La Soutenabilité Faible Et Forte

vie • Deux individus de deux pays différents disposant de revenus monétaires identiques pourront néanmoins avoir des niveaux de vie très dissemblables si : o l'un travaille plus que l'autre, o a une probabilité plus forte d'être au chômage l'année suivante, o a une probabilité plus forte de mourir précocement o s'il vit dans un environnement plus dégradé → Limite des « corrélations rassurantes » : nécessité de recourir à d’autres indicateurs pour un développement durable… Mais lesquels ? Grands

rattacher : solidarité et gouvernance accumulation de K : Kphysique (K) Khumain(H) Knaturel (N) K+N+H=i objectif : soutenir le niveau de PIB/tête, Y (tx croissance)= f(Σi ki) => soutenabilité faible : H,K,N sont des inputs substituables, déclin de N remplacé par K ou H => soutenabilité forte : H,K,N inputs complémentaires : déclin de N est un pb sérieux : pas de substitution possible entre N et K/H Sommet de la terre : Rio 1992 : reconnaissance universelle des principes du DD

Chapitre 1 : Quelles sont les sources et les défis de la croissance économique ?Introduction :Avec la révolution industrielle (fin du 18e siècle) en Europe les pays ont connu une très forte croissance économique qui a permis l’enrichissement de la population et très généralement une amélioration des conditions de vie. Avec la révolution industrielle sa c’est étaler sur la durée. Ce phénomène c’est avérer instable (car par exemple il peut y avoir des crises) et en plus n’a pas concerner tous les pays

programmes de réduction de la pauvreté. Un autre effet négatif possible du fort taux d'endettement est le fardeau virtuel ou "debt overhang" mis en évidence par Krugman (1988). Une forte présomption s'est développée, dans les années 1990, autour du lien entre les taux excessifs d'endettement d'une part et, les faibles taux de croissance ainsi que la détérioration du capital humain d'autre part, dans les pays pauvres. Le niveau très élevé de la dette extérieure de ces pays est souvent identifié comme

décennies, qui a permis de dégager des marges de manœuvre au niveau budgétaire. Toutefois, l’orientation plus expansionniste des finances publiques, qui a certes favorisé la bonne résistance de la demande intérieure, a entraîné une dégradation de la soutenabilité budgétaire et des comptes extérieurs. Les finances publiques ont en effet connu en 2011 une rupture par rapport à la tendance de ces dernières années, marquées par des déficits modérés, voire des surplus en 2007 et 2008. Ces performances antérieures

d’ajd sans compromettre ceux des gnra* futures. 3 piliers : La soutenabilité/durabilité : conciliation entre la © éco, la cohésion soc (équité) et la préservation des ressources naturelles. Soutenabilité faible approche néoclassique K nat est considéré comme une ressource éco K substituables  Le progrès tech va compenser le K nat qui s’épuise => courbe de Kuznets : en se développant les éco polluent moins Soutenabilité forte les K sont complémentaires le K nat est indispensable il est

production / consommation plus « propres ». Par ex, en taxant les externalités négatives (ou subventionnant les externalités positives) (principe pollueur payeur). Soutenabilité* : ≠ 2 approches, selon l’importance que l’on donne à la préservation du capital naturel et à la capacité du progrès technique à constituer une solution. Soutenabilité faible (approche rattachée à la tradition néoclassique, OCDE, Banque Mondiale...). Cette approche autorise la destruction du capital naturel à condition que le stock

PUBLIC DANS LES PAYS AVANCÉS LES EFFETS CONJONCTURELS DE LA CRISE DE 2007-2008 SUR L’ENDETTEMENT PUBLIC 11 CHAPITRE 2 11 L’effet des politiques de relance pendant la crise Les plans de soutien au secteur financier Les risques en matière de soutenabilité des finances publiques 13 20 Partie 2 L’émergence d’un risque souverain dans les pays développés CHAPITRE 3 LE MARCHÉ OBLIGATAIRE ET LE MARCHÉ DES CDS 25 FACE À LA MATÉRIALISATION DU RISQUE SOUVERAIN 25 28 34 L’impact de la

l'investissement non-public (secteur privé et entreprises publiques) n'apparaît que pendant les années 80. Ceci peut s'interpréter par le fait que les réductions des dépenses publiques en capital n'auraient affecté, d'après le FMI, que les programmes à faibles impacts positifs sur l'économie. L'investissement du secteur privé a répondu surtout aux mouvements des taux d'intérêts et de l'inflation. A contrario, les investissements des entreprises publiques ont plutôt réagi aux plafonds des crédits autorisés

avenir. Ainsi, le développement durable divise les économistes en deux. D’une part, certains économistes, du côté de la « soutenabilité faible », assurent que le capital naturel et le capital technique sont substituables, et proclament alors le laissez-faire du marché, au risque même de la dégradation de la nature. D’autre part, les économistes, adeptes de la « soutenabilité forte », soutiennent la conception selon laquelle le capital naturel et le capital technique sont complémentaires et donc non