La Spontanéité T Liberté

général) et qui porte atteinte à la liberté de tous. L'autorité de l'Etat implique-t-elle nécessairement un pouvoir si contraignant et autoritaire qu'il empêche les individus d'être libres ? Ou bien, au contraire, permet-elle d'assurer l'ordre et la paix et ainsi de garantir la liberté ? 1. L'Etat comme facteur d'oppression L'Etat suppose l'obéissance des citoyens. Toute obéissance entraîne nécessairement une limitation de la liberté. En raison de cette liberté rognée, on a soupçonné l'Etat de

que la liberté fait partie de notre nature d’homme, qu’elle nous a été paradoxalement imposée. A première vue la liberté apparait comme la possibilité de faire ce que bon nous semble sans subir aucune contrainte du monde qui nous entoure. En cela nous nous différencions des animaux qui eux, ne peuvent que suivre leur instinct. La liberté, au singulier n’existe pas en effet cette notion s’applique à tous les domaines : on parle de liberté politique, liberté physique, liberté de penser, liberté de s’exprimer

Le romantisme qui vient du terme de l'adjectif romantique, au sens de « qui relève du roman, de l'imagination. Contrairement au classicisme qui est caractérisé par la régularité et les règles strictes , les romantiques réclament la spontanéité et la liberté totale du lecteur. Cela va révolutionner la conception de la littérature et de la poésie : Le mot « moi » s'exprime librement et laisse sa sensibilité s'épancher. Il n'y a plus de vers strictes qui étaient imposé auparavant Les genres

C’est ce que Descartes dit de sa propre vie. Il dit qu’il n’admet rien qui puisse « retrancher quelque chose de sa liberté ». Il a fait l’expérience qu’en échappant à la mesure d’une droite raison par exemple dans les transports de l’amour, on pouvait jouir d’une liberté dont le penseur sérieux mésestime les agréments. Chacun peut réaliser qu’il abrite à sa façon l’usage d’une spontanéité à laquelle l’homme du sérieux renonce sans s’apercevoir qu’il a du même cout peut être renoncé à une part de lui-même

Liberté La liberté est-elle dans la révolte? Est-il nécessaire de changer le monde pour être libre? (Liberté) La puissance de choix exclut-elle le soumission à des règles de vie pratiques et morales? Peut-on accepter toutes les idées ? Etre maître de soi. La liberté n'est-elle qu'une passion ? (Liberté) La liberté n'est-elle qu'une passion ? (Liberté) "C'est plus fort que moi" Peut-on etre responsable sans etre coupable ? Le prisonnier est-il libre? Sommes nous libres ou déterminés? (Liberté)

Tout homme aspire à être ou à devenir libre. On désir tous , dès notre plus jeune âge , à échapper à toute contrainte , sinon à toute obligation. Nous allons étudier un extrait du texte de Sartre (Liberté et responsabilité) sur le thème de la liberté morale . La liberté au sens morale suppose la responsabilité de ses actes et la possibilité de choisir entre le bien et le mal. Ce texte est un texte polémique car Sartre expose une thèse qui va a l'encontre de l'opinion publique et qui à pour problème

désespéré et révolté à la fois.  CELINE n’a pas peur de faire une satyre à travers Bardamu de la politique actuelle, du système actuelle « on est nous les Mignons du Roi Misère ». Il montre la dureté «  Quand on est pas sages, il serre ». La non-liberté d’expression «  On a ses doigts autour du cou, toujours, ça gène pour parler ». Le discours de Bardamu est fait d’outrance, de provocation et d’un usage prémédité de la langue parlée transposée. Cette langue transposée s’appuie sur l’excès, visible

ses sentiments. Elle peut manquer de spontaneité, mais son indépendance d’esprit et de caractère est très importante. -Plus une personne se rapproche d’un type jalon, plus sa personnalité est simple et caricaturale, sans nuances et sans richesses, c'est-à-dire prévisible. Alors que plus les paramètres s’ajoutent les uns et les autres et modifient les traits principaux, plus la personnalité se complexifie et devient riche, plus s’accroit son coefficient de liberté. -plus on se rapproche de la dilation

respiration pour atteindre la Voie. Deux pensées complémentaires On oppose assez souvent le confucianisme et le taoïsme: tandis qu'au premier sont associées la morale, la culture, la société et la politique, le second privilégierait la nature et la spontanéité, manifestant une méfiance extrême à l'égard des institutions – pouvant aller jusqu'à leur rejet. Sous cette forme, l'opposition paraît simpliste, car le confucianisme de Mencius ne va pas contre la nature, et une partie du Laozi a été reprise à

La fable -Une ellipse -La parataxe =phrase incomplète =suite des phrases principales sans conjonctions de la spontanéité rapidité, spontanéité pour renforcer/souligner -‘’- mettre en relief -Le pléonasme =emploi des termes pas nécessaires -L’inversion =changement dans l’ordre des mots (Maitre corbeau, par l’odeur alléché) -Une anaphore =répétition du même mot au début -Un parallélisme choses =répétition d’une construction comparaison souligner de 2 -Une gradation =une suite d’idées qui disent