La Solitude Henri Michaux

(1605) Auteurs, œuvres et mouvements littérairesCite une œuvre espagnole ou hispano-américaine et son auteur.Amérique latine J. L. Borgès : L’Aleph G. Garcia Marquez : Cent ans de solitude M. Vargas Llosa : La ville et les chiens P. Neruda : Canto general Espagne M. Cervantes : Don Quichotte

l'ensemble d'une œuvre. [9] C'est donc au niveau des images détachées que nous pouvons « retentir » phénoménologiquement. Mais, précisément cette pointe d'orgueil, cet orgueil mineur, cet orgueil de simple lecture, cet orgueil qui se nourrit dans la solitude de la lecture, porte une marque phénoménologique indéniable si l'on en maintient la simplicité. Le phénoménologue n'a ici rien de commun avec le critique littéraire qui, comme on en a souvent fait la remarque, juge une œuvre qu'il ne pourrait pas

cesse, nous avertit présentement de lafaille qu’en géant ilfallait surmonter, désormais dans nos organes installée, étrangement petite encore, mais grandissant posément, pour le dérèglement définitif de tout notre être en vain livré aux regrets. Henri Michaux, « La Faille » in La Vie dans les plis. « Je suis fait de contradictions et mon théâtre est pétri de contradictions, parce que j’ai peur des méthodes qui peuvent faire oublier la vie. » Théâtre de l’altérité, de la faille, de la marge, théâtre-handicap

titre suvie d’une phrase, qui à mon sens décrit les propos dont l’auteur va parler dans celui-ci. Une citation est écrit sous chaque titre. Citation d’ Emilie Dickinson, Charles Juliet, Samuel Beckett, Sophocle, Edmond Jabès, Raymond Queneau, Henri Michaux, Kenzaburo Oé, Michel Tournier, Kafka, Le marquis de Sade et Maître Eckhart, tous écrivains, poétes, ou dramaturges. Dans ce livre, Simone Sausse à travers son expérience de psychanalste, nous livre sa réflexion sur le handicap. Elle expose

vers 25 qui permet de souligner que quelles que soient les circonstances le poète doit « pense® » et ne pas tenir compte des réactions de la foule : au « on le raille » s’oppose le « il pense ». la rime féminine « pense-silence » fait résonner la solitude assumée par le poète b) un manifeste qui est fondé sur l’opposition entre le faux poète te le poète appelé de ses vœux par Victor Hugo : les imprécations suggérées par l’anaphore des Malheur à qui » (v.3 et () et par l’apostrophe « Honte au penseur

encore, la femme. Dessin: Robert Petit-Lorraine Jean-Pierre Rosnay 2 TABLES DES MATIÈRES AUTEURS A. de Lamartine G. de Nerval A. de Musset V. Hugo Ch. Baudelaire P. Verlaine A. Rimbaud G. Apollinaire P. Éluard L. Aragon R. Char H. Michaux R. Desnos P. Fort F. Ponge J. Prévert L. Sédar Senghor Notes …………………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………………… ……………………………………………………………………………………

de Beijing, pour avoir accepté d’être membres de mon jury et pour l’intérêt qu’elles ont porté à mon travail. Mes remerciements vont également à Madame Inès OSEKI-DÉPRÉ, Professeur de Littérature française à l’Université de Provence et à Monsieur Henri SCEPI, Professeur de Littérature française à l’Université Paris 4-Sorbonne, pour avoir accepté d’être les rapporteurs de cette thèse et pour l’intérêt qu’ils ont porté à mon travail. Mes remerciements vont également à Monsieur CHE Jinshan, Professeur

mots comiques, des coq-à-l’âne, des ellipses disloquent le réel pour le reconstruire plus tard selon une vision nouvelle très éloignée de nos concepts routiniers. La poésie est alors accord entre le monde et la sensibilité du poète, comme le disait Henri Lemaître : « L’essence de la poésie (…) c’est peut-être le sentiment continu de correspondances secrètes, soit entre les objets de nos divers sens, formes, couleurs, sons et parfums, soit entre les phénomènes de l’univers physique et ceux du monde

" Ecrire, c’est se défaire par la parole de l'oppression de ce que l'on est. " Paul VALERY (XX°) " Parler pour parler est la formule de délivrance. " NOVALIS (poète allemand fin XIX°) " On n'écrit que par nécessité, pour se libérer un moment. " Henri MICHAUX (poète français XX°) " Etrange, mystérieuse consolation donnée par la littérature, dangereuse peut-être, peut-être libératrice. " Franz KAFKA (XX°)  Et tant mieux, dirait MONTAIGNE, si en plus quelque lecteur peut y trouver quelque chose...

le réel et demeurer impersonnel et froid. (Il n’est pas question de jouer sur les sentiments, de livrer ses pensées intimes et profondes) Les règles de la poésie ont été établies pas François de Malherbe (1555-1628), poète officiel de la Cour sous Henri IV et par Boileau dans son « Art Poétique ». Les règles classiques : Eviter les termes rares ou grossiers : le langage doit être clair. Les vers doivent correspondre à des ensembles grammaticaux : la phrase ne peut pas déborder sur le vers suivant