La Tristesse De Lamartine

(R), René (R), Le Génie du Christianisme (LI), Mémoires d’outre-tombe (R autobio) 2. Alphonse de Lamartine (1790-1869) Méditations poétiques (P), Harmonies poétiques et religieuses (P), Voyage en Orient (R auto), Raphaël (R), Graziella (R) 3. Victor Hugo (1802-1885) Les Feuilles d’automne (P), Notre-Dame de Paris (R), Les Misérables (R), Hernani (T), Ruy Blas (T) 4. Alfred de Musset (1810-1857), Tristesse, On ne badine pas avec l’amour. | 1. Honoré de Balzac (1799-1850) Le Père Goriot… La Comédie

l’héritage antique: le mépris des règles, le culte de l’imagination et du sentiment. Romantisme s'exerce dans les romans, la poésie, ainsi que dans le théâtre ou l’art. Les principaux auteurs romantiques de la littérature française sont : Victor Hugo, Lamartine ou Alfred de Musset. Le roman est devenu à la mode grâce à ce courant littéraire. Dans les années 1800-1820 apparaissent les "romanciers du moi": il s'agit entre autres de Senancour, Mme de Staël, B.Constant, et de Chateaubriand. Les romanciers

utilisant « nous », ou encore Lamartine dans « Méditations poétiques » qui utilise la première personne du singulier et du pluriel. Le plus souvent, le poète cherche à décrire des émotions fortes telles que la souffrance, la tristesse, l’amour, la détresse… tel que Villon qui évoque l’horreur en utilisant le champ lexical de la souffrance dans « ballade des pendus »: « dévorée » (v.7) ;  « infernale » (V.18); « arraché »(V.24) ; « becquetés » (V.28), ou tel que Lamartine qui décrit la faiblesse dont

temps qui fuit … Une malédiction pour tous . Sommaire Page 1 & 2 : Préface Page 3 & 4 : “Le pont Mirabeau” de Guillaume Appolinaire Page 5 & 6 : "L’Horloge" de Charles Baudelaire Page 7 & 8 : "Le Lac" de Alphonse de Lamartine Page 9 & 10 : "Le Ballet des heures" de Gérard de Nerval Page 11 & 12 : "Assied toi sur le bord" de Jean Baptiste Chassignet Page 13 & 14 : "Soleils Couchants" de Victor Hugo Page 15 & 16 : "Chansons d'automne" de Paul Verlaine

sorte d’échec final, Musset arrive à nous le montrer grace a l’image du verre qui se brise. Le « il » vient se rajouter, c’est comme un double mystérieux. Le « il » est un personnage ténébreux, triste, il est l’idée du mystère et d’une certaine tristesse. Il a pour fonction le guide, nous pouvons interpréter ça comme une prédiction pour l’avenir. Le « il » vit les mêmes états d’âmes et les mêmes états d’esprits que le « je ». Le « il » est donc en harmonie avec le « je ». C’est un guide vers l’idéal

bilan sur Introduction : Ce poème intitulé « le lac » à été écrit par Alphonse de Lamartine, poète du XIXe siècle et a été publié dans son recueil « Méditations poétiques » en 1820. Il se compose de 16 quatrains comportant eux même des alexandrins et des sizains. Dans les 4 premiers vers, le poète s’interroge sur la fuite du temps. Il s’adresse solennellement à la nature et parle au lac comme à un ami du vers 5 au vers 20. Le poète cherche à crée une certaine complicité entre lui et le

* Cette insatisfaction et cette tristesse peuvent être positives, dans le cas où elles deviennent pour certains romantiques une source d’énergie, de révolte. L'exaltation de la passion est source d’énergie. * Méditation sur l’histoire : au sentiment de la fuite du temps, de la vie éphémère de l’homme, l’écrivain romantique peut opposer les vastes mouvements de l’histoire; * Engagement : dans l’action politique ou sociale : cf. Lamartine, Hugo, Vigny. Conscience d’une mission

-le « je » poétique fait entendre toute voix humaine •mélancolie, mal du siècle, spleen : prise de conscience d'une inadaptation fondamentale de l'être sensible à son environnement social. Ce mal du siècle peut s’exprimer par la solitude, la tristesse et l’isolement. •désir d’évasion, de voyage, goût de l’exotisme : le romantisme se caractérise par le libre cours donné à l'imagination et à la sensibilité individuelle, qui le plus souvent traduisent un désir d'évasion et de rêve. Le mouvement

dimension sociale. Lamartine devient l’interprète des souffrances humaines, il affirme que le poète a le devoir d’oublier son art lorsque la patrie est en danger. Victor Hugo dit que le poète est un prophète, un flambeau qui éclaire le chemin des autres hommes, il croit en la mission rédemptrice de la poésie pour un avenir plus heureux. Ils ont tous les deux une mission sociale à accomplir. Vigny est opposé à ceux qui prêchent l’engagement politique du poète comme Lamartine ou Hugo ; mais, en

Mêlant la nature aux élans du lyrisme, ce poème rempli de religiosité et composé dans un rythme calme et sobre qui traduit le repos de l'âme, effort pour élever une liaison mondaine au rang d'un amour immortel, peut être comparé au ‘’Lac’’ de Lamartine et à ‘’Tristesse d'Olympio’’ de Hugo (Musset, comme lui, s'étonne d'abord de ne plus souffrir). Il reprit d’ailleurs la strophe élégiaque qu’on trouvait dans ces deux poèmes, chaque quatrain faisant suivre trois alexandrins d’un vers atténué qui n’est qu’un