La Tradition Dans Un Piège Sans Fin

L’Odyssée Homère L’Odyssée est une œuvre attribuée à l’aède (poète épique de la Grèce antique) Homère. Il s’agit d’une épopée dont les évènements sont contés à travers XXIV Chants. Elle aurait été composée vers la fin du 8e siècle avant notre ère et fait suite à l’Iliade. Il s’agit plus précisément d’un immense poème narrant les aventures d’Ulysse lors de son long retour vers Ithaque après la guerre de Troie. 1) RESUME DE L’ŒUVRE La Guerre de Troie est achevée depuis dix ans, et le héros

l’identité de l’auteur, sur ses rapports avec l’Histoire réelle (guerre de Troie évènement ou fiction) et le passage de la tradition orale à la tradition écrite et enfin, sur l’inspiration de l’Iliade. Derrière l’Iliade, y a-t-il un homme, une tradition ? L’Iliade est-elle l’œuvre d’un seul homme ? Jusqu’à récemment, on pensait qu’Homère était un auteur unique. La tradition le prétend aveugle donc on admettait qu’il avait dicté ses œuvres. C’est un peu l’image qu’Horace avait laissé d’Homère en

Professeur John Nassichuk French 3540F Mercredi, le 10 novembre, 2010 La Chanson de Roland est un exemple classique de la chevalerie, de l’honneur, de la fidélité et de la foi. Ce poème est particulier parce que, non seulement il a été écrit à la fin du 11ième siècle, mais encore il n’a pas vraiment d’auteur ou de poète. Dans ce poème, un narrateur raconte l’histoire des héros, Roland et Charlemagne. Cette chanson de geste est un mélange des histoires de tous les poèmes à propos des héros. La Chanson

médiocre mari, elle s'exile dans le libertinage et rencontre Léon, un jeune homme dont elle tombe sous le charme et pour lequel elle se mure derrière le mensonge pour le voir de plus en plus souvent. Après une deuxième lune de miel avec celui-ci, le piège commence déjà à se refermer ; les trois jours qu'elle passe à Rouen avec lui sont idylliques et conformes à ses souhaits de toujours mais restent dominés par la condition féminine. Ainsi, La condition de la femme

Renaissance jusqu’au Lumières (18ème), on a considéré les mythes comme des fantaisies, créées par des âges ignorants, et étaient le «recueil des erreurs de l’esprit humain». Mythes étaient un répertoire d’images pour ceux qui voulaient se divertir. Fin Lumières, début XIXème: approche historique, on collecte les mythes. On les analyse dans leurs ancrages locaux en les considérant comme spécifiques à un lieu et à une époque donnés (école allemande : Müller). L’approche généraliste, comparatiste et

parties vers la fin du XVIIIe siècle : la Prusse, L’Autriche et l’Empire russe. Puis, durant le XIXe siècle, la majorité de la partie Autrichienne passe sous contrôle russe. En 1918, la Pologne retrouve son indépendance. Malgré cela, la Silésie et la Poméranie (régions de Pologne) restent encore sous l’emprise allemande ; à la fois peuplées d’Allemands et de Polonais. De 1919 à 1921, la guerre soviéto-polonaise est provoquée par les soviétiques et les polonais. Cette guerre prit fin suite à la Paix

à la famine. Complication : La mère convainc le père d’abandonner les enfants dans la forêt. Dynamique : Les enfants retrouvent une 1ère fois leur chemin. La 2ème fois ils trouvent une maison à manger. Complication : la maison en sucreries est un piège : une sorcière y habite et retient les enfants prisonniers. Résolution : la petite fille parvient à enfermer la sorcière dans un four, elle libère son frère. Ensemble, ils prennent les richesses de la sorcière et s’enfuient. Situation finale : Ils

1) COLONISATION : 1. Au niveau politique : 1492 : début de la colonisation : découverte de l’Amérique par Christophe Colomb + fin du dernier Emirat en Espagne. Les Espagnols parlent de : - « Conquista » (= Route des Indes ; découverte de l’Amérique par Christophe Colomb) - et la « Reconquista » (= prise de Grenade par les rois catholiques, fin de l’ère musulmane en Espagne). C’est un événement très important pour l’Espagne, qui ne s’est pas fait sans morts ou difficultés. Preuve

deux étaient… si j’ose dire… « liées » entre elles ! Un peu dérouté au début de ma quête, ma curiosité a rapidement pris le dessus, m’entraînant dans des lectures plus passionnantes les unes que les autres, mêlant Histoire, philosophie, sciences, traditions, mythes et légendes… au point d’en perdre parfois la notion du temps qui passe. Mais n’est-ce pas là ce qui rend passionnante l’étude du symbolisme ? Jamais achevée, elle met sans cesse en lumière de nouveaux aspects et trouve de nouvelles questions

Le Baroque Principes du mouvement -modernité : refuse la tradition humaniste (étude et imitation) des anciens auteurs. Valorise l’originalité. -liberté : préfère l’improvisation. C’est un désordre plus exaltant qu’un ordre qu’il trouve froid. -virtuosité : utilise les hyperboles, métaphores, antithèses. + la figure est recherchée, + elle frappe l’esprit Thèmes principaux -univers en mouvement : transformations incessantes modifient les apparences. Facination pour la puissance du devenir. -solitude :