La Théorie Du Producteur

Les partenariats par filières mis en place par les distributeurs : une approche par la théorie des coûts de transaction. LESSASSY Léopold Unité Mixte de Recherche CNRS / Université Pierre Mendès France Grenoble 2 150 rue de la Chimie – BP 47 – 38040 GRENOBLE cedex 9 Tél. : 04 76 63 53 81 Fax : 04 76 54 60 68 1 Les partenariats par filières mis en place par les distributeurs : une approche par la théorie des coûts de transaction. Léopold LESSASSY Maître de Conférences, IUP Commerce et

PROBLEMES ECONOMIQUES Evaluations CM : 2 octobre -1h 13 novembre -1h30 8 janvier -2h THEME 1 : LE CADRE DE L’ANALYSE ECONOMIQUE Chapitre 1 : Le raisonnement économique et les théories économiques Chapitre 2 : Les questions de méthodes : sources, concepts, mesures THEME 2 : REVENUS ET INEGALITES Chapitre 1 : La répartition du revenu Chapitre 2 : Les inégalités économiques et sociales Chapitre

entre deux producteurs, il a introduit le concept d'élasticité en économie et de coût marginal. De ce fait Cournot est donc vu comme un précurseur de la microéconomie néoclassique marginaliste (née vers 1870 avec les universités de Lausanne, Vienne et Cambridge et les trois pères fondateurs : Léon Walras, Stanley Jevons et Carl Menger). Ce savant distingué est à l’origine de plusieurs ouvrages à la fois philosophiques et économiques. Son œuvre majeure est Exposition de la théorie des chances

classique Emergence de la pensée économique. Né pendant la révolution industrielle (modification de l’agriculture etc…) = Techniques de production plus efficaces. Les principaux acteurs sont : A. SMITH, RICARDO, MATHUS. Ce courant met en avant la théorie de la valeur travail, passe par la valeur d’usage (Ce que le bien permet de satisfaire) et valeur d’échange (quantité d’autres biens que l’on peut obtenir en échange de notre bien). La valeur d’un bien est égale à la quantité de travail nécessaire

UNE SCHÉMATISATION DE LA THÉORIE MICROÉCONOMIQUE NÉOCLASSIQUE : LA MISE EN BOÎTE DU SYSTÈME WALARASO-PARETIEN Ch. BIALÈS Ce document s’adresse aux étudiants de fin L1-début L2. Il a pour but de présenter de manière pédagogique, donc relativement simple, le système walraso-paretien (W-P). I) Le système W-P : présentation générale A- La structure du système W-P Système walrasien = théorie de l’équilibre général => égalité des offres et des demandes sur tous les marchés grâce à la détermination

|Oligopsone | |Un |Un |Monopole bilatérale | *Concurrence monopolistique « niche » Du point de vue de la théorie économique, un marché est dit concurrentiel « concurrence pure et parfaite » si aucun agent (acheteur ou vendeur) ne peut influer sur le prix du marché. Cela suppose des conditions. i. Autorité du marché (aucun agent ne peut influer)

des marchés internationaux de capitaux facilite la propagation des crises financières (La crise des subprimes) Chapitres : 1- Interdépendance et bénéfices de l’échange 2- Le Commerce international et effets du protectionnisme 3- Les nouvelles théories du commerce internationale 4- La balance des paiements 5- Les Institutions internationales multilatérale du commerce. GATT et OMC. 6- Le système monétaire international. 7-La coopération monétaire européenne, du serpent monétaire à l’UEM. 8- Le marché

Organisation Outputs Inputs III-LES THEORIES DE LE SATISFACTION ET DE LA MOTIVATION 1- Théorie de la motivation humaine On parle de « théorie de la motivation » pour désigner les préconceptions qui ont présidé généralement à l'élaboration d'un modèle de motivation. On recense ainsi un grand nombre de « théories » : * théorie de l'attribution ; * théorie de l'autodétermination ; * théorie de l'autorégulation ; * théorie de l'efficacité personnelle. À chaque époque

caractéristique de l’existence d’un grand nombre de producteurs et celle de la liberté d’entrée et de sortie de la branche. Par rapport au deuxième il se caractérise par l’hétérogénéité des produits. 1.2.a. La différenciation des produits : Dans le marché de concurrence monopolistique, chaque producteur offre des produits différenciés par rapport aux concurrents et s’efforce de différencier son produit pour le rendre unique, ainsi chaque producteur dispose d’une certaine clientèle qui lui est relativement

l’interdépendance des actions des différents vendeurs : sur un marché de ce type, les prix du produit, la quantité écoulée, le profit d’un producteur déterminé dépendent des réactions des autres. On est bien loin du monopole ou le producteur choisissait la quantité produite, et du même coup le prix lui permettant de maximiser son profit. Dans le cas d’oligopoles, chacun des producteurs peut bien fixer la quantité qu’il offre sur le marché ; le prix de vente (et donc le profit) dépend de ce que font les autres