La Théorie Des Avantages Comparatifs Ricardo

façonnés cette ouverture des échanges, ce capitalisme international. Le premier chapitre s’intéresse à cette structuration de l’espace international depuis la fin du Moyen-Age jusqu’à nos jours. Dans un second chapitre, nous nous pencherons sur les théories économiques qui soutiennent l’ouverture internationale, elles tiennent un poids considérable dans le discours dominant ou dans le discours du pays dominant. Le troisième chapitre sera consacré aux problématiques actuelles de l’économie internationale

mondial ? Introduction : Depuis le 18ème siècle, de nombreux économistes et notamment Adam Smith, avec sa théorie de l’avantage absolu, a soumis l’idée que le libre-échange profitait à toutes les nations qui l’adoptaient. Le libre-échange est une doctrine fondée sur le principe du « laisser faire, laisser passer » de Vincent de Gournay. Il correspond plus concrètement à la théorie selon laquelle les pays sont dans une situation avantageuse dès lors qu’ils ouvrent leurs frontières aux échanges

Pierre- Noël Giraud/ Ecole des Mines/ Cours d'Initiation à l'Economie 1 Plan •La théorie du commerce international •Théorie classique: de Ricardo à HOS •Développements récents •La globalisation •Qu’est ce que la globalisation? •L’OMC •Globalisation et inégalités 31/01/2005 Pierre- Noël Giraud/ Ecole des Mines/ Cours d'Initiation à l'Economie 2 • La théorie du commerce international • Théorie classique: de Ricardo à HOS • • Développements récents La globalisation • Qu’est ce que la globalisation

1790 : quand un pays a un avantage absolu, il a intérêt à pratiquer le commerce internationale, (ex : pays producteur de pétrole). 2. L’avantage comparatif (relative) de Davis Ricardo 1772- 1823 : pour éclairer la théorie de l’avantage absolu, il introduit la valeur travail, et quand deux pays n’ont pas d’avantage absolu ils sont aussi intérêt à pratiquer le commerce international, ou un des deux pays souvent à un avantage comparatif. Exemple : Portugal avec 2 avantage absolu sur la production

entreprises multinationales. Mais le retour récent des crises a conduit à une résurgence des réflexes protectionnistes et à une recherche effrénée des avantages de la compétitivité. L'ensemble de ces transformations a profondément modifié la hiérarchie de la puissance économique entre les régions du monde, faisant émerger de nouveaux partenaires. Les théories de l'échange international : libre-échange ou protectionnisme ? • Le libre-échange caractérise une situation dans laquelle les échanges extérieurs

cela qu’ils s’interdisent tout recours à des mesures de type protectionniste, c’est-à-dire qui limitent les échanges entre pays ? Le libre-échange est nécessaire pour les pays développés et permet d’augmenter la production mondiale : Adam Smith, Ricardo l’avaient déjà montré. Mais le libre-échange intégral ne défavorise-t-il pas les secteurs faibles ? I- Le libre-échange permet d’augmenter la production mondiale Depuis 1970, les exportations mondiales et la production mondiale ont augmenté

dotations relatives, les pays se retrouvent en autarcie. Théorie des avantages absolus[modifier]Cherchant à défendre l'idée du libre-échange, Adam Smith montre, à la fin du XVIIIeme siècle, en 1776, qu'un pays ne doit pas hésiter à acheter à l'extérieur ce que les producteurs étrangers peuvent produire à meilleur compte que les producteurs nationaux. Le pays qui vend un certain produit moins cher que tous les autres pays possède ainsi un avantage absolu pour ce produit. Smith indique alors qu'un pays

Les théories traditionnelles du commerce international A. Analyses de Adam Smith et David Ricardo (18eme) Les analyses de ces deux auteurs sont à l'origine du commerce internationale, elles s'opposent au courant mercantiliste du 16eme siècle qui propose plus du protectionnisme. Smith montre que le LE est facteur d'enrichissement pour les nations qui participent au commerce internationale. Chaque nation doit se spécialiser dans la production pour laquelle elle dispose d'un avantage absolue

XVIIIème : les physiocrates (QUESNAY, TURGOT) Les classiques : (travail sur la valeur d’échange) - 1776 : SMITH - 1817 : RICARDO - 1867 : MARX Les néoclassiques : (travail sur la valeur d’utilité) - années 1890 : WALRAS, JEVONS, MENGER Keynes 1936 Les monétaristes : ( ou école de Chicago) - années 1950 : FRIEDMAN L’école du déséquilibre : (théorie du chaos) - années 1980 : AGLIETTA Tous ces personnages sauf MARX ont été impliqués de leur vivant et sont majoritairement

accidents de travail (1910) Le repos dominical (1906) Retraites ouvrières en 1910 3 La théorie des avantages comparatifs contestée. Théoriquement, le libéralisme économique s’étendait aux échanges internationaux, le libre échange entre les pays permettant une spécialisation des productions, donc une amélioration des coûts et des produits. La théorie « des avantages comparatifs » exposé par David Ricardo au début du XIXème siècle, reposait sur l’idée que le libre-échange des marchandises entre