La Symbolique Des Fenêtres

*imitation marbre coloré *éléments d'architecture ombrés *panneau peint de paysage reproduisant celui visible par la fenètre toute proche *dessin ornemental et fantaisie linéaires + paysage sans cadre. -sculpture : plus d'importance au détails réalistes (plis de peau, rides) sauf pour les statues d'homme important : adoucissement des détails et ajout d'éléments symboliques. -la mosaïque L'ART BIZANTIN -Constantinople -fusion art grec et art romain + tendance orientale pour l'allégorie

du temple gréco-romain car il était trop étroit pour accueillir de plus grandes foules dans le cadre de célébrations. Chez les chrétiens, le rassemblement dans les églises est beaucoup plus symbolique. L'art va être transformé à cause du Christianisme, d'un art très réaliste vers un art de plus en plus symbolique. Plusieurs bonnes innovations vont être mises au point durant cette période dont l’arc brisée ainsi que la voûte de croisées d’ogives. L’architecture d'une basilique varie, car il n'y a

moins visible qu’une ombre, et d’où sortait seulement ce pied à demi incliné par le sommeil, vivant quand même — de la chair d’homme. La seule lumière venait du building voisin : un grand rectangle d’électricité pâle, coupé par les barreaux de la fenêtre dont l’un rayait le lit juste au-dessous du pied comme pour en accentuer le volume et la vie. Quatre ou cinq klaxons grincèrent à la fois. Découvert ? Combattre, combattre des ennemis qui se défendent, des ennemis éveillés  !    La vague de vacarme

par la lumière, elle transfigure la beauté divine. | Sainte-Chapelle, Paris. © Photo : Odile Besème | | Eglise Alter Peter, Munich. © Photo : Aline Palau | | Dans l’architecture baroque, la lumière vive qui entre par les portes et les fenêtres repousse les limites de la pierre. Les peintures et les stucs, les ors, les murs clairs, les miroirs font perdre la consistance physique à la pièce, les murs commencent à se dissiper et à devenir immatériels. | La problématique de la lumière,

ornemental. Cathédrale de Tour. Tout oppose le classique et le Gothique : Gothique : fait primer la question de l’ornement sur la structure. Une fois que le système constructif a été inventé : ornement prend le dessus. Structure derrière. Chargé de symbolique religieuse. Symbole de la foi. Les bâtiments gothiques étaient conçus de manière collective sur un long temps, on ne retiendra pas les noms des créateurs. Classicisme : extrêmement retenu -> dégage un minimalisme rationnel. S’inspire du langage

inquiétants (monstres grimaçants et animaux fantastiques), qui entretient la peur de la justice de Dieu. Il faut suivre les principes de l’Eglise pour sauver son âme, suivre les sacrements…Ce sont des édifices relativement bas, aux murs épais et sombres (fenêtres peu nombreuses et petites). Sculpture romane Elle décore d'abord les chapiteaux dans les cryptes, les cloîtres et les églises. À la fin du XIe siècle, elle prend place sur la façade des églises, à la manière des antiques arcs-de-triomphes. La

et les surréalistes. Les yeux sont des ouvertures, des fenêtres ouvertes sur le monde extérieur par lesquelles on observe l'essence des choses. Toute la connaissance de la réalité est suspendue à une transmission des regards comme chez Dante. L'image initiale de l'intimité ronde des yeux joue le role d'une matrice symbolique qui justifie les images successives de "rond de danse" de "l'auréole" et du "berceau". L’auréole donne une symbolique divine au sujet, comme le berceau une connotation maternelle

IV) Description Guernica est une huile sur toile mesurant 7 m 52 de long sur 3 m 51 de largeur. Le tableau est composé de couleurs monochromes symboliques car en effet, cela accentue l'impression de mort. Les formes géométriques, quant à elles, rappellent l'art primitif africain. La toile est découpée en plans triangulaires et se présente comme un montage de l'actualité de l'époque en noir et blanc. Ce découpage du tableau intensifie toute l'horreur de la guerre. Beaucoup de gens imagine que Guernica

tableau. Et aussi la ligne de sol, horizontale à l’arrière du taureau et la ligne en perspective du bas de la porte à droite, dessinant le sol de la pièce. Une table à gauche, derrière le taureau et à droite des sortes de petites maisons, avec des fenêtres, sous –dimensionnées comme des décors de théâtre. Le dessin est épuré, les formes plates, simplifiées, la ligne des contours visible, quelques détails suggèrent le volume. Le taureau est impassible. Le cheval blessé est agonisant, une lance

sa maitresse et fixe le spectateur d’un regard féroce, qui contraste avec le regard enjoué de la jeune femme. Composition : Ce tableau est riche en effets de lumière : comme dans les scènes de genre hollandaises, la lumière vient de la fenêtre ronde à gauche, éclaire le visage, la nuque et la main de la jeune fille, ainsi que le petit chien blanc. d’autres taches lumineuses sont apportées par la blancheur de l’animal, celle du papier qui entoure le bouquet, celle du “billet doux” et des