La Thébaïde

du décadentisme) Jean Floressas (personagge solitaire et misogyne comme Huys.), duc Des Esseintes, est le héros extravagant de cette œuvre. Lassé de la vie et dégoûté de l'humanité il se retire du monde et s’installe en province. Reclus dans sa "thébaïde raffiné”, Il s'efforce de vivre à rebours de son temps. Il aménage sa maison en véritable esthète et entretient sa solitude

principaux ainsi que du schéma dramatique Les représentations de Phèdre aux xviie et xviiie siècles sur le site CÉSAR [enrouler] v · d · m Œuvres théâtrales de Jean Racine Liste de œuvres pour le théâtre de Racine par ordre chronologique La Thébaïde • Alexandre le Grand • Andromaque • Les Plaideurs • Britannicus • Bérénice • Bajazet • Mithridate • Iphigénie • Phèdre • Esther • Athalie Portail du théâtre Portail de la France du Grand Siècle Catégories : Pièce de théâtre de Jean Racine |

dangereuse. Les révoltes furent particulièrement nombreuses sous le règne de Philopator (204-180). L’an 1er de son règne, des troupes avaient été envoyées de Thèbes à Ombos dans les régions supérieures. La puissance fut secouée par une révolte de la thébaïde et d’une grande partie de la haute Egypte où les rebelles se sont donné des rois indigènes, ANCHMACHIS et HERMACHIS. Ces rebelles étaient dits être protégés par la puissante corporation des prêtres thébains jaloux de la primauté reconnue à leurs

racine est élevé chez les Jansénistes. Il espère un temps obtenir un bénéfice ecclésiastique et se décide finalement à devenir écrivain. Dès 1664, il obtient une pension annuelle après avoir écrit une Ode sur la convalescence du Roi. La même année, La Thébaïde ou les frères ennemis, sa première tragédie est jouée par la troupe de Molière, mais n'obtient pas le succès qu'aura la seconde : Alexandre le grand (1665), que Racine, après quatre représentations, confie à l'Hôtel de Bourgogne, troupe rivale de

on utilise donc l’expression « avoir les yeux de Chimène » pour dire : regarder quelqu’un avec (amour (indifférence (ironie (mépris (Jean Racine (1639-1699) Racine écrit des tragédies dans lequelles il reprend plusieurs mythes. Dans La Thébaïde, il reprend le mythe d’Oedipe. (Lisez le résumé du mythe d’Oedipe[5] et répondez aux questions : La reine Jocaste attend un enfant. Son mari Laïos, roi de Thèbes, demande alors aux dieux de lui prédire l’avenir du futur bébé. L’oracle répond :

profane (=pas religion)) Cette école lui a été d’une grande influence pour la suite de sa carrière et lui a apporté une excellente formation, car c’etai un enseignement de qualité. Racine s’est fait connaître en 1665 par le succès de la piece La Thébaïde et par celle d’Alexendre le Grand une année après. (ces deux pièces ont été représenté par la troupe de Molière et apres quelques représentations la discorte a eclaté entre les deux auteurs, car racine fut mécontent de la maniere dont la troupe

Paris et entre au service du duc de Luynes, janséniste austère, ce qui ne l'empêche pas de fréquenter une société de mondains et de lettrés. Racine choisit ensuite de se consacrer à la littérature et particulièrement au théâtre en faisant jouer La Thébaïde en 1664 et Alexandre le Grand en 1665, qui est son premier succès et qui lui vaut le soutien du jeune roi Louis XIV mais il se brouille avec Molière. Jean racine est mort à Paris le 21 avril 1699 a l'âge de 59 ans. Le titre de l’œuvre est

philosophie au collège d'Harcourt. L'enseignement qu'il reçoit est fondé sur l'étude de la Bible. Il commence a écrire c’est premier poèmes puis il choisit de se consacrer entièrement à la littérature . Ses œuvres les plus importantes : -La Thebaïde ou les frères ennemis (1664) -Alexandre le Grand (1665) -Andromaque (1667) -Les plaideurs (1668) -Britannicus (1669) -Bérénice (1670) -Bajazet (1672) -Mithridate (1673) -Iphigénie (1674) -Phèdre (1677) -Esther (1689) -Athalie (1691)

Lecture linéaire : Jean-Luc Lagarce, Juste la fin du monde (1999) : Partie 2, scène 2 :L’extrait analysé  : l 80 « Catherine. - Elle ne te dit rien de mal, tu es un peu brutal, on ne peut rien te dire … » p 113 jusqu’à l 128« Louis. – Je crois aussi. » p 114 Introduction : Jean-Luc Lagarce écrit la pièce Juste la fin du Monde en 1990 alors qu’il est atteint du sida et se sait condamné à une mort prématurée ; il mourra en 1995 à l’âge de

revint alors à Paris pour se consacrer à la littérature. Après avoir écrit une Ode sur la convalescence du roi (1663) afin de s’attirer les faveurs du monarque, il fit représenter au Palais-Royal par la troupe de Molière sa première tragédie, la Thébaïde ou les Frères ennemis (1664), et l’année suivante, Alexandre le Grand, qui lui apporta le succès. Cependant, mécontent de la mise en scène de cette dernière pièce, il la retira à Molière pour la confier à une troupe rivale, celle de l’hôtel de Bourgogne