La Trinité-sur-Mer

ma voix dont le tonnerre bouleversera les firmaments et fera trembler les abîmes. Le pain nourrit, le vin fortifie. 102. Bienheureux ceux qui tombent innocents et dont la mort, dénués de rancune, devient belle comme un martyre 103. Même si la mer est agitée, l’hirondelle ne coule pas. Le brin de paille suffit à la soutenir jusqu’au prochain vol. Comme l’hirondelle, toi aussi utilise les choses de la terre comme des appuis qui aident mais qui ne sont pas indispensables au vol, et que tu laisse

aux objets les plus communs, les rendent ‘perméables à tout un jeu d’associations et de significations nouvelles’. Construction d’une unité qui ne sera atteinte qu’à la fin du poème, dans le silence, comme les grands fleuves « qui s’approchent de la mer, leur mort et leur infini ». La forme réalise sa perfection en se mêlant à d’autres formes, mais non en se noyant parmi elles. L’objet surgit du gouffre, de la clôture, de l’uniformité, de la platitude. Cependant certaines transparences sont négatives

j'aime Même si je ne les ai vus qu'une seule fois Je dis tu à tous ceux qui s'aiment Même si je ne les connais pas Rappelle-toi Barbara N'oublie pas Cette pluie sage et heureuse Sur ton visage heureux Sur cette ville heureuse Cette pluie sur la mer Sur l'arsenal Sur le bateau d'Ouessant Oh Barbara Quelle connerie la guerre Qu'es-tu devenue maintenant Sous cette pluie de fer De feu d'acier de sang Et celui qui te serrait dans ses bras Amoureusement Est-il mort disparu ou bien encore vivant

indienne, traduite par l'Ignorant, 1766. Pythagore (1) dans son séjour aux Indes, apprit, comme tout le monde sait, à l'école des gymnosophistes, le langage des bêtes et celui des plantes. Se promenant un jour dans une prairie assez près du rivage de la mer, il entendit ces paroles: « Que je suis malheureuse d'être née herbe ! à peine suis-je parvenue à deux pouces de hauteur que voilà un monstre dévorant, un animal horrible, qui me foule sous ses larges pieds;sa gueule est armée d'une rangée de faux tranchantes

pour entreprendre une carrière politique. CHAPITRE 2 : CITOYENNETÉ ET EMPIRE À ROME I-IIIème siècles APJC | On va étudier le cas ici d'une citoyenneté à une échelle beaucoup plus vaste qu'Athènes. L'empire romain est centré autour de la mer méditerranée. C'est un empire beaucoup plus vaste et durable que l'empire Athénienne. Problème : En quoi la puissance de l'empire romain est elle liée à la définition Romaine de la citoyenneté ? I. UNE CITOYENNETÉ OUVERTE | a) Rome, une

Puis, prévoyant bientôt le naufrage et la mort, Au risque d’encourir l’anathème ou le blâme, À deux mains j’ai saisi ce livre de mon âme, Et j’ai lancé par-dessus bord. C’est mon trésor unique, amassé page à page. À le laisser au fond d’une mer sans rivage Disparaître avec moi je n’ai pu consentir. En dépit du courant qui l’emporte ou l’entrave, Qu’il se soutienne donc et surnage en épave Sur ces flots qui vont m’engloutir ! Guernica, Pablo Picasso, 1937, Huile sur toile, 351x782

sauveur qu’ils appellent : Le Messie - Les Zélotes attendent un libérateur et mènent une guérilla permanente contre les Romains dans les campagnes - Les Esséniens se sont retirés dans les grottes de Qûmran, au bord de la Mer Morte. Il y attendent un sauveur dans un sens plus spirituel et appellent à la purification et au repentir. II) Jésus-Christ et son message : la naissance d’une nouvelle religion (1h25) Doc-annexes : Flavius Josèphe Jésus est à la foi un

diverses périodes et les Arabes ont constitué un relais précieux entre la science antique et la Renaissance européenne. Enfin, l'expansion ne s'est pas limitée au peuple arabe : elle a touché d'autres peuples et, des rives de la Méditerranée et de la mer Rouge, elle a gagné les rivages puis l'intérieur de l'Afrique noire, le monde du Sud-Est asiatique L'ISLAM est une civilisation. Comme toute grande civilisation, l'Islam a sa source - origine et aussi inspiration permanente - dans l'expérience religieuse

qui me revient renvoyé par les échos. Mais non, c'est le bruit d'autres coeurs, de millions d'autres coeurs battant comme le mien à travers la France. Ils battent au même rythme pour la même besogne tous ces coeurs, Leur bruit est celui de la mer à l'assaut des falaises Et tout ce sang porte dans des millions de cervelles un même mot d'ordre : Révolte contre Hitler et mort à ses partisans ! Pourtant ce coeur haïssait la guerre et battait au rythme des saisons, Mais un seul mot : Liberté

Dit de Tian-yi » (« Au commencement, il y eut ce cri dans la nuit » (p.15)) est un rappel explicite au commencement de la Genèse (« Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre ». Par ailleurs, Tianyi forme avec l’Amante et l’Ami une sorte de trinité, et en plus le roman se compose de trois parties, etc. Dans ce roman, Tianyi sombrant dans une semi-démence, confie au narrateur son manuscript complété par une confession orale. On Remarque ici une référence textuelle au Journal d’un fou de Luxun