La Symbolique Des Fenêtres

œuvre les règles de l’incipit romanesque dans son roman. L’indication au lecteur est aussi une exigence caractéristique du roman naturaliste. Cette ouverture accorde une grande place à la description. Cet incipit naturaliste annonce des éléments symboliques. Un incipit romanesque … Le roman commence par "Gervaise", prénom de l’héroïne, pour attirer l’attention du lecteur sur le personnage principal. Zola ne l’appelle que par son prénom pour paraître plus familier. Sur la même ligne, il y

meuble », un hô. au milieu, glauque, sombre, inquiétant, étrange → « lumière grisatre », oppressant, restreint, peu d'actions possibles, flou → pas de détails sur les murs, le sol. Dégage qqch. de secret, caché. Pas réaliste, sorte de cellule, fenêtre et rideau fermés → évoque le salon bourgeois, tableau retourné, poubelles. Grenier ? → draps, objets déposés, laissés à l'abandon, de côté. (déchets ?) 2 personnages présents : Hamm, assis, immobile. Clov : automate, répétition. Les personnages

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mansarde, Je verrai l’atelier qui chante et qui bavarde ; Les tuyaux, les clochers, ces mâts de la cité, Et les grands ciels qui font rêver d’éternité. Il est doux, à travers les brumes, de voir naître L’étoile dans l’azur, la lampe à la fenêtre, Les fleuves de charbon monter au firmament Et la lune verser son pâle enchantement. Je verrai les printemps, les étés, les automnes ; Et quand viendra l’hiver aux neiges monotones, Je fermerai partout portières et volets Pour bâtir dans la

interactive dans la mesure où, une fois fondé, le lieu lui-même est en même temps produit et producteur de symbolique et de social. » (voir p.104) Le seuil et la fenêtre constitue deux « dispositifs de délimitations et de passages » fondamentaux dans la fondation qui permettent de créer un lien entre intérieur et extérieur tant sur le plan spatial que sur les plans social et symbolique. Distribuer et classer Au travers de ce terme, la notion de classification rentre en jeu afin de « découper

sont dans une tour latérale, avec un escalier monumental dans un coin. La façade du donjon, vue de la cour, montre une dominance des lignes horizontales et verticales (viennent de l'Italie) ordonnées par la disposition régulière et symétrique des fenêtres. 2. La complémentarité antique/gothique La structure géométrique de Chambord vient du modèle antique, mais qui se développe et que l'on peut retrouver dans des architectures plus traditionnelles. L'architecture est un mélange d'antique

avec un épée, une lampe à pétrole, un homme dans les flammes, une femme boiteuse, un fantôme, une colombe et une lampe. Au deuxième plan, on peut aperçevoir des architectures intérieures qui alternent avec des vues extérieures, des portes, des fenêtres, des flammes, des toits, un dallage. L'un des pricipaux personnages est le cheval au centre de l'oeuvre. Il est blessé car une lance lui transperce le flanc, cela s'appelle les blessures du Christ , il hennit de douleur, son corps est désarticulé

d’un œil. Ce pourrait être celui du peintre qui regarde et montre la scène. La lumière peut aussi symboliser l’espoir. La tête venant de l’extérieur, le bras qui tend une bougie Un visage qui ressemble à un fantôme vient de l’extérieur, d’une fenêtre ouverte au plafond. Il regarde la scène, stupéfait, la bouche ouverte. Un bras tend une bougie. Appartient-il au même personnage ? Ce pourrait être le bras du peintre qui vient faire la lumière (faiblement, avec ses moyens) sur ce qui s’est

du caractère des personnages. On voit se dessiner malgré tout un certain nombre d’infractions aux codes narratifs traditionnels et aux codes narratifs que le roman semblait mettre en place II/ Un extrait déroutant 1) Un extrait lacunaire et symbolique Un certain nombre d’informations ne nous sont pas données. Nous apprenons de manière indirecte que l’action se passe au printemps (« au cœur de l’après-midi de ce printemps ») ; la vedette qui passe nous permet de comprendre que le récit est

d’une nouvelle vie, l’axe de l’Exil nous mène à la lumière .Le jardin de l'Exil est encaissé et on ne perçoit toujours pas le monde extérieur. Le jardin est composé de 49 colonnes disposées en 7 rangées de 7 éléments. Elles représentent un choix symbolique : « 48 colonnes remplie de terre de Berlin qui symbolisent la création de l’Etat d’Israël en 1948 et une colonne remplie de terre de Jérusalem qui symbolise la ville de Berlin elle-même. » . Après la découverte de la lumière extérieure du jardin