La Synesthésie

animaux par l’auteur A. La nuit qui s’en va « Frais et blêmes éclats » / lumière se lève et se voit à travers les arbres / « ailes » ailes de la nuit qui s’en va / métonymies (« ailes », « haleines ») / oxymore (« blêmes éclats ») B. Des synesthésies que seul le poète comprend Tout dans la nature correspond / poète comprend le langage des fleurs / parle avec animaux / « cascade »  chevelue de la déesse / « cime argentée »  lumière qu’elle amène avec elle Axe III : La course après le

traduisit notamment des les ouvres de Poe (1809-1849) et les fit connaitre au grand public. Il considere le beau comme l'alliance du beau et du passager et il l'explique dans ,,Le Peintre de la vie moderne'', (1863). Veritable orchestre des sensations (synesthesis), ses ,,Petits poemes en prose'', (1869) ainsi que les autres recueils cités précédemment demeurent parmi les ouvres les plus unanimement appreciées de notre litterature. 2. LA POÈME L'ALBATROS Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage

vagabonde » renforce le thème du voyage.· L’adjectif « vagabonde » fait aussi renforcer le thème du voyage (la femme emporte le poète)-La présence des sens sensoriels « voir », « odorante » et « froids » démontrent aussi la sensualité et de la synesthésie-Le poète continue sa description en descendant en décrivant les yeux.· La vision du poète commence de haut en bas-Les yeux sont comparés à deux bijoux : Les yeux sont montrés comme impénétrables par l'expression « où rien ne se révèle », comme s'il

correspondances se retrouvent surtout dans les deux tercets qui ne sont en fait une seule phrase introduite par une formule impersonnelle « Il est » qui signifie ici « il y a ». Baudelaire effectue différentes correspondances entre les sens, des synesthésies toutes aussi surprenantes les unes que les autres, en commençant à la ligne 8 avec « les parfums, les couleurs et les sons se répondent ». En effet, à la ligne 9, il met en relation l’odorat « parfums frais » et le toucher « chairs d’enfants »

le suggère l'adjectif « petit ». De même, le poète utilise des petites touches de couleurs : « argent », « bleu », « vert » ou les suggère avec « soleil ». Il accorde une grande importance à la lumière : « Luit », « mousse de rayons ». Cette synesthésie de couleurs suggère plus la nature qu’elle ne la décrit et le décor paraît presque immatériel. Tous nos sens sont sollicités : la vue avec les couleurs, le toucher avec les adjectifs frais et froid, l’ouïe avec tranquille et l’odorat avec le substantif

la laideur → antithèse en rimes embrassés âme/infâme, doux/caillouxAnalyse deuxième strophe ● associe la charogne à une femme aux allures érotique → CL de la luxure « Jambes en l’air », « femme lubrique », « brûlante », « suant les poisons » ● synesthésie : vue, toucher “brulante” odorat: le laid present ds chaque sens Analyse de la troisième strophe : B. conduit le lecteur vers la laideur ● description de la charogne se fait grâce à esthétique de l’antithèse → opposition soleil/pourriture (fusion

climat chaud, couché de soleil, mer, pays chaud,… · PRINCIPE DES CORRESPONDANCES : Entre la réalité et un monde imaginaire. Par l’écriture, on va de la réalité aux rêves en faisant l’usage de symboles, d’images de métaphores et d’allégories. · SYNESTHESIE : Correspondance de tous les sens (vue,odorat,…) Ca donne un écriture très sensuelle avec des champs lexicaux,… Des termes qui renvoient à l’ouïe,… Comme tous les poètes, il a eu 3 muses : 1) Jeanne Duval, il l’a surnommé « La Vénus noire »

Ce n'est qu'en 1855 que Baudelaire choisit Fleurs du Mal pour intituler dix-huit poèmes dans La Revue des Deux Mondes. Correspondances [modifier] Baudelaire tout au long de son œuvre joue sur les correspondances verticales et horizontales (ou synesthésies baudelairiennes) qui inspirent par la suite de nombreux poètes. Toute son œuvre est construite sur un cheminement moral, spirituel et physique. Il met aussi en évidence les relations entre les cinq sens et les émotions de l'Homme. Thème de la

interprétations. un quartier qui fait appel aux sens : les sensations se mêlent et se confondent tout est synesthésie (mélange de sensations) : les « seins sans sueur ni odeur » du I s’opposent aux « brouillard bleu des cigares » (vue et odeur) « odeurs flamboyantes » (goût+vue), « bruits de couleur » (ouïe et vue), « brise verte » (toucher et vue). Il y une sorte d’ivresse liée aux synesthésies ; celles-ci sont énigmatiques : comment concevoir une brise verte ou une odeur flamboyante ? : en fait il

d’identification et de sensationnalisme : pour augmenter l’effet ou l’atténuer (préfixes et suffixes « hyper », « issime », « ette », « super », etc. // Utilisation du superlatif // Répétition des attributs // La comparaison // L’épithète, et la synesthésie (mélange de sensations) // Verbes : surtout à l’indicatif et à l’impératif // Structure syntactiques : domine la construction nominale, le nom plus le nom de marque, et la publicité peut jouer avec toutes les possibilités. La subordination est