La Souffrance A Telle Un Sens

Introduction Demandons aux gens de la rue quel but ils donnent à leur existence, et la réponse sera vraisemblablement homogène: être heureux. C'est ce même but qu'Aristote reconnaissait, et avec lui la pensée antique, à la vie: "quel est de tous les biens réalisables celui qui est le Bien suprême (?) Sur son nom en tout cas, la plupart des hommes sont pratiquement d'accord: c'est le bonheur, au dire de la foule aussi bien que des gens cultivés" (Éthique à Nicomaque, 1095a15). Nous avons cependant expérimenté

La souffrance au travail. Entretien avec Christophe Dejours Écrit par Christophe Dejours Jeudi, 20 Juillet 2000 01:00 - Mis à jour Vendredi, 20 Juillet 2007 19:42 Pour Christophe Dejours, les nouvelles conditions de travail générées par le libéralisme sont à l'origine d'une souffrance spécifique. Si la situation du travail n'est pas source de pathologie mentale particulière, pour rester normal, c'est-à-dire ne pas tomber malade ou devenir fou, les individus doivent développer des stratégies individuelles

Par : Philosophie Travail présenté à : Département de Philosophie Date de remise : J’atteste que j’ai personnellement produit ce travail et que j’ai indiqué tous les emprunts de textes ou d’idées (provenant de documents écrits, oraux ou visuels). Signature des l’étudiants :_____________________________________________________________ La pauvreté est l’un des problèmes majeurs depuis des décennies. Tout homme tel qu’il soit et où qu’il soit est à la recherche de mode de vie qui lui

Aimé Césaire et la négritude Notion ambiguë, tiraillée entre son ancrage racial et sa prétention à l’universel, la négritude a suscité bien des débats. Cette fiche pédagogique propose d’explorer la définition de la négritude dans la pensée et l’œuvre de son auteur, Aimé Césaire, à travers deux documents sonores complémentaires. Extraits sonores disponibles à l’adresse : http://www.rfi.fr/lffr/articles/100/article_2279.asp Sources sonores Extrait n°1 - Césaire : « la négritude est un humanisme »

ou que nous connaissions à cause du désir la frustration, l’insatisfaction, le manque, etc. ? Mais à côté de cela, nous avons connu et nous connaissons de fortes expérience d’harmonie entre nos désirs et la réalité. Alors le désir peut-il se satisfaire de la réalité ? On peut comprendre cette question en deux sens : soit on peut comprendre qu’il faut se demander si le désir peut accepter la réalité telle qu’elle est, soit qu’il faut se demander si le désir peut grâce à la réalité être comblé. Mais

Préviade-Mutouest “ Métier en souffrance et clinique du travail ” Yves Clot, professeur Conservatoire national des arts et métiers Chaire de psychanalyse, santé et travail Équipe de Clinique de l'activité clot@cnam.fr RETOUR SOMMAIRE GÉNÉRAL Nancy, Metz, Mondorf-les-Bains > 22, 23, 24 novembre 2004 1> Congrès international > Hommes et organisations : la santé au coeur des enjeux de l’entreprise CONTRIBUTIONS SCIENTIFIQUES, REGARDS PRATIQUES CONFÉRENCE > MÉTIER EN SOUFFRANCE ET CLINIQUE DU TRAVAIL

axes : I. Une scène réaliste a) Des souffrances insurmontables b) Un personnage transformé par ses souffrances ( OK ) II. Une fine analyse psychologique : jalousie et révolte a) La trahison de Rosalie b) L’indifférence de Julien (OK) III. La découverte de la maternité a) De La haine du père à celle l’enfant à naître ( OK ) b) Une haine métamorphosée en amour fanatique Lecture analytique INTRO : (pas fait) (AXE 1) (pas fait) (a) (b fait ) Jeanne est en effet

concevoir un objet comme étant source de jouissance ou de satisfaction. A priori le désir fait souffrir car il est synonyme de privation, de manque. Le manque creuse le désir. Plus la distance est grande plus le désir est puissant. Le mythe de Tantale : la distance. Dans le désir il y a une par d’illusion : « prendre ses désirs pour des réalités. Le désir est lié à l’imaginaire. On a tendance à voir l’objet non pas telle qu’il est mais telle qu’on voudrait qu’il soit. La cristallisation chez Stendhal. -le

A A ~WAMI PRA: NANPAD 1 1 1 ET LES LYINGS 1 1 1 ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ PM ÉRIC EDELMANN OLIVIER HUMBERT & 1 1 ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ Dr CHRISTOPHE MASSIN ~ 1 ~ 1 ~ ~ Introduction d'Arnaud Desjardins LA TABLE RONDE 1 ~ 1 ~ ~ m • m Collection « Les Chemins de la Sagesse » dirigée par Véronique Loiseleur Swâmi Prajnânpad et les lyings Swâmi Pra;·nânpad et les lyings par ÉRIC EDELMANN OLIVIER HUMBERT Dr CHRISTOPHE MASSIN Introduction

FAUT-IL VOULOIR CHANGER L'ORDRE DU MONDE ? « L’ordre du monde » peut prendre deux sens.· Un « ordre naturel » du monde, qui renverrait à l'idée que la réalité extérieure serait caractérisée par des régularités, des lois, des nécessités, des résistances, des causalités « naturelles », apparemment intangibles, sur lesquelles notre volonté n'aurait pas de prise immédiate. Alors on peut se demander S’il est possible d’agir sur cet ordre naturel, de quellemanières et pourquoi ? · L’ordre social, culturel