La Tragédie De La Culture

servira de modèle afin de lancer le processus d’imitation. Cependant, les personnages classiques ne sont pas des paysans car né sous Louis XIV, le Classicisme ne peut mettre en place qu’uniquement des nobles, « de braves gens » afin de montrer la culture, la posture et les bonnes manières des gens de ce monde, que le payse n’aura jamais. Pourtant, bien que haut placé, le personnage classique a des faiblesses traduites par les sentiments cités plus haut. Cependant, bien que le roman se soit « émancipé »

le Sujet (conscience, perception, désir et temps), la Culture (langage, art, travail, religion et histoire), la Raison et le Réel (vivant, matière et esprit, vérité, théorie, interprétation, expérience et démonstration) la Politique (société, justice et droit) ou la morale (liberté, devoir et bonheur) permettra à l’élève de comprendre la portée philosophique des textes pour mieux les traiter. Par exemple, les notions telles que la culture comprenant l'art et la technique ainsi que les échanges

(Source : http://geotourweb.com) 5. Y avait-il des aménagements intérieurs, des éléments de décoration pour la représentation ? Les aménagements qui se faisaient lors d’une représentation sont différents pour chaque genre comme la comédie ou la tragédie. Les décors étaient le plus souvent réutilisés et des machines pouvaient créer des effets spéciaux (faire s’envoler un comédien…). Les costumes et accessoires permettaient d’identifier les personnages (un sceptre pour le roi…), ces costumes étaient

IV- La tragédie peut-elle avoir une fin heureuse ? Aristote insistait sur l'importance de la « catastrophe » finale. A l'époque de Shakespeare, en Angleterre, on définissait la tragédie comme l'histoire de la chute d'un personnage illustre, qui passe de la prospérité au malheur, et finit misérablement. Enfin, dans le langage courant, le mot tragédie est teinté de pessimisme: on qualifie de tragiques des événements terribles, tels que des guerres, des massacres, des désastres naturels... L'idée

répondent à des objectifs qui s’inscrivent dans les finalités générales de l’enseignement des Lettres au lycée : l’acquisition d’une culture, la formation personnelle et la formation du citoyen. Les finalités propres de cet enseignement sont : - la construction progressive d’une conscience historique de la littérature ; - la constitution et l’enrichissement d’une culture littéraire ouverte sur d’autres champs du savoir et sur la société ; - le développement d’une conscience esthétique permettant d’apprécier

permanents entre le monde grec et le Moyen Orient biblique. Mais des tensions, des contradictions dans ce double héritage. - Le plus ancien texte de la culture occidentale : l’épopée de Gilgamesh, riche d’interrogations sur la condition humaine. I) L’héritage gréco-romain Immense rayonnement du monde grec ; les Romains, passeurs de la culture grecque mais avec un apport original. Diversité du monde grec, dans le temps et dans l’espace. Un principe central : la notion d’ordre. 1) L’ordre

réaction anti-classique En refusant l'esthétique classique, en particulier la règle des unités, le drame romantique refusait également de respecter la séparation des genres qui distinguait nettement deux univers cloisonnés : la tragédie et la comédie. A la tragédie appartenait la noblesse, la grandeur, le sublime ; ses héros étaient ceux de l'Antiquité et de l'Histoire ; elle devait inspirer terreur et pitié. À la comédie était associée l'idée de modestie : ses personnages, ses buts, son propos

ANTIQUITÉ « La voix de l’aède, le chant de la lyre, la tragédie athénienne : pratiques poétiques, pratiques sociales en Grèce ancienne. » Dès le début de la littérature grecque : des épopées d’Homère jusqu’à la philosophie d’Aristote. I. EN GUISE DE PRÉLIMINAIRE Extrait (p.5) : La littérature antique, dont en grande partie Homère, a nourrit toute la littérature occidentale postérieur. Dans le monde grec, trois traits caractérisent principalement la production littéraire :  La littérature

ce sont tous les quatre des pièces de théâtre. La première s’intitule « l’illusion comique », écrite en 1660 par Corneille, grand dramaturge français du XVIIe siècle appartenant aux mouvements baroque et classicisme et connu pour ses nombreuses tragédies. La seconde, se nomme « Le mariage de Figaro ». Elle est écrite en 1784 par Beaumarchais, une des figure emblématique du siècle des Lumières ,le XVIIème siècle, qui par ailleurs a exercé le métier d’écrivain, musicien, homme d'affaires, poète et

avec une diffusion plus large des œuvres et un développement de la lecture. Le XVIIe siècle est un siècle majeur pour la langue et la littérature française en particulier pour les œuvres du théâtre classique avec les comédies de Molière et les tragédies de Corneille et Racine. Mais si le classicisme s’impose dans la seconde moitié du siècle sous le règne de Louis XIV, les chefs-d’œuvre qu’il a produits ne doivent pas éclipser d’autres genres comme les textes des moralistes et des fabulistes (Jean