La Terreur 1793 1794

occupées (titre, métier …) : Officier de la marine Royale jusqu’en 1783, député suppléant sous la Convention en 1792, commissaire prés Barras (1755-1829) de l’armée d’Italie en 1792, membre du comité de la sureté générale en 1794, commandant de la force armée de Paris en 1794, président de la Convention en 1775, général en chef de l’armée de l’intérieure en 1795, membre du Directoire de 1795 à 1799. Actions réalisées : Paul Barras entre dans la marine Royale en 1771 et sert en tant qu’officier

brochures. => Sévérité particulière envers les colporteurs et des afficheurs, menacés de prison. Situation extrêmement tendue : crainte de soulèvements si des textes violents obtenaient trop de publicité. 1.3. La presse, victime de la Terreur (août 1792-juillet 1794) 10 août 1792 : chute de la Royauté mais aussi suppression brutale de la presse royaliste et suspension de la liberté de la presse => exigence de « salut public ». Contexte : menaces contre la Révolution. Sentiment que la liberté d’expression

convention nationale se met en place aboutissant à la royauté et met en place la première république qui commence le septembre 1992. La révolution se radicalise si bien que la convention nationale va instaurer la terreur à partir du printemps 1793 jusqu’à’a la chute de Robespierre en juillet 1794.Robespierre chute en Thermidor an II puis la convention thermidorienne organise la république sous la forme d’un directoire, sous lequel Napoléon Bonaparte prépare et réussi un coup d’état du 18 brumaire an

avaient un choix politique a faire, soit la révolution soit la royauté, le choix était entre le passé et l’avenir et ce lui qui a déclaré son opinion est Robespierre « Louis doit mourir car il faut que la patrie vive ». La constitution de l’an 1 : 1793 : nouveau comité de députés charger de rédiger une nouvelle constitution. Comité assez représentatif de l’assemblée. Le premier projet vient des Girondins, il vient de Condorcet qui est alors le seule philosophe ayant participer à la révolution, c’est

de nouveaux principes qui vont être traduits dans des réformes successives. L'interet ici serait de savoir si ces réformes ont été favorables à la mise en oeuvre du principe de séparation des pouvoirs. Les bouleversements de 1789 à 1794 ont-ils réellement permis une mise en oeuvre du principe de séparation des pouvoirs? Dans un premier temps nous nous intéresserons aux événements survenus dans la période des états généraux à la constituante (I) puis dans un second

Just. Un gouvernement révolutionnaire s’établit à partir du 2 octobre 1793. Il est légitimé par le fait qu’une dictature du Salut public se fait pour combattre les contre-révolutionnaires. La Convention est un nouveau régime qui a pour mission d’assurer les affaires courantes de la France et la doter d’une nouvelle Constitution. Les travaux relatifs à la nouvelle Constitution commencent après l’exécution du roi le 21 janvier 1793. Ils sont opposés à la monarchie constitutionnelle et veulent renforcer

financière la prise de la Bastille les « sans-culottes » : les parisiens pauvres étaient appelés « sans-culottes » pace qu’ils portaient des pantalons ordinaires au lieu des culottes coupés aux genoux les français riches ou pauvres le pouvoir la Terreur : un groupe extrémiste conduit par Robespierre qui avait pris le pouvoir à Paris l’exécution publique du roi les impôts l’Assemblé Nat ionale : les représentants du tiers-états ont refusé d’accéder à la demande du roi d’augmenter les impôts et

Cette condamnation et l'exécution du roi, le 21 janvier 1793, marquent la fuite en avant d'une révolution qui se radicalise pour faire face aux menaces nouvelles soulevées par la mort du roi (guerre contre toutes les monarchies européennes, insurrections à l'intérieur du pays, ...). Ainsi par sa mort Louis XVI contribue une nouvelle fois à relancer la Révolution et à la mise en œuvre de la Terreur jusqu'au 9 thermidor an II (27 juillet 1794). Louis XVI, par ses prises de position comme souverain

distendu et ne sera plus jamais appliqué. La convention ne va pas déboucher sur une véritable Constitution mais des projets constitutionnels qui vont avortés. Ce qui frappe l’esprit c’est de noter les différences entre les constitutions de 1791 et 1793 qui est le caractère beaucoup plus prononcé de l’idéal démocratique qui se traduit par l’affirmation dans la souveraineté et la subordination de l’exécutif. Dans les projets constitutionnels de l’an I, il n’y a pas de grdes différences dans les formulations

et l’église n’occupe plus un très grand rôle dans le gouvernement. Comment l’Église a t-elle perdue son influence sur la France pendant la Révolution? Nous allons voir comment de 1789 à 1790 elle a commencé à perdre de l’importance, que de 1790 à 1794 elle traverse un période qui l’a détruit presque complètement et comment elle se relève petit à petit de 1795 à 1804, au fur et à mesure des différentes réformes de la Révolution. De 1789 à 1790, on observe les premiers signes d’une séparation