La Soutenabilité Faible Et Forte

nations unies pour le développement) classe les pays en quatre catégories selon leur indice : de 0,9 à 1 (développement humain très élevé), de 0,8 à 0,899 (développement élevé), de 0,5 à 0,799 ((développement moyen) et de 0 à 0,499 (développement faible). Donc a priori oui on peut mesurer le dev ! qq chiffres : en 2013, pays en tête est la Norvège avec un IDH de 0.955, suivie de l’Australie 0.938 puis des USA 0.937. France en 20e position avec 0.893. Les limites de l’IDH Tout d’abord, une

fonctionnement de l’état selon PARKINSON (1957). Cet auteur critique la bureaucratie : le nombre de fonctionnaires augmente naturellement sans rapport avec la quantité de travail. La hiérarchie est mise en cause. 2. Déséquilibre budgétaire Il y a eu une forte augmentation des dépenses publiques qui étaient difficiles à financer seulement par l’impôt (1914-1950). Les impôts étaient peu productifs. Ce sont l’interventionnisme et l’émergence du paradigme de KEYNES qui explique le déficit budgétaire et les

x PIB mondial (63 milles milliards en dollars) ; E-U (14 500 Millions) ; CHINE (5000 milliards) ; U-E (12 milles milliards) ; France (2500 milliards) Zone euro = 485% PIB E-U = 441% PIB car l’aspect fi de l’éco par les actif bancaires est plus faible Luxembourg = 2214% PIB Action, Obligation R-U = 900% PIB Afrique du nord = 100% PIB Les marchés dérivés = 11 x PIB mondial : déconnexion sphère fi et réel Banques de dépôt, détails BFI

importante de sous-estimation du PIB puisqu’on passe plus de temps aux travaux ménagers qu’aux activités professionnelles au cours d’une vie. Dans les pays en développement, l’économie informelle (donc la sous-estimation du PIB) est encore plus forte car il y a davantage de corruption mais aussi davantage de relations traditionnelles donc non marchandes. Par ailleurs Le PIB est un agrégat c’est-à-dire qu’il additionne mais ne soustrait jamais. Or des coûts qui peuvent résulter de l’activité de

convient ,comme en un immense rouage, de faire dialoguer ces trois axes, eux même étroitement imbriqués et qu’il ne saurait y avoir d’engagement par rapport à l’un sans une même promesse à l’égard de l’autre. La RSE est dès à présent un thème en forte évolution dont la dynamique centrale, qui intègre la croissance économique et le développement durable tout en y associant une large démarche de recherche de cohésion sociale, va devoir connaitre d’autres transformations elles-mêmes factorielles de

importante de sous-estimation du PIB puisqu’on passe plus de temps aux travaux ménagers qu’aux activités professionnelles au cours d’une vie. Dans les pays en développement, l’économie informelle (donc la sous-estimation du PIB) est encore plus forte car il y a davantage de corruption mais aussi davantage de relations traditionnelles donc non marchandes. Par ailleurs Le PIB est un agrégat c’est-à-dire qu’il additionne mais ne soustrait jamais. Or des coûts qui peuvent résulter de l’activité de

d’assurer une croissance économique forte et durable s’impose comme une solution pour plusieurs problèmes sociaux qui hypothèquent l’avenir du pays. Avec l’accumulation des problèmes économiques et des déficits sociaux (chômage, pauvreté, perte du pouvoir d’achat, etc.) les solutions conjoncturelles ou partielles ne peuvent plus servir de remèdes efficaces. Les problèmes doivent être traités à la source qui les génèrent, et cette dernière n’est autre que la faible croissance économique et la sous utilisation

ses aspirations de développement et de son identité mutualiste. Etude du champ de concurrence du secteur bancaire De façon globale, le secteur bancaire se caractérise par des risques élevés, d’importantes mutations technologiques, une forte concurrence interne, une concentration croissante et une ouverture internationale élevée. C’est ce que nous analyserons dans cette première partie en nous appuyant sur le modèle des forces concurrentielles de Porter. 1 Un secteur encadré

effondrés et le chômage a augmenté dans bon nombre des principales économies. Une reprise modérée de l’activité s’est fait sentir fin 2009 et s’est poursuivie, à de notables exceptions près, en 2010 et en 2011. La spéculation boursière sur la soutenabilité des dettes souveraines, et les enjeux des négociations sur l’assainissement des finances publiques ont entraîné une révision à la baisse des perspectives de reprise rapide et complète de l’économie mondiale. Certains pays suivent désormais une

Dauphine Le capitalisme financier est entré dans une crise profonde en 2007. Cette crise, d'abord bancaire et localisée dans le marché du crédit immobilier américain, est rapidement devenu mondiale, financière et réelle. Elle a remis en cause la forte croissance dont bénéficiait l'économie mondiale depuis 1995. L'article décrit l'ampleur de la globalisation financière et les déséquilibres qu'elle a générés. La crise s'explique d'abord par des déséquilibres macroéconomiques. C'est une crise des stratégies