La Vague Adaptation Cinématographique

but était d’imaginer l’avenir de la société d’information, le cyberpunk devint peu à peu un courant littéraire autonome en raison de son actualité. Ce mouvement fut popularisé dès le début des années 1980 grâce à des courants littéraires et cinématographiques décrivant un monde lugubre, souvent post-apocalyptique, où la société est contrôlée, via une technologie futuriste, par une multinationale totalitaire. On y décrit souvent l’image d’une société postindustrielle ou apocalyptique ayant en quelque

vient d’une planète lointaine. Sensible et curieux, il ne renonce jamais à une question et cherche à explorer l’univers et à comprendre le sens du monde et de la vie. C’est l’incarnation de l’innocence et de la pureté de l’enfance : son origine vague et son apparence céleste permettent d’en faire une image de l’enfant en général. Plusieurs modèles ont servi Saint-Exupéry dans la construction du personnage. Sa personnalité aurait été directement inspirée d’enfants de ses amis. La gestation du

interpréter un texte littéraire (pièce de théâtre et images cinématographique s’y rapportant) et faire part de sa lecture par divers moyens d’expression. C2 : (pour le deuxième degré) : observer un document audiovisuel, analyser les effets produit par l’action des langages utilisés et faire part de sa « lecture » par divers moyens d’expression (ici : la critique orale) C2 : (pour le 3e niveau) : rédiger et dire un texte d’expression personnelle (adaptation d’une scène de théâtre) en sollicitant son imagination

Juin 2011 Introduction : Une histoire de dialogue... 4 Partie 1 : Au temps de l'image pure 16 I) Fable et images, domaines séparés ? 18 1) Le cinéma contre le logos ? 18 2) La valeur de l'opsis 22 II) L'image cinématographique dans la représentation : l'exemple de Piscator 26 1) Piscator et l'utilisation du cinéma 28 2) Piscator et la puissance de la fable 33 III) Claudel : le Mythe total enfin possible ? 40 1) Le visible et l’invisible 41

Beaubourg » 1. Où se trouve le bâtiment ? Au cœur de Paris Le bâtiment se situe au cœur de Paris, entre le quartier du Marais, l’île de la Cité et le quartier des Halles. On appelle cet emplacement le plateau Beaubourg. En 1960, c’est un terrain vague qui sert de parking. Mais il n’en a pas toujours été ainsi. Un peu de géographie… rivière et marais Le nom de Marais, donné au quartier s’étalant à l’est du Centre Pompidou, rappelle le site naturel et ses terres marécageuses régulièrement inondées

tous les adolescents de sa génération, il avait été profondément marqué par les années de l'occupation allemande. Le militant pensa devoir choisir une carrière utile : tournant le dos à la musique et à la poésie, il s'inscrivit à la faculté cinématographique bien qu'il n'éprouvait aucun goût particulier pour le septième art. Néanmoins, il fut exclu du Parti communiste dès 1950 en raison de son attitude trop indépendante et il travailla pendant un an comme ouvrier. Il fit paraître : ____________________________________________________________

programme. TF1 conserve sa suprématie sur les films de cinéma (26%) avec Canal Plus (28%) alors que M6 confirme son leadership sur les séries américaines (34% de citations) devant TF1 (26% de citations). Tous ces chiffres proviennent de la quatrième vague du baromètre d’image des chaînes nationales effectuée par Ipsos/Stratégie publiée le 21 mars 2002. Selon Benoît Danard et Rémy Le Champion dans leur ouvrage Les programmes audiovisuels, TF1 est la chaîne la plus regardée mais aussi la moins appréciée

après guerre et aboutit à l’adoption du refroidissement par air, une carrosserie simple à fabriquer. Citroën prend du retard sur la concurrence qui depuis 1946 lance ses modèles populaires : 4 CV Renault, Dina Panhard, Simca 5 et 6. Toutes ces adaptations permettent le lancement de la berline dans sa forme définitive en 1948. Elle sera présentée finalement avec son moteur au salon de 1949. Après plus de dix d’attente, les premières réactions ne sont pas favorables. On lui reproche sa laideur. La

apparu dans la vague montante du “rétro”, en même temps que Les damnés (Visconti), Portier de nuit (Cavani) et Lacombe Lucien (Malle). Au niveau le plus superficiel, et loin de toute analyse, cette critique révèle son inappétence devant un objet “daté” et sa hâte d'enchaîner sur la mode prochaine qui, par définition, sera la meilleure. Patrick Thévenon, dans son vocabulaire même, traduit bien cette quête de nouveaux condiments : “Ce film relève de ces entreprises cinématographiques où l'addition

Maeterlinck, Alfred Jarry, Oscar Wilde, Henrik Ibsen, à rebours du théâtre sclérosé depuis le Second Empire (vaudeville bourgeois, mélodrame des chaumières, tragédie d'antiquités...). Engagé, Artaud révèle de grandes capacités d'acteur (« Beau comme une vague, émouvant comme une catastrophe... »)[4] et d'homme à tout faire : il crée les décors et les costumes pour La vie est un songe de Calderón de la Barca. Max Jacob lui suggère d'aller voir Charles Dullin qui vient de créer le Théâtre de l'Atelier