La Tirade Du Libertin

ORIENTATIONS PRINCIPALES : - texte et mise en scène - les différentes formes du langage théâtral - Les libertins et le libertinage au XVIIème siècle - La portée critique de la pièce OEUVRE INTEGRALE : Molière Dom Juan Texte 1 : Acte I, 1 (portrait du grand méchant homme) Texte 2 : Acte I, 2 « Quoi ! tu veux ……mes conquêtes amoureuses » ( la tirade de l’inconstance) Texte 3 : Acte II, 2 «  Ah ! la belle personne…une autre en six mois » (la stratégie de la séduction)

religion. C veut devenir religieuse car elle a peur de souffrir, elle ne croit pas en l’amour et pense que P est un libertin. P pense que les religieuses sont frustrées, leurs discours sont pervertis par la religion. Présentation plus précise : fin de l’acte II de la scène 5 (acmé=milieu de la pièce). Point de vue sur l’engagement divin et sur l’amour humain. P monopolise la parole en 2 tirades (1 réplique courte pour Camille.). Pbq : comment Perdican cherche t-il a persuader Camille ou convaincre

siècle, elle est aujourd’hui reconnue comme un chef d’œuvre du théâtre français. Reprenant le thème du Dom Juan de Tirso de Molina dans El Burlador de Sevilla y Convidado de piedra (1625), cette pièce de théâtre est l’histoire d’un noble sicilien et libertin à l’excès qui, tout au long de la comédie, reçoit différents signes du mécontentement divin avant que celui-ci le happe dans les flammes de l’enfer. Dans ce texte extrait de la seconde scène du premier axe, Dom Juan, fidèle à lui-même, argumente

à dire. Comme nous l’avons observé dans la première partie, Marceline, personnage féministe dans Le Mariage de Figaro , fait une tirade dans la scène 16 de l’acte III. Cette tirade est un texte argumentatif, emblématique des pensées des Lumières. Tout en remplissant la fonction de plaidoyer pour les femmes, cette tirade est aussi un réquisitoire contre les hommes : « sous tous les aspects, votre conduite avec nous fait horreur ou pitié ! ». Cette scène, pourtant issue d’une

décrire, de présenter les personnages. II/. Mis en valeur par le déguisment du rapport maître-valet. 1. Sganarelle devenu maître détenteur de la parole. Sganarelle monopolise la parole, il est tellement sûr de lui qu'il se lance dans une longue tirade argumentative. Il multiplie les questions pour savoir si Dom Juan croit en Dieu et tente de le convaincre de l'existence de ce dernier. "Il n'y a rien de plus vrai" superlatif = argument indiscutable. "Il y avait un homme" nous fait penser à conte

grâce à celle-ci, la troupe obtient la protection royale. La pièce de Molière, originellement publiée sous le titre du Festin de Pierre ou le Fils criminel, reprend le mythe de Don Juan Tenorio, le libertin par excellence. Ce personnage apparait pour la première fois dans une pièce du moine espagnol Tirso de Molina , El Burlador de Sevilla y Convidado de piedra, qui est publiée en 1630. Le texte est repris de nombreuses fois

plateau imposent une scénographie : le décor est assez réaliste cependant, il suggère plutôt qu’il ne représente exactement un théâtre . La scénographie envisage la verticalité (échelles, passerelles) *Scène 4 La tirade du nez jouée par M. Vuillermoz on se rend bien compte que la tirade s’adresse à Valvert Introduction : Remettez ce passage dans son contexte.Ù !Variations TonType de phraseNiveau de langue Domaine d’analogie Procédés1)2)3)4)5)7)8)9)10)11)12)13)(Didascalie interne)Agressif AmicalDescriptif

artifices sociaux au nom du bon sens et de la " Juste Nature ". La dénonciation, sa morale, s'exprime par le théâtre, des comédies de caractères, qui développent un portrait. Ainsi, il peint les précieux, les faux-dévots et les faux-savants, un libertin, satirant à chaque fois le rejet, la haine du corps social concerné. Il entretient une relation difficile avec la cour, situation que le Misanthrope met en scène. Le théâtre de Molière maîtrise parfaitement les idéaux et objectifs, et règles strictes

affirmer sa supériorité sur tout ettous, y compris la morale et la religion. Il est antisocial, il n’accepte pas les devoirs qu’impose la vie sociale. Totalement à l’opposé du respect de l’autre, mais a un certain sens de l’honneur. Ilest totalement libertin et athée. Jamais il ne se repend, même plongé dans les flammes de l’enfer. Il est matérialiste. Il aime le pouvoir, abus du pouvoir de séduction, abus du pouvoir de saposition sociale. Il créer des conflits, violence verbale et physique. Refus de

leur maître. I – QUAND LES MAÎTRES DOMINENT Dans Dom Juan (Molière), Sganarelle débat avec son maître Dom Juan au sujet de l'existence deDieu.Sganarelle est convaincu que Dieu existe, thèse qu'il soutient fermement dans sa tirade. Dom Juan lui est rationnaliste et libertin d'esprit. Il ne croit pas en l'existence de Dieu, c'est un athée. Danscettescène le valet parle beaucoup plus que le maitre, ce qui ne tourne pas à son avantage. En effet il s'emporte lorsqu'il remarque que son maitre ne répond