La Transition Démocratique Espagnole

posent problème à partir du moment où des Etats se sont mis en tête de donner des leçons aux autres qui ont des cultures différentes. Exemple de la corruption. Exemple des élections : en Europe et aux USA, on considère qu'un bon pays est un pays démocratique avec des élections. Dans certains pays, l'idée qu'un individu ayant eu une voix de plus qu'un autre le place au pouvoir au détriment de l'autre ne paraît pas probable. Exemple : dans certains pays, les élections n'apportent rien. Exemple de la

d’industrialisation de la recherche, on ne va plus avoir vraiment « d’aristocratie de la recherche » ; c’est le début du développement des universités, etc. Deux auteurs marquent cette rupture : Weber et Marx. Le dernier qui va marquer cette transition entre le chercheur et les écoles de pensée, c’est Max Weber. Il va avoir un poids très important, il marquera aussi cette époque avec Marx, qui est presque lui le contemporain de Tocqueville. La différence avec Tocqueville, c’est que Weber

la carrière d’un individu intergénérationnelle = enfants/parents - ascendante promotion sociale - descendante démotion sociale - reproduction sociale immobilité sociale Société démocratique = qui se veut à égalité des chances Société aristocratique = position sociale héritée. * L’idéal démocratique est que le fils de cadre ait les mêmes chances de réussir que le fils d’ouvrier.  La mesure de la mobilité sociale = les tables de mobilité. - La table de destiné : que deviennent les

colonisateurs au fil des époques au prix de conquêtes sanglantes. En cela cette immensité demeure la contrainte qui a rendu cet espace si attractif, la course aux conquêtes débute ainsi inscrivant ce cône dans une Histoire de bains de sang. La poussée espagnole se concentre, à partir de 1519, sur la conquête du continent et se dirige vers le Sud. Ainsi c'est d'Espagne, que partent ces premières expéditions qui pénètrent dans le Río de la Plata et parviennent jusqu'au Paraguay en 1537. En parallèle à cela

européenne sur le monde entre 1850et la 1ére guerre mondiale ? I) L’hégémonie européenneLe XIXème siècle voit l’Europe partir à la conquête du monde à travers notamment le peuplement de nouveaux pays (Etats-Unis, Australie…), grâce au début de sa transition démographique (sa population augmente), mais aussi par l’acquisition de colonies qui leur permet d’investir des capitaux. Après avoir colonisé l’Afrique et une partie de l’Asie, les nations européennes (principalement le Royaume-Uni, la France,

déclarer candidat. Tout état doit accepter l'état des négociations et l'ensemble des traités qui ont précédé leur adhésion et tous les nouveaux pays membres doivent traverser une période de transition pendant lequel ils suppriment les droits de douanes et baissent leur prix agricole (période de transition de 5 ans). La Norvège refuse par référendum ce traité d'adhésion et ne devient pas membre. C- L'Europe des neufs sur la scène internationale En Janvier 1973 la CEE devient un concurrent

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juillet 1935, une manifestation scelle la création du « Front populaire » qui comprend donc les socialistes, les communistes et les radicaux. Le choix de la date est bien sûr symbolique (le 14 juillet). On entend défendre la République et ses acquis démocratiques. D’autres organisations se joignent au cortège, comme la Jeune République (catholique), le parti d’unité prolétarienne, la Ligue des droits de l’Homme et les syndicats C.G.T (socialiste) et C.G.T.U (communiste), qui se sont eux-mêmes unifiés en

et accroissons les forces créatrices qui refonderont notre pays et aideront demain à changer le monde. Dans l’ordre politique aussi, nous plaçons l’humain, les citoyens d’abord. Là encore ce n’est pas simplement par conformité avec nos idéaux démocratiques. C’est aussi une condition nécessaire pour sortir de la crise. Face à la domination des marchés financiers qui soumet nos sociétés aux intérêts d’une petite oligarchie, nous avons besoin de la souveraineté du peuple, seule à même de viser l’intérêt

mêlant et recomposant des influences divergentes. Dans ce processus d’interpénétration, les logiques de domination, de violence, parfois aussi de résistance ont prévalu. Ainsi, l’Afrique contemporaine a-t-elle été maintenant à l’écart du mouvement démocratique qui parcourait notamment l’Europe. La période postcoloniale n’a pas dérogé à cette règle. Au contraire, la politique y a pour l’essentiel revêtu les habits de l’autoritarisme. Les modes de domination successifs ont souvent forgé des Etats paradoxaux