La Tunique

Conclusion: L'évolution de la monnaie c' est faite par ses débuts dans le troc, puis ensuite par l' apparition de la monnaie qui a permis aux gens de prendre possession d'un bien en l' achetant a sa propre valeur. L'échange entre une botte et une tunique n' étant plus faisable dû a un manque de valeur équitable. Ainsi grâce à cette évolution des fonctions et de la forme de la monnaie, l' économie à pu s' enrichir et a permis aux consommateurs de consommer les différents produit à leur juste valeur

jusqu’a la mort → aussi elle décida de ne plus rester en ce lieu, car si on la dénonçait et que le Comte Garin le sût, → il la ferait périr de façon honteuse. → Elle sentit que la vieille qui était avec elle dormait ; elle se leva et revêtit une tunique (corset ?) de soie de très bonne qualité, et elle prit des draps de lit et des serviettes, les noua ensemble, en fit une corde aussi longue qu’elle put et l’attacha au pilier de la fenêtre. → Elle descendit dans le jardin où, prenant son vêtement

vestale (prêtresse de Vesta, déesse du foyer), participer à certaines cérémonies et cultes religieux, divorcer (à la fin de la République), témoigner devant un tribunal, hériter, et avoir l’éloge funèbre. Les femmes romaines portaient souvent une tunique longue avec une stola, drapée autour des épaules, qui était elle-même drapée par une palla pour couvrir la tête et les épaules. Elles adorent porter des pierres précieuses et des perles, mais surtout les bijoux précieux. Leurs cheveux sont souvent

les opérateurs, d'une tenue de qualité adaptée au niveau de risque de l'acte : Bas niveau : tenue de travail propre du jour Niveau intermédiaire : tenue de travail propre du jour + masque +/- gants stériles Haut niveau : tenue spécifique (ensemble tunique + pantalon propres + coiffe recouvrant toute la chevelure + chaussures réservées au secteur), complétée par le masque chirurgical, la casaque stérile, les gants stériles. *La réalisation de l'acte avec des mains bien gérées : *La pratique de o

Les rayons du soleil et un miroir parabolique sont utilisés pour rallumer la flamme olympique à Olympie en Grèce, à l’endroit même où se déroulaient les Jeux de l’Antiquité. La flamme est allumée au cours d’une cérémonie par des femmes vêtues de tuniques similaires à celles portées par les Grecs de l’Antiquité. La flamme sacrée est communiquée à une torche qui est portée, si possible à pied, vers la ville organisatrice de jeux. Chaque participant porte ensuite la torche olympique sur une courte

voie sacrée, il part du quartier des potiers appelé le Céramique, traverse la place publique : l'Agora et gravit les pentes de l'Acropole. Des jeunes filles (les Ergastines) apportent, pour revêtir la vieille statue en bois d'Athéna, le péplos, une tunique sacrée tissée par les arrhéphores.  Chemin du cortège, La Voie Sacrée La procession a été représentée sur le temple du Panthénon, sculpté par : Phidias. Les plaques sculptées se trouvent sur la frise intérieure qui est d'ordre ionique. Les sculptures

jeu d’acteur parait au premier abord superficielle on peut évoquer la facilité avec laquelle se plaint Orphée  « plaintes mélodieuse » ligne 4 ;  « se plaignait avec faciliter » ligne 12 ou encore les simples commentaires des quelques femmes en tuniques « commentèrent avec grâce » et enfin les chants de passions ne sont que des airs légers. On peut relever le champ lexical de la souffrance (« se plaignait » l.12 ; « son malheur » l.13 ; « ses pleurs » l.15) qui permet de mettre en valeur le caractère

négociants, qui pourront pratiquer, le commerce au long cours. Dans l'antiquité Les moyens de transports étaient très peu variés, les Grecs se déplaçaient à pied ou par la mer. Le plus souvent ils étaient à pied, ils se protégeaient bien le corps avec des tunique qu'il retroussaient pour ne pas les gêner, des chapeaux larges, en hiver les marcheurs accumulaient les tissus et portaient des bonnets en feutres. Les grecs préféraient donc être a pied mais le relief des montagnes étaient souvent un rude obstacles

chercha quelque retraite obscure pour reprendre ses esprits. Phaon, son affranchi, lui offrit sa villa située vers le quatrième milliaire, entre la voie Salaria et la voie Nomentana, restant comme il était, il monta à cheval pieds nus et vêtu d’une tunique, endossé par-dessus d’un manteau à capuchon usé; la tête de Néron ayant été couverte, et un mouchoir ayant été tendu devant son visage, il monta sur son cheval, seuls 4 proches l’accompagnant parmi lesquels il y avait Sporus. Un tremblement de terre

En signe de purification, on dépouille le jeune homme de ses vêtements et on le met au bain. · Il revêt alors une tunique blanche, symbole de pureté. · Ainsi vêtu, il lui faut faire, pendant 24 heures, un jeûne rigoureux, et ce, pour ensuite se retirer dans la chapelle du château ou une église afin d'y prier toute la nuit. · Le lendemain, il assiste à la messe, puis passe une tunique rouge, symbole du sang qu'il est prêt à verser. · Un ancien le ceint alors d'un baudrier portant une épée bénie