La Société De Consommation Nous Rend Elle Heureux

qu’il n’y a pas de bonheur intelligent ? Une opinion répandue veut que le génie soit « tourmenté », que l’intelligence se perde dans des questionnements sans fin sur le sens de la vie, l’existence de Dieu… Inversement, on parlera d’un « imbécile heureux » et la Bible dit : « Qui augmente le savoir augmente la souffrance »1Autrement dit, l’intelligence serait incompatible avec le bonheur, idée que reprend le biologiste Jean Rostand en affirmant qu’ « il n’y a pas de bonheur intelligent ». Mais qu’en

la notion même de désir. Le désir est tout de même essentiel à l'homme puisqu'il est en effet une des conditions selon laquelle il peut se réaliser. Effectivement, l'homme est de nature désirante et désire dans le temps, or le désir le rend créateur, il le rend ingénieux et lui donne l'énergie de succomber à ses passions. Les passions étant une des préoccupations centrales durant toute la vie de l'homme cela implique que le désir donne un sens à l'existence de l'homme puisqu'il lui donne une sorte

effet, cette contre-utopie, publiée en 1932, décrit avec un réalisme inquiétant ce que pourrait devenir notre monde contemporain. C’est pour cela que nous verrons en quoi ce meilleur des mondes est un avertissement sur les dérives possibles de la société moderne. Nous réfléchirons par domaines, en commençant par la génétique, puis l’économie de marché, pour continuer sur les sentiments et finir sur l’organisation mondiale. Commençons donc par la génétique. Dans Le Meilleur des mondes

télévision, dans l’émission « Y’a pas photo » auprès de Laurent Bataille et Pascal Fontaine. Ainsi il décrypte de nombreux comportements de personnalités jusqu’en 2002. Il est considéré comme un précurseur du comportementalisme dans les sociétés actuelles, dites de consommation. Suite à son succès, il ouvre un cabinet d’études et de formation sur les stratégies de comportement et de communication en France. Il poursuit également son décryptage de gestes et d’attitudes, mais il se tourne désormais vers les

Cours sur le bonheur Sommaire et index 1/9 Sommaire du cours sur le bonheur 1. Présentation................................................................................2 2. Parce que le monde, la réalité ne peut pas les rendre heureux (Freud).............................................................................................2 A. Constat ...........................................................................2 B. Premier argument.....................................

travail sont donc indispensables à la réalisation de ces derniers. Or cette course à l’équipement et à la possession fait ressortir le côté obscur de l’Homme, laissant penser que l’on serait naturellement et inévitablement égoïste. Ainsi, le travail rend l’être humain plus malsain et mauvais qu’il ne l’était. Mais cela uniquement dans le but de satisfaire des désirs et non des besoins. En effet, si l’on considère le modèle communiste, les besoins sont satisfaits et l’Homme n’est pas présenté comme

mouvements prônant la décroissance font parler d’eux avec la conviction que consommer moins et mieux rend plus heureux et on parle alors de la fin de la société de l’hyperconsommation. A plusieurs reprises le corps social a remis en cause cette société de consommation, comme en 1968 à la suite des manifestions étudiantes. Cependant même après la crise pétrolière de 1973 suivie de celle de 1979, la consommation a continué de croître de façon importante et de jouer, jusqu’en 1990 son rôle de « moteur de

soma, il sombre dans la folie. Quant à Bernard Marx, à la suite des événements précipités par son ami, il est condamné à l'exil. Son ami Watson également, mais celui-ci, plus courageux, espère au moins rencontrer des âmes sœurs. II)La société. La société est divisée en sous-groupes, des Alphas aux Epsilons, en fonction de leurs capacités intellectuelles et physiques. L'appartenance à un groupe ne doit rien au hasard : ce sont les traitements chimiques imposés aux embryons qui les aiguillent

recherche de toutes les bibliothèques illégales, et ont pour ordre strict d’en faire un autodafé. Le monde de Montag est un monde où posséder un livre, voire même simplement lire une œuvre écrite, sont devenus des crimes. La littérature, répugnée par la société, n’existe plus. Jusque-là pleinement satisfait de son travail, Montag va un jour décider de soustraire des livres à leur destruction promise et de les lire. Il décide de cacher les œuvres chez lui, sans que personne ne soit au courant. Une nuit en

style, proprement « bradburien ». Le roman décrit une société du futur (par rapport à l’auteur) dans laquelle la lecture des livres, source de questionnement et de réflexion est strictement prohibée par le gouvernement, car considéré comme un acte antisocial. Un corps spécial de pompiers est chargé de brûler tous les livres ; or le pompier Montag se met pourtant à remettre en question cette société où le bonheur est devenu un bien de consommation. Dans le cadre de l’épreuve du BTS qui a pour thème