La Vanite Au 17 Siecle

le manque de courtoisie " Qu’on m’éclabousse depuis les pieds jusqu'à la tête " (l.16) " Les coups de coude " (l.17) : grandes phrases avec succession de verbes d’actions et de propositions : rapidité. " Je suis plus brisé que si j’avais fait 10 lieues " (l.20-21) hyperbole. • La crédulité des français vis à vis du roi, ils sont soumis : " La vanité de ses sujets " (l.27) cf. achat des charges qui confèrent la noblesse. " Titres d’honneurs à vendre […] prodige de l’orgueil

seulement des mots mais des actes « lutinent » généralités = ils font tous la mm chose jeux de paroles et de caresses dépourvus de sens, futile v.14-15 : aucune spontanéité, les attitudes sont codifiées : « échange », jeu homme pas vexé du soufflet = code v.17 : opposition entre « immensément excessive » et « extrême phalange » v.19 : elle fait un geste mais en pense un autre -> codes, espièglerie rien n’est dit, il n’y a que des mimiques, coté décadent et préciosité extrême qui désenchantent les relations

CORPUS DU XIXE SIECLE – ROMANS D’APPRENTISSAGE I. resumés des oeuvres I.I. L’éducation sentimentale – Flaubert 1ère partie: Frédéric Moreau, nouvellement bachelier, rentre chez sa mère en bateau. C’est là qu’il aperçoit Mme Arnoux, accompagnée de son mari et de sa fille. Il se rend rapidement sur Paris pour débuter des études de droit. Il retrouve alors la trace de Mme Arnoux en découvrant l’atelier à son mari. Il amorce alors une amitié avec Mr Arnoux pour se rapprocher de sa femme. Entre temps

« Mai », Alcools, Apollinaire Guillaume Apollinaire (1880-1918) est une des figures de l’avant-garde artistique du début du XXème siècle. Ami du peintre Picasso, du poète Max Jacob, il cherche dans son œuvre de nouvelles voies d’expression poétique, à l’instar des artistes de son temps. Il crée des formes poétiques nouvelles : les calligrammes, par exemple. En 1913 paraît Alcools, recueil de poèmes écrit sur une dizaine d’années, il surprend par l’absence de ponctuation, l’originalité des images

Les Essaie De MontaigneCours 1 :L’humanisme et la RéformeMalgré la survivance des principes et fondements de la féodalité, le XVIe siècle ou « Renaissance » offre le spectacle de profondes mutations politiques, économiques, sociales et culturelles. Ce siècle est marqué en France par la progression de la Réforme (Reformation) et des Guerres de religion.I.La Renaissance Artistique · Il existe une continuité entre la fin du Moyen Âge et la Renaissance. Pas de rupture donc, mais une série de transitions

montre-t-il, à travers les fables, le mensonge de l’illusion artistique ? Dans un premier temps, nous verrons que la fable est mythologique, puis, nous observerons la moralité de cette dernière. INTRODUCTION De La Fontaine, auteur du XVIIème siècle, nous connaissons surtout Les Fables. Or le poète a touché à tous les genres : au conte (Contes et nouvelles en vers), au roman (Les Amours de Psyché et de Cupidon), à la poésie (Adonis). Riche de ce travail éclectique/ pluriel et nourri de l’œuvre

MAXIMES DE LA ROCHEFOUCAULD Éric Tourrette Presses Universitaires de France | « Dix-septième siècle » 2015/2 n° 267 | pages 281 à 306 ISSN 0012-4273 ISBN 9782130650959 DOI 10.3917/dss.152.0281 Article disponible en ligne à l'adresse : -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- https://www.cairn.info/revue-dix-septieme-siecle-2015-2-page-281.htm

figure d'arrogance. De plus, le chêne en arrive à dénoncer la nature pour le fait que le roseau, différent de lui, est constamment " bousculé ": - vers 2: accuser la nature, - vers 11: si vous naissiez, - vers 15: mais vous naissiez, - vers 17: nature bien injuste. La nature est donc ici accusée, mais le chêne, entre autre, en dénonçant la nature, dénonce de même le destin, pourtant inéluctable. On voit aussi la domination du chêne par les pronoms personnels ou possessifs " je ", " me "

récit s’achève sur la nouvelle de sa mort, dans des conditions misérables · Exemple 2 : l’inceste entre Maxime et Renée peut se lire comme une nouvelle version du mythe de Phèdre qui a donné lieu à de célèbres tragédies pendant l’Antiquité et au 17e siècle (la jeune Phèdre épouse en secondes noces le roi Thésée et tombe follement amoureuse de son jeune fils ; cet amour n’est pas réciproque ; le fils est tué à la guerre et Phèdre se suicide) ; d’ailleurs, dans un passage du roman, Maxime et Renée vont

 Pour résumer la philosophie des Lumières, on peut dire qu'elle repose sur les valeurs de liberté, de tolérance et de justice. Ce mouvement de la pensée du XVIIIe siècle trouve ses racines dans la raison et les sciences. Les principes ne doivent pas être établis sur des a priori mais être issus d'une démarche utilisant les méthodes scientifiques. Les philosophes des Lumières avaient donc tous pour but d'éclairer, d'où leur nom, l'esprit humain et la pensée de leurs contemporains par la raison.