La Tirade Des Reproches

II-5 3) De qui Perdican parle-t-il au début de notre extrait ? Que leur reproche-t-il ? 4) Comment les décrit-il ? Relevez des expressions et commentez-les. 5) Relevez les occurrences du mot « sang ». A quoi associe-t-il le sang ? 6) Relevez le vocabulaire de la souffrance et commentez. 7) Commentez la ponctuation employée par Perdican. 8) Que dire de la relation « cœur / raison / savoir » dans la 2e tirade de Perdican ? 9) Par quelle phrase condamne-t-il les « nonnes » ? 10) « Eh bien 

elle a du mal à accepter la rupture. Elle est submergée par ses émotions, elle passe par plusieurs phases dans ses sentiments, sa tirade peut-être découpée en plusieurs parties. La première du vers 1 au vers 8 qui est celle de la colère et des reproches « Hé bien, régnez, cruel, contentez votre gloire », malgré cette apparente résignation, elle fait déjà un reproche à Titus en le traitant de « cruel », et elle enchaîne en lui remémorant ses promesses d'amour éternel du vers 3 au vers 8, désignant

tente une démarche dans l'intérêt de son ancien amant. Dans une longue tirade très émouvante à peine interrompue par quelques répliques de Don Juan et Sganarelle, Elvire fait part à Don Juan de son intention de le sauver. On étudiera d'abord la tonalité de cette tirade, puis on verra quelle est la fonction de cette scène dans la destin de Don Juan. I) La tonalité de cette tirade Le style frappe par sa noblesse et la tirade change du pathétique au tragique. Le discours d'Elvire constitue une

T'a-t-il de tous les siens reproché le trépas? S'est-il plaint à tes yeux des maux qu'il ne sent pas? Mais cependant, mon fils, tu meurs si je n'arrête Le fer que le cruel tient levé sur ta tête. Je l'en puis détourner, et je t'y vais offrir?... Non, tu ne mourras point, je ne le puis souffrir. Allons trouver Pyrrhus. Mais non, chère Céphise, Va le trouver pour moi. Racine, Andromaque,III,8(1667) Questions fréquemment posées pour cette tirade 1) cette tirade superpose plusieurs situations

à la Comédie Française en 1672 est principalement axée sur la critique du courant précieux et sur la controverse que celui-ci suscite. C’est d’ailleurs le principal sujet abordé dans l’acte deux, scène sept puisqu’elle est à l’origine de la longue tirade de Chrysale. Celui-ci, excédé par le comportement de son épouse et de sa sœur déverse littéralement un flot de paroles et donne son opinion sur la préciosité. A partir de cette idée nous allons chercher à savoir de quel manière Chrysale s’oppose à

après plusieurs problèmes de censures et de désaccords du à la portée très sociale du Mariage de Figaro, réussit enfin à faire une première représentation de sa pièce sans censures, lui permettant de dire, par l'intermédiaire de Figaro, tout ce qu'il reproche à la noblesse. Dans cette comédie tout, va très vite : Figaro doit épouser Suzanne, avant que le Comte Almaviva n'exerce son droit de seigneur, et se soustraire au désir qu'a Marceline de l'épouser. Dès l'acte I, Figaro fixe une stratégie et l'infidélité

qui lance le dialogue, une première partie est constituée par la première tirade d’accusation et d’imprécation de Thésée (v. 1044-1076) et d’une réponse en esquive d’Hippolyte qui se réfugie dans le silence. Vient ensuite une seconde partie (v. 1077 à 1113) où Hippolyte répond aux accusations de Thésée mais en se bornant à se défendre par un plaidoyer sans jamais passer à l’accusation. À la troisième relance des reproches de Thésée, Hippolyte répond par un aveu, mais qui n’est pas celui qu’attend

conseils bienveillants, suivi d'un portrait plus complet de Célimène et en terminant par la satire des faux dévots. I) Un duel sous forme de conseils bienveillants Tout d'abord les tirades d'Arsinoé et de Célimène font apparaître une symétrie, voulant faire apparence de la bienveillance au début de chaque tirade. Puis v.885-896, Arsinoé donne l'impression de venir rendre un service à Célimène, de prendre son parti. v.909-912, Arsinoé explique que son but est de lui rendre service mais elle place

Analyse Linéaire Tirade De Suzanne Juste La Fin du Monde"Juste la fin du monde, pièce de théâtre écrite par Jean-Luc Lagarce, qui est à la fois comédien, metteur en scène, directeur de troupe et dramaturge. En 1988, il apprend qu’il est atteint du sida et se sait condamné. En 1990, il écrit alors: “Juste la fin du monde”. La pièce explore les relations entre les membres de la famille et leurs différences, tout en mettant en lumière leurs difficultés à communiquer et à se comprendre. Le texte qui

La mort est la seule issue possible. Valeurs : amour, honneur, gloire, devoir… Dilemme pour Titus entre amour et pouvoir. L’affrontement Première tirade de Bérénice : colère, reproches… Tirade de Titus : plus courte, plus faible, justification égoïste. Deuxième tirade de Bérénice : au début, fausse résolution puis derniers reproches, puis demande de compassion et enfin total désespoir. Par ailleurs : argumentation très bien soutenue des deux côtés avec arguments, questions rhétoriques