La Vague

fleur Qui fait la belle et qui vous attache Puis qui vous mène par le bout du cœur... SANTIANO C'est un fameux trois mats, fier comme un oiseau Hisse et ho, Santiano. 18 noeuds, 400 tonneaux Je suis fier d'y être matelot Tiens bon la vague et tiens bon le vent hisse et oh, Santiano Si Dieu veut toujours droit devant Nous irons jusqu'à San Francisco... BALLADE IRLANDAISE Un oranger sur le sol irlandais On ne le verra jamais Un jour de neige embaumé de lilas jamais on ne

le ciel : c’est pour mieux lui redire, À l’écart, en secret, son immense tourment, Que la fauve amoureuse, au large se retire, Dans son lit de corail, d’ambre et de diamant. Et la brise n’apporte à la terre jalouse, Qu’un souffle chuchoteur, vague, délicieux : L’âme des océans frémit comme une épouse Sous le chaste baiser des impassibles cieux. Nérée Beauchemin 1900 Le Navire Mystique Il se sera perdu le navire archaïque Aux mers où baigneront mes rêves éperdus ; Et ses immenses mâts

de la mer dans l'épopée ( en général c'est un ouvrage poétique dont le héros doit affronter les épreuves , ennemis). Nous montrerons aussi un autre sens du mot. I L'epopée de la mer: la poesie de la mer 1) Le vaste champ lexical maritime: " vague" ; "l'eau"; "la lame " "le ressac"; "la mer" ; "l'ecume" "l'onde"; "les flots" ; "le remous" " la houle "; "les courants" ; " le gouffre" Le vocabulaire maritime est ainsi omniprésent dans l'oeuvre. Le vocabulaire du bateau : : la voile

proposition de sujets plutôt intéressent, nous avons choisis d’effectuer notre TPE sur les tsunamis car nous voulions travailler sur un phénomène aquatique et également sur un phénomène naturel de très grande ampleur. Mais le tsunami est un sujet plutôt vague, nous voulions concentrer nos effort sur un sujet plus précis. Nous avons donc délimité notre sujet en instaurant la problématique suivante : Comment l’Homme se protège t-il contre les effets d’un tsunami. Cette problématique a laquelle nous devions

invoquant les étoiles, Le vent impétueux qui soufflait dans les voiles L'enveloppe. Étonnée, et loin des matelots, Elle crie, elle tombe, elle est au sein des flots. Elle est au sein des flots, la jeune Tarentine. Son beau corps a roulé sous la vague marine. Thétis, les yeux en pleurs, dans le creux d'un rocher Aux monstres dévorants eut soin de la cacher. Par ses ordres bientôt les belles Néréides L'élèvent au-dessus des demeures humides, Le portent au rivage, et dans ce monument L'ont,

voyage où veut nous emmener Baudelaire dans le poème.Les verbes et les champs lexicaux du mouvement comme «  me portent vers » «  grand océan » «  grandes mers »  « l'espace bleu et plus profond » «  beau navire » nous entraine avec eux dans cette vague de paysage et de voyage. Le rythme ternaire de ce poème suggère le mouvement. Nous constatons un rythme croissant dans le poème. Quand le poète veut nous faire voyager avec lui, il introduit de nombreuses virgules comme pour nous laisser bercer par

|En cas d’échec à l’examen, risque de perte de | | |– Amélioration de l’ambiance dans les agences. |confiance vis-à-vis de l’entreprise. | |Direction des ressources |Si la première vague de validation est un succès, elle |– Crainte d’un manque d’implication des | |humaines |servira d’exemple et de moteur pour les vagues suivantes. |personnels. | |

paresseuse », d’ « arbres singuliers », de « fruits savoureux ». Il montre l’environnement agréable avec de « charmants climats », le « parfum des verts tamariniers ». Il exprime aussi le champ lexical de la navigation avec : « voiles », « mâts », « vague marine », « chant des mariniers ». Dans « Moesta et errabunda », Baudelaire parle du « noir océan », d’une « immonde cité », de la « mer, la vaste mer », des « vents grondeurs », il parle du « triste cœur d’Agathe », de « paradis parfumé », d’un « clair

Sa voix si banale vous enchante. Il vous prendra la main Il vous dira que vous êtes belle Et tous ces souvenirs reviendront à vous dans des moments plus sombres Pour vous rappeler qu’un jour ; vous avez été attendu. 11/11/13 Le vague à l’âme Ma tête est un ras de marée. Les idées claquent contre les parois comme l’écume sur le sable gris d’une plage d’hiver. Je n’en sortirai pas vivante comme le marin sombrant avec son trois mats, la condamnation dans la peau et l’eau comme

chatouilles, dit-il, pas de ces plaisanteries-là… Voyons, finis : tu vas me faire tomber. Laurent serra plus fort, donna une secousse. Camille se tourna et vit la figure effrayante de son ami, toute convulsionnée. Il ne comprit pas ; une épouvante vague le saisit. Il voulut crier, et sentit une main rude qui le serrait à la gorge. Avec l’instinct d’une bête qui se défend, il se dressa sur les genoux, se cramponnant au bord de la barque. Il lutta ainsi pendant plusieurs secondes. - Thérèse ! Thérèse