La Terre Zola Commentaire

correction commentaire : la mort de Nana. Nana, Emile Zola,1881 ANALYSE DU TEXTE ( BROUILLON) Composition : extrait de roman naturaliste . mort du personnage principal et excipait du roman : fin d'un monde , d'une époque texte narratif ( 3 personnages qui fuient : valorisation de l'horreur et de la solitude de Nana) Rose = témoin de l'horreur" mais part : Nana finit absolument seule Mais paragraphe principal = texte descriptif. Portrait , tableau d'un morte . Aspect pictural Narrateur

LA TERRE THÉRÈSE RAQUIN UNE PAGE D’AMOUR LE VENTRE DE PARIS LA VÉRITÉ EN MARCHE. L’AFFAIRE DREYFUS ZOLA JOURNALISTE. ARTICLES ET CHRONIQUES Extrait de la publication ZOLA MES HAINES Présentation, notes, chronologie et bibliographie par François-Marie MOURAD GF Flammarion Extrait de la publication Extrait distribué par Editions Flammarion Professeur de chaire supérieure au lycée Montaigne de Bordeaux, FrançoisMarie Mourad est l’auteur de nombreux ouvrages sur Zola et le

fait allusion à la célèbre fable de La Fontaine, conjugue deux idées antagonistes mais complémentaires : la petitesse et la faiblesse de l’enfant, et la grandeur et la puissance de la révolution en marche. Dans les extraits de Flaubert et de Zola, le peuple apparaît sous la forme d’un personnage collectif. Il existe quelques points communs, liés à l’évocation d’une foule en marche : l’emploi de la métaphore de l’eau ( « fleuve », « flots vertigineux », « marée d’équinoxe » dans le texte B ;

II- Le commentaire Ce texte est extrait du treizième et dernier chapitre de l’Assommoir, paru en 1877 et écrit par le romancier et naturaliste Emile Zola. Le naturalisme est un courant littéraire de la fin du Second Empire, né de l’influence de la science et des débuts de la psychiatrie et qui s’intéresse aux classes pauvres. L’Assommoir relate l’histoire d’une famille d’ouvrier, vivant de misère et de douleur morale. Coupeau a été interné à l’asile Sainte-Anne et meurt peu de temps après. Gervaise

l’écrit : 3-4 textes sur un objet d’étude déterminé (4h) : roman, théâtre, poésie, argumentation 1 ou 2 question(s) sur les textes 4pts 1 commentaire composé 1 dissertation 16 pts 1 écriture d’invention b) A l’oral : commentaire composé sur un texte préparé pendant l’année (15-20 textes étudiés en classe) : 30 minutes de préparation, 10 minutes de commentaire et 10 minutes de questions/réponses 3) Lieux des épreuves : Ecrit au Blaise Pascal, oral Saint-André 4) Proclamation des résultats :

FRANÇAIS ÉCRIVAINS TÉMOINS DE LEUR TEMPS HONORÉ DE BALZAC GUSTAVE FLAUBERT CHARLES DICKENS ÉMILE ZOLA À une accélération considérable du rythme de l’Histoire, des sciences et des arts qui vaut à la France dix régimes en cent ans, correspond, au XIXe siècle, une accélération du rythme de la littérature. Les écrivains sont tentés par deux thèmes essentiels et opposés : d’une part, le romantisme, le dilettantisme et le symbolisme qui s’attachent avant tout à la représentation du moi, et d’autre

Rougon-Macquart de Emile Zola et la parrution du recueil collectif des soirées de Médan entrainent des débats. Les œuvres ont été faites dans certains pays à ce moment-là dans la même mouvance : -La déshéritée en 1881 en Espagne par Benico-Pénez Galdos -Voyage de noces d’Emile Pardo Bazan en Italie -Glacinta par Luigi Capuana en 1879 en Suède Troisième étape :Les années de 1885 à 1895 marquent le triomphe du naturalisme européenne.La France est atteint par Germina en 1885 d’Emile Zola est suivi d’une

L’ASSOMOIR DE EMILE ZOLA L'Assommoir est un roman d'Émile Zola publié en 1877, septième volume de la série Les Rougon-Macquart. C'est un ouvrage totalement consacré au monde ouvrier et, selon Zola, « le premier roman sur le peuple, qui ne mente pas et qui ait l'odeur du peuple ».[1] L'écrivain y restitue la langue et les mœurs des ouvriers, tout en décrivant les ravages causés par la misère et l'alcoolisme. A sa parution, l'ouvrage suscite de vives polémiques car il est jugé trop cru. Mais c'est

1 COMMENTAIRE DU DÉBUT DU CHAPITRE 5 DE THÉRÈSE RAQUIN (1867) D’ÉMILE ZOLA : LA RENCONTRE ENTRE LAURENT ET THÉRÈSE TEXTE Un jeudi, en revenant de son bureau, Camille amena avec lui un grand gaillard, carré des épaules, qu’il poussa dans la boutique d’un geste familier. – Mère, demanda-t-il à Mme Raquin en le lui montrant, reconnais-tu ce monsieur-là ? La vieille mercière regarda le grand gaillard, chercha dans ses souvenirs et ne trouva rien. Thérèse suivait cette scène d’un air placide. –

qui fait allusion à la célèbre fable de La Fontaine, conjugue deux idées antagonistes mais complémentaires : la petitesse et la faiblesse de l’enfant, et la grandeur et la puissance de la révolution en marche. Dans les extraits de Flaubert et de Zola, le peuple apparaît sous la forme d’un personnage collectif. Il existe quelques points communs, liés à l’évocation d’une foule en marche : l’emploi de la métaphore de l’eau ( « fleuve », « flots vertigineux », « marée d’équinoxe » dans le texte B ;