La Soutenabilité Faible Et Forte

main-d'oeuvre, et d'obtenir à la fois des avantages écologiques et des gains d'efficience sous la forme d'une amélioration des performances économiques utilisés au plan international, ces instruments sont un moyen d'atteindre des objectifs à des coûts plus faibles 128(*). Plus précisément , la durabilité économique dépend d'une répartition et d'une gestion des ressources plus efficaces et d'un flux constant d'investissement privés et publics. Ce qui nécessite de venir à bout des contraintes externes actuelles :

conformément à l’usage en cours jusqu’alors, mais aussi sur celle de l’espérance de vie et de l’alphabétisation pour lesquelles des données comparables étaient disponibles pour la plupart des pays. Le nouvel IDH présentait un certain nombre de points faibles, que les auteurs du Rapport reconnurent sans détour, notamment sa dépendance vis-à-vis de moyennes nationales sans égard pour toute considération distributive et une absence de « mesure quantitative de la liberté humaine ». Cependant, il avança avec

développement durable. La première partie passe en revue les conceptions ‘forte’ et ‘faible’ de la soutenabilité en les considérant comme deux perspectives complémentaires (et parfois antagonistes) d’explorer l’espace de possibilités. La société opère son jugement sur les avenirs possibles et l’ensemble de jugements (plus ou moins conciliables) constituent la « demande sociale » en faveur ou non de la soutenabilité. La seconde partie s’adresse à la question d’une spécificité française en ce

sauvegardant des ressources naturelles et un environnement en bonne « santé » pour répondre au besoins des générations futures. TRANSITION : Mais les économistes libéraux, partisans de cette soutenabilité faible sont souvent jugés comme trop optimistes et pas assez réalistes par les partisans de la soutenabilité forte, qui estiment que la croissance s'oppose au développement durable. II- Mais cette vision est trop optimiste : la croissance soutenue n’assure pas automatiquement le développement durable

synonyme d’épuisement des ressources naturelles ? (hatier p 386) - Expliquez pourquoi la question du degré de substitution entre les différents capitaux (naturel, physique, social et institutionnel) oppose les partisans d’une soutenabilité faible et ceux d’une soutenabilité forte (hatier p 394) - Qu’est ce qui détermine l’évolution de la productivité globale des facteurs de production ? (hatier p 400) - Qu’est ce que la théorie de la croissance endogène ? (hachette p 35) - En quoi l’IDH constitue-t-il

impact économique de la dette publique Impact économique de la dette publique M. Nautet L. Van Meensel Introduction 1. Aperçu de l’évolution de la dette La crise financière et économique a entraîné une forte hausse de la dette publique dans les pays de la zone euro, au Royaume-Uni, aux États-Unis et au Japon. De surcroît, à politique inchangée, la dette publique continuera à progresser dans la plupart de ces pays. 1.1 Le présent article esquisse les conséquences éventuelles

banques étrangères dans le secteur bancaire. Ensuite cette thèse du découplage a volé en éclat, la crise à plusieurs canaux de transmission canal du commerce, canal des flux de transfert des migrants, canal financière. * Le canal du commerce : la forte chute des produits énergétiques qui entrainent une dégradation des termes de l’échange. C’est le rapport entre prix des exportations et prix des importations. * Le canal des flux de transfert des migrants : qui ralenti a cause de la crise mais

publique) B- Le dvlpt durable : une question en débat ? 1. Débat sur la soutenabilité : les Kx sont-ils substituables ? Dvlpt soutenable si la capacité à produire du bien être reste au moins constante dans le temps. Tenants de la soutenabilité forte : K naturel = K spécifique dont il faut maintenir le stock constant ds le temps pour être sûr de la soutenabilité du dvlpt. Non substituable, confiance en PT modérée. Faible : K naturel non considéré comme un actif spécifique, facteur qui fournit

des possibilités considérables d'améliorer les indicateurs de bien-être et d'en développer de nouveaux pour mieux servir les buts collectifs des sociétés humaines. Mots-clés : Rapport Stiglitz-Sen-Fitoussi, progrès social, mesure, bien-être, soutenabilité. * Communication présentée au 16e Congrès de l'Association internationale d'économie, Pékin, 4-8 juillet 2011. Revue de l’OFCE / Débats et politiques – 120 (2011) 312 Jean-Paul Fitoussi et Joseph E. Stiglitz l ne se passe pas une

voulaient élucidées. Lançant d’emblée leur préoccupation sur le développement, les 3 chercheurs ont voulu proposé un nouveau cadre de réflexion sur le développement en le focalisant sur sa dimension sociale à laquelle ils la conditionne par une soutenabilité sans pour autant nier les autres aspects (économiques et écologiques). De premier abord, ils proposent la définition suivante : « le Développement Socialement Soutenable (DSS) serait celui qui garantit aux générations présentes et futures l’amélioration