La Trahison des Clercs

de parler de diversité des propriétaires. a- Domaines royaux Le roi dispose d’un nombre élevé de domaines. Il s’est approprié tous les domaines qui appartenaient au fisc impérial romain, ainsi que les terres confisquées pour cause de trahison. Ces domaines ont pu se réduire en raison des donations faites par le roi pour entretenir la fidélité des grands du royaume. Il a pu donner des biens à l’Eglise pour sauver son âme. Le roi n’a pas de capitale fixe dont il circule de domaines en

améliore l’appareil d’Etat, le territoire s’unifie. (Il n’y a plus de grandes principautés capables de rivaliser avec le pouvoir du roi (rattachement de la Bretagne en 1532, de la Bourgogne depuis 1477 et du territoire de Bourbon depuis la trahison du Connétable) ( Le roi nomme des gouverneurs de province (officiers aux services du roi dans juridiction des provinces) ( Les baillis et sénéchaux, préexistants, sont multipliés. (Les parlements de provinces jouent un rôle

puis les exilés créent une « légion franche étrangère » sous le patronage du « comité révolutionnaire batave », reconnu par la Convention et à l’avant-garde lors de la première conquête par Dumouriez en novembre 1792. Assimilés à Dumouriez après la trahison de celui-ci, ou parfois proche des hébertistes (le banquier De Kock), les « patriotes bataves » sont victimes de la Terreur, puis les survivants libérés entrent au pays en 1795 sous la protection et la surveillance des armées françaises avec Pichegru

d’inspiration divine, en effet ce parlement du seigneur composé du roi et des maîtres de parlement passionnés par leur mission, inspirés par l'amour divin, et convaincus que le jugement est un acte sacré. Ils envoyèrent des enquêteurs, des chevaliers et des clercs auprès des huissiers auprès des baillis qui désormais résidaient au siège de leurs assises.Ainsi, on a vu que la justice retenue du roi possédait une certaine supériorité sur les justices délégués tels que pour les juridictions seigneuriales et tirait

classes sociales commençant par le peuple, la classe nobiliaire et également le clergé.Ainsi, nombreuses sont les contes qui dévoilent l’infidélité au sein du couple, tantôt de la part de l’époux tantôt de la part de l’épouse. La nouvelle 32 relate la trahison d’un homme par sa femme avec un jeune qu’il a élevé dans sa maison. Le narrateur, en évoquant l’accueil du seigneur de Bernage par le mari, expose le récit enchâssé du mari à propos de l’infidélité de sa femme. Il souligne d’abord la rudesse qui

Adalbéron lui apporte son soutien : à la différence de Lothaire, il n’est ni l’héritier de l’idée impériale ni le partisan d’une reconquête lorraine, persistante pomme de discorde entre Carolingiens et Ottoniens. Lothaire accuse donc l’archevêque de trahison : il a préféré désobéir à son souverain plutôt que de participer à une politique qui lésait les intérêts ottoniens en Lorraine. La mort soudaine de Lothaire sauve provisoirement Adalbéron et Gerbert. Le jeune roi Louis V (985-987), le fils de Lothaire

sa circonscription et dans chaque ville se trouve un évêque. Il est censé représenter sur le plan local : l’église. Les dogmes de la religion. Cet évêque est élu par les habitants de cette ville. Pour la première fois, un évêque est élu par des clercs et laïques et on voit apparaître pour la première fois une élection démocratique. Il possède trois fonctions : Une fonction liturgique : La messe, les sacrements, baptême, mariage Une fonction évangélique : Il doit diffuser la foi chrétienne au

paysans illettrés, ignorés par la plupart de la production littéraire de la période puisque même les histoires les plus populaires, propagées parmi le peuple par les jongleurs et d’autres artistes itinérants, sont l’œuvre des gens cultivées et de clercs. La création littéraire médiévale, surtout au XIème siècle, est normalement collective et anonyme : Les auteurs originaux restent inconnus tandis que leur ouvrage se propage et se modifie, de manière surtout orale : lue, chanté ou représenté devant

de son point de vue situé => définition de l'expert. Julien Benda considère que l'intellectuel vient du monde des savants ; selon lui dans la Trahison des clercs savants auraient outrepassé leur rôle en devenant nationalistes ou autre. Montaigne : en plein milieu des massacres des guerres de religion reste dans le monde savant de la bibliothèque => Le clerc doit rester dans sa tour d'ivoire pour pouvoir penser le devenir du monde sans être dans le monde. Pour Benda : les intellectuels se laissent

cosmologique convenant à merveille au schéma de l’ontologie judéo-chrétienne : Dieu au-dessus de nous, accomplissement de l’être, perfection des perfections, et l’enfer sous nos pieds, lieu du non-être et de la damnation éternelle. Seulement, ses clercs s’étaient trop peu souciés de ne pas confondre la métaphore et ce qu’elle se proposait d’illustrer... Si bien qu’on en était venu, comme les moines et l’inquisiteur de la Vie de Galilée à considérer que la Bible était elle-même aristotélicienne.