La Tête de maman

de vendre Ephraïm, un garcons de neuf ans. Ephrain était mince et maigre, vêtu simplement et pieds nus. Il gardait les yeux au sol. "Il n'y a pas besoin d'avoir peur de moi», Washington lui a dit. «Je ne vais pas vous battre." Ephraim hocha la tête, mais ne semble pas convaincu. "Avez-vous faim?" Washington lui a demandé. "Mon enfant, sois nourri", a déclaré Alfred, mais Ephraim leva les yeux vers Washington avec de grands yeux et triste. Il avait été bien nourris ce matin-là, mais il avait

Kampf. La petite Anglaise, les joues rouges, les yeux effarés et doux, un chignon couleur de miel roulé autour de sa petite tête ronde, se glissa par la porte entrebâillée. – Je vous ai engagée, commença sévèrement Mme Kampf, pour surveiller et instruire ma fille, n’est-ce pas ? et non pour vous coudre des robes… Est-ce qu’Antoinette ne sait pas qu’on se lève quand maman entre ? – Oh ! Ann-toinette, how can you ? dit Miss avec une sorte de gazouillement attristé. –3– Antoinette se tenait

disciplines apporte une complémentarité dans la compréhension des situations de maltraitance ainsi que dans les moyens déployés. Je garderai à l’esprit que cette équipe est très investie dans les investigations qu’elle poursuit afin de toujours avoir en tête d’aboutir à l’arrêt de cette maltraitance. 2.1.1 Les assistantes sociales En tant que stagiaire-assistante sociale, j’ai pu découvrir que les fonctions et tâches que je devais prendre en charge étaient très diversifiées. L’assistante

ans G Louna 6 mois F Maman Océane 3 ans F Maman Karim 3 ans G Nayla 9 mois F Maman Youssouf 3 ans G Maman Maria 2 ans F Maman + VAVU Tarek 3 ans G Ajar 2 ans F Maman Abraham 3 ans G Lisa 1 an F Maman Yasmina 3 ans F Youmna 1 mois F Maman + Tante + Grand-mère Aglaé 3 ans F Maman Julie 2 ans ½ F Adrien 1 an G Maman + Papa Zinedine 2 ans G Maman Anne 1 an F Maman Frédéric 5 ans G Eleonore 2 ans F Maman Djamila 5 ans F Maman Sandrine 2 ans F Maman Youmna 5 ans F Kader 5

voiture, le 4 janvier, avec Michel Gallimard. Résumé du livre "L'étranger" de Camus (1/2) PREMIERE PARTIE CHAPITRE I C'est jeudi. Aujourd'hui, maman est morte dans son asile à Marengo, situé à quatre-vingts kilomètre d'Alger. Au restaurant de mon ami Céleste, tous avaient de la peine pour moi. Cependant, dans mon esprit, c'est comme si maman n'était pas morte. Je n'étais pas en deuil. A deux heures, j'ai pris l'autobus. Il y avait une chaleur torride. Mme Meursault, ma mère, vivait assez

rend régulièrement visite.Après avoir fini mes toilettes je sors de la chambre de ma résidence que je prends en charge. Madame M m’interpelle et me demande:· Madame M: Vous savez ou elle est maman ?· Moi: Bonjour Madame M, je suis désolé je ne sais pas ou elle est votre maman Madame M commençait à appeler sa maman partout.Je décide d’appeler l’aide soignante Carole car je n’ai pas su gérer la situation: en effet Madame M est habituellement à peu près cohérente dans ses propos c'était la première fois

selon un modèle qui ressemble a un vrai langage ( mais qui n’a pas de signification particulière ) L’expression gestuelle : (Entre 9 et 12 mois) Les enfants apprenne des geste sociaux conventionnels(agiter la main pour dire, au revoir, Secouer la tête pour dire non ou oui. Applaudir pour montrer qui les heureux…).Ensuit ces gestesdevienne plus élaboré ( lever les bras pour ce faire prendre, prendre un vers vide pour dire qu’il a soif). Ce son les gestes symboliques. Ils apparaissent généralement

famille. Tante Marthe habitait une grande maison en dehors du village, une sorte de manoir. Elle y vivait seule, je pense depuis toujours, ou du moins je n'y avais jamais vu personne à l'exception des membres de notre famille. Tout petite, maman m'obligeait à y aller. La maison etait si triste, je restais là sur le canapé du salon à écouter ma mère faire la conversation à tante Marthe. Je n'avais pas le droit de bouger, je n'aurai pas bougé un pouce d'ailleurs, cette maison avec ses

B/ Résumé Première partie. Chapitre 1: Le narrateur, Meursault, vient de recevoir un télégramme lui annonçant la mort de sa mère. Il prend l’autobus pour se rendre à l’asile de vieillards, non loin d’Alger, à Marengo. Il a fait interner sa maman quelques années plus tôt car il n'avait plus les moyens de la gerder chez elle. Il a une entrevue avec le directeur, se rend à la morgue, où il refuse de voir le corps de sa mère, a une conversation avec le concierge, accepte une tasse de café au lait

l' « Hôtel Idéal » et que j'ai demandé en bas si Madame Boretzki était là, il m'a été répondu : « Non, Madame Boretzki est sortie. – Et quand va-t-elle rentrer ? – Elle n'a rien dit. » Et le lendemain matin, quand je suis arrivée dans la chambre de maman, ella m’a annoncé qu’elle allait partir, rentrer en Russie le soir même, elle avait déjà retenu sa place dans le train… Mais en dehors de cela, tous les mots qu’elle a prononcés, les sentiments qu’elle a exprimés, ceux que j’ai éprouvés, tout a entièrement