La Séparation Des Pouvoirs Selon Napoléon Bonaparte

il peut se proclamer représentant du peuple et agir en son nom. R 2. Aucune procédure n’a été prévue pour régler les éventuels conflits entre le pouvoir exécutif et le pouvoir législatif. C’est d’ailleurs cette lacune constitutionnelle qui causera la ruine du régime. Doc 5 : R 1. Le président de la République dispose de l’ensemble des pouvoirs régaliens. En tant que chef de l’État, il nomme tous les fonctionnaires (civils et militaires) et il commande l’armée et la force publique. Ce président

de vérifier la conformité légale des décisions prises afin de conserver l’unité et l’indivisibilité de l'État. Il s’agit donc d’une vision libérale de celui-ci. Ceci est inscrit dès l’article premier de la Constitution Française du 4 octobre 1958 selon lequel « La France est une République indivisible » et « Son organisation est décentralisée». Cependant, la France n’a pas toujours été cet État unitaire décentralisé que nous connaissons aujourd’hui. La succession de régimes monarchiques n’a pas permis

C'est un système très français. En France, il y a la société civile (droit privé) et l'état (droit public). Les systèmes des pays anglo-saxons ne connaissent pas cette distinction (Common Law). Les pays sous domination française (pays conquis par Bonaparte et colonies) contiennent cette distinction. C'est une tradition romano-germaniste, le collectif est supérieur à l'individuel. Cette distinction est un choix politique crée et maintenu par la France. En France, l’État a fait la nation, ce n'est pas

considéré comme le père de la nation. D'autres revendications sont plus ciblées comme le droit de chasse, l'abolition des droits seigneuriaux...Tout cela débouche sur la réunion du 5 mai 1789 : réunion des états généraux à Versailles. On rassemble selon les trois ordres : vote par ordre et non vote par tête. II. L’année 1789 Durant l’année 1789, les évènements se succèdent et constituent à la fois une révolution politique, une révolution populaire et une révolution juridique. 1) Le problème du

 aux principes récurrents que l’on retrouve dans  les textes juridiques français.  Nous devons ces principes à la révolution française.  La  notion  de  liberté  peut  se  décliner  sous  plusieurs  formes.  Dans  l’opinion  commune  l’idée  de  liberté  renvoie  la  possibilité  de  pouvoir agir selon sa propre volonté, dans le cadre d'un système politique ou social, dans la mesure où l'on ne porte pas atteinte  aux droits des autres et à la sécurité publique. Mais dans le contexte de la révolution, le mot prend plus d’ampleur. Il prend une 

sur la scène de l’international Institution qui bénéficie la façon d’exercer la souveraineté II. LA CONSTITUTION La Constitution c’est de pouvoir fixer par écrit les règles de l’Etat. Elle comprend l’essentiel des règles qui fixe le pouvoir public. C’et une multitude textes qui constituent une Constitution, les règles d’organisation du pouvoir public. Apparait Elle assure la liberté des citoyens, vu comme un facteur d’émancipation dans le but d’éviter la tyrannie. C’est le texte suprême.

les réformes nécessaires au bien de son royaume, sans consulter les états généraux. Il est ensuite repris par le Comte Ferrand, moins connu. De leurs programmes, on retient surtout qu'ils sont favorables à l'abolition des privilèges, une séparation des pouvoirs, ou encore le maintien des trois ordres. On trouve ensuite Sénac de Meilhan, qui reprend les idées de Montesquieu, les abbés Barruel et Duvoisin, partisans d'un absolutisme intégral, et qui incluent Dieu au centre de leurs pensées. C'est

est en marche selon un mot de MIRABO « nous sommes ici par la volonté du peuple, et nous en sortirions que par la puissance des baïonnette ». Après quelques velléités de répressions, le roi va se soumettre et il ordonne aux représentants des deux autres ordres (la noblesse et le clergé) de rejoindre l’assemblée nationale. Celle-ci va se proclamait le 9 juin 1789 assemblée constituante au vœu et donc de doter la France d’une constitution qui va élimer les privilèges et limiter le pouvoir royale. L’assemblée

du 15 mai). -L’échec du système républicain : La Constitution et la séparation des pouvoirs issus du suffrage universel. La faiblesse du dispositif institutionnel (deux pouvoirs d’égale légitimité, sans action l’un sur l’autre). La politique réactionnaire de l’assemblée (lois répressives, « aménagement du suffrage universel »). Le conflit entre Le Président et l’Assemblée. En 1851, un coup d’état de Louis Napoléon Bonaparte a sonné la fin de la Seconde république et a renvoyé les républicains

idéologiques.   Connaitre le passé permet: De comprendre si certains évènements sont inédits ou non De mieux comprendre les choix politiques et institutionnels sous la Ve république (ex: Crainte d'un pouvoir exécutif et personnel trop fort aux mains d'un seul homme concernant le président: hérité du coup d'Etat de Napoléon III en 1851)   Comment la science politique utilise le matériaux historique pour nourrir les problématiques actuelles ?   Vie politique (définition): Le terme politique est polysémique (étymologie: