT) Montrer la relation entre la position de D. Ricardo quant

en étant présent sur quatre continents. [...] Après la Première Guerre mondiale, la fièvre nationaliste, déjà perceptible à la fin du 19 e siècle, se généralisa. A la suite de la seconde révolution russe, le gouvernement communiste décréta la nationalisation des entreprises et l’une après l’autre, les sociétés de tramways et d’éclairage en Russie perdirent le contrôle de leurs exploitations ; le personnel fut contraint d’abandonner aux Soviets des entreprises qui, en 1914, étaient en plein développement

capital » productif est de croître sans cesse. Avec une application croustillante à la crise bancaire de 1999 (les OPA croisées entre BNP, Paribas et Société Générale). 12 Cf. notamment B. Théret, Régimes économiques de l'ordre politique, Puf, 1992. 6 22 marché. Bref, un processus lent et laborieux de croissance, le tout dans un contexte où le financement était, pour l’essentiel, assuré par des prêts bancaires et où la propriété du capital était relativement stable. Avec la remise sur le marché

Elles ont donc tendance à plus se multinationaliser pour différents objectifs stratégiques tels que d’accès aux ressources, la création de nouveaux débouchés, la réduction des coûts, le partage des risques sur différents pays pour réduire les pertes (1). Aujourd’hui, la quasi-totalité des activités industrielles et les produits sont conçus pour des marchés mondiaux et sont de plus en plus fabriqués dans des pays pour être vendus sur des espaces plus vastes. Par conséquent, les firmes s’affrontent