La Tirade Du Libertin

hypocrisie. La pièce est une réflexion sur le libertinage et ses excès. Molière est adepte de la libre-pensée, mais respecte les convictions religieuses. Il s'attaque principalement à toute forme d'hypocrisie que ce soit celle du dévot ou celle du libertin. Dom Juan est prêt à tout pour satisfaire ses plaisirs. La fin de la pièce est très ambiguë. Certes, Dom Juan est puni de ses péchés par la mort, il est anéanti physiquement (en effet les didascalies l'indiquent comme avalé par la terre), la conclusion

du 17ème siècle, fortement impliqué dans la critique des excès de la société. Il écrit Dom juan en 1665 en réponse à la censure de sa précédente pièce Tartuffe pour violente diatribe à l'institution religieuse. Dom juan met en scène un personnage libertin et tragique, assoiffé d'absolu et écrasé par sa condition humaine. Dans cette scène, on y voit Sganarelle, son valet introduire l'oeuvre de manière paradoxale. En quoi peut-on penser que cette scène est une scène d'exposition? Nous verrons en première

est emportée par la mort. Dans les Liaisons Dangereuses, les choses sont différentes : on retrouve une trame sombre, et une logique implacable qui peut évoquer le mécanisme du tragique. Cependant, contrairement à la tragédie grecque, le roman libertin ne convoque pas les dieux. Avant d'être une puissance transcendante que l'homme redoute, la fatalité apparaît comme une arme. En arguant qu'il ne peut lutter contre l'amour qui le submerge, Valmont se présente comme une victime du sentiment, dont

voilà ton raisonnement qui a le nez cassé. Molière , Dom Juan, III/1, 1664 Dom Juan, le nez cassé de Sganarelle : Acte III scène 1Intro :• S, porte parole peuple (domestique) fasciné par science, veut comprendre et est croyant ; DJ représentant libertins est impie et ne croit que ce qu'il voit• Scène essentiellement argumentative, débat philosophique, chacun à sa thèse : sur existence D, foi...• Point de départ : S demande à DJ en quoi il croit, chacun va donc exposer ses croyances1) La prise de

La scène 5 témoigne de l’entrée du surnaturel. Un spectre en femme voilée vient en effet donner le dernier avertissement à Dom Juan qui campe sur sa position rationaliste. L’apparition semble représenter les victimes du libertin (« je reconnais cette voix »). Elle est l’envoyée du Ciel pour avertir Dom Juan comme nous l’indique l’utilisation de « Ciel », « miséricorde », « repent », « diable »... On note « Le spectre change de figure, et représente le Temps avec sa faux à la main », didascalie qui

est dans la débauche (amour du plaisir) à la ligne 66. Il ne se soucie pas des conventions sociales. Il a une boulimie sexuelle. Il est instable et a un goût prononcé pour la liberté. Ni religion, ni superstition, refus de l’irrationnel, c’est un LIBERTIN. Il méprise les sacrements du mariage. Sur Gusman, ces paroles montrent de la terreur. Présentation amplifiée, hyperbolique et péjorative à la ligne 60. Syntaxe longue + antithèse exprimant sa complexité. Scène d’exposition riche sur les apports

femme, et lorsque cela s'apprend les deux frères d'Elvire, Dom Carlos et Dom Alonse se mettent à sa recherche afin de venger leur honneur et celui de leur famille. Il est également question d'honneur lorsque Dom Louis, père de Dom Juan, lors de sa tirade (Acte IV, scène 5), reproche à son fils d'être indigne de la gloire de leurs ancêtres.. Au dénouement de la pièce, deux personnages apparaissent : le Spectre qualifié d' « ange » par Sganarelle, et La Statue du défunt Commandeur tué par Dom Juan.

La première représentation de Dom Juan a eu lieu en 1665, peu après la censure de Tartuffe, en 1664. A l’époque, Molière est considéré comme un hérétique voir un libertin. Son ennemi majeur est la Compagnie du Saint Sacrement. La pièce est une contre-attaque de la part de Molière adressée aux censures de ses œuvres précédentes. Malgré son grand succès, la provocation avec Dom Juan est trop grande pour laisser certaines

ACTE I : SCENE 2 : Tirade de l’inconstance : Analyse : Eloge de l'inconstance :  a. Le thème de la fidélité condamné : • Image fidélité dévalorisante : 'se lie (enchaînement), 1er objet, piquer faux honneur, la belle chose... • Idée privation tous autres plaisir avec expressions - : 'qu'on renonce, qu'on n'ai plus' • Fidélité comparé sorte de mort : s'ensevelir pour tjrs, être mort : perdre désir amoureux, passion • A fin, reprise par métaphore sommeil 'endormons dans tranquillité' ==> Marques

étudier en se lancer infiltrer paternellement. Le message envoyé est le suivant : Alexandre tu est un être hors du commun intelligent, rusé , puisque tu es même capable d’étudier les progrès de l’amour, du reste le duc ne répond même pas a cette tirade. Ainsi par le charme de ces paroles Lorenzo parvient a enjôler le duc, le duc est un être dominé par ses impulsions successives (ligne 1) « qu’elle se fasse attendre et je men vais » les points d’exclamations dominent son discours révélant sa formidable