La Trahison des Clercs

salique. L’Eglise va se réorganiser sur le territoire mérovingien/ de la Gaulle et va se doter de ses propres lois «  des Canons. Ce sont des dispositions prises par les évêques réunis en assemblée « les Conciles » droit canonique. Règles destinées aux clercs, mais très vite l’Eglise va prétendre appliquer les Canons aux laïques. Les Rois vont d’abord refuser mais seront ensuite à destination des laïques. B/ les difficultés d’applications des différentes règles de droit Ce pluralisme juridique va poser

(la « profession de loi ») : « Mon père et mes ancêtres vivaient sous telle loi ». Le système connaît des exceptions: Ainsi, la femme mariée prend la loi de son mari ; l’affranchi prend la loi sous laquelle est accompli son affranchissement ; les clercs sont toujours placés sous l’autorité du droit romain. En cas de conflits de droits, quand les deux parties ne vivent pas sous la même loi, on applique aux deux parties d’abord la loi du défendeur, puis progressivement à l’époque carolingienne la loi

l’auteur ? Au Moyen Âge, il n’y a pas qu’un seul auteur, mais bien plusieurs auteurs. Cela peut-être le jongleur (l’homme qui récite ses récits oralement), le moine copiste (il va copier les textes et les changer), le clerc (l’homme d’Église qui invente ces récits à partir d’un canevas oral). ⇨ Bref cela peut-être beaucoup de personnes différentes. Car chacune des personnes fait du récit de base une interprétation à sa sauce. La littérature

l’hérédité ne fût jamais admise le coup, le prestige, la pression de haut lignage va contenir la chevalerie dans la même famille déjà chevaleresque. Au début des temps moderne on va assimiler le titre de chevalier à toute l’aristocratie parfois même à des clercs. La chevalerie : ce terme de miles va devenir aussi aristocratique… La militia constitue depuis l’époque carolingienne à une forme christianisé de la fonction guerrière en ce qui concerne l’aristocratie laïque mais militia au 9eme siècle désigne

l’ignoble Traité de Troyes de 1420 contracté par la Reine Isabeau de Bavière et Charles VI le Roi fou, avec Henri V de Lancastre, Roi d’Angleterre. Le dauphin de France est banni et le Pape Martin V sera le seul à refuser d’être complice de cette trahison. Quatre ans plus tôt, les Anglais ont débarqué en Normandie et écrasé la chevalerie française à Azincourt où sera fait prisonnier le plus ancien des poètes français, Charles d’Orléans. En 1422, Henri V meurt, Henri VI, Roi d’Angleterre est

original, les cinéastes avaient la possibilité de « repenser l’œuvre sur un plan différent. 3 » Cela signifiait que l’accentuation était mise sur l’impression donnée par le texte et non sur ses détails spécifiques. Comme le précisent Jeanne-Marie Clerc et Monique Carcaud-Macaire, des expressions comme « Faire visuel4 » et « penser en images5 » étaient très utilisées par les cinéastes et par les critiques, dans la première moitié du vingtième siècle, pour désigner la « visualité filmique.6 » Il

il y a un fief : rapports féodo-vassaliques. Fief : féodal. Le vassal peut percevoir les profits du fief. Même s’il n’est pas propriétaire, mais peut transmettre son fief un héritier, ses enfants. Peut reprendre le fief s’il y a un bon argument : trahison : félon (ie). Vassal qui a trahit son seigneur, une commise. Il doit aider et conseil à son seigneur. Aide : financière : au fil du temps, on précise les obligations financières du vassal. Droit de gîte et aide aux trois cas, aide aux quatre cas :

aucune glose germanique/aucun commentaire en langue germanique. Le droit familial se trouve très encadré ds ces lois et ces disposit° reprennent un droit romain du bas empire donc droit christianisé (droit matrimonial), on retrouve l’influence des clercs ++. Les wisigoths avaient 2 sortes de lois destinées : Aux pop° germaniques. Aux pop° romaines But de rallier à leur cause les pop° romaines à leur royaume. • 3ème loi : lois des Burgondes : publient des codes destinés aux pop° germaniques et

écrits. Ils donnent la vision de l'époque du pourquoi de la défaite. Le premier, La complainte sur la bataille de Poitiers, qui voit pour cause la trahison des nobles qui devaient protéger le peuple et vivaient dans le luxe, le roi ayant sauvé l'honneur par sa vaillance. Le second, Tragicum argumentum de miserabili statu regni Francie, écrit par un clerc, qui voit plus un jugement divin, le royaume paye pour ses excès, tout le monde est responsable4. On ne cherche pas de raisons militaires ou politiques

tradition gallicane bien ancrée dans une partie de la bourgeoisie, ainsi qu'une partie de l'héritage des Lumières favorable à la laïcisation de la société, les députés n'ont pas demandé au pape son avis sur les réformes du clergé catholique. Les premiers clercs commencent à prêter serment sans attendre l'avis du souverain pontife. Mais, dès mars 1791, le pape Pie VI condamne toutes ces réformes visant l’Église de France. La Constituante a divisé la population en deux camps antagonistes. On compte environ