La Vanité Tableau

a/ Son projet Film de 1988 réalisé par Stephen Frears (anglais) Mary Reilly (1996) avec Close, Malkovich et J. Roberts (Dr Jekyll et Mr Hyde) →Appels à la peinture : pour Frears comme pour son directeur de la photographie, le modèle suprême est le tableau de Fragonard « le verrou » Transposition rendue nécessaire par le langage cinématographique. Le film s’affranchit du texte source et n’hésite pas à supprimer, modifier, rajouter, tout en respectant l’esprit du texte originel : les lettres ont une

intègre, ni ne prête main-forte aux malfaiteurs. Il va remplir ta bouche de rires et tes lèvres de hourras." Mais, s’il y a bien un temps pour rire, comme l’écrit ce vieux désabusé de Qohélet (chapitre 3, verset 4) – vous savez, celui de "Vanité des vanités, tout est vanité" –, le rire biblique est le plus souvent un rire de ricanement et de risée. "Et quand j’ai trébuché, ils se sont attroupés pour en rire" (Psaume 34, verset 15). Si "l’infidèle se rit de Dieu" (Psaume 10, verset 13), le Seigneur aussi

peintre (1684-1721). D’abord peintre d’enseignes sur bois (bars dansants) : représentations festives. Remarqué vite, il se spécialise en portrait et commandes personnelles Au départ, on avait l’impression qu’une personne regardait le tableau et y entrait, mais aucun tableau de Watteau ne correspond. Verlaine peint l’œuvre entière de Watteau dans ce poème, il en donne l’atmosphère = symboliste. Pour Verlaine Watteau symbolise une époque. Ce poème montre l’essoufflement de la sct, nostalgie d’un homme

toile 65,4x90,2 cm Musée des beaux arts du Canada.   Le wagon de troisième classe est une peinture à l’huile sur toile de 65,4x90,2 cm. Il représente des voyageurs des premiers chemins de fer assis sur les vétustes banquettes d’un wagon. Dans ce tableau réaliste, Honoré Daumier n’a pas choisi de représenter de riches bourgeois voyageant en première classe, mais « le prolétariat» qui représentait environ 92% de la population, afin de dénoncer la misère qui régnait chez la grande majorité de ses contemporains

couche : Frida apprend qu'elle ne pourra jamais avoir d'enfants à cause de ses blessures. -1923 : deuxième fausse couche malgré le fait que le médecin lui avait dit qu'elle pouvoit avoir un enfant par césarienne. Cet événement sera repris par le tableau : « L'hôpital Henry Ford » -Annoncer que Frida a eu plusieurs brèves liaisons avec des photographes, révolutionnaires,... -1939 : divorce à cause de nombreuses tromperies entre Diego et la sœur de Frida) -Se remarie avec Diego le jour de son anniversaire

Je vais essayer de vous parler ce soir du tableau qui se trouve devant nous, en face de nous, tellement prsent que nous arrivons ne plus le voir et presque loublier La colonne brise Ce tableau situ l O. est adoss au bas de lhtel o se tient le VM. . Cest lune des premires figures que le souffrant aperoit lissue du 3me voyage, alors quil vient de recevoir la lumire. Dans ce tableau, o se ctoient diverses illustrations, dont lensemble aboutit une image mystrieuse pleine de symboles qui stimulent

comme l'orgueil, la vanité et un égo surdimensionné. Deuxièmement, Don juan ne manipule en aucun cas, que ce soit pour obtenir quelque chose ou quelqu'un, ce qui le distingue d'ailleurs des œuvres de Tirso De Molina et de Molière. De plus il n'est pas maître de ses actions et de son destin, mais au contraire se retrouve entraîné à travers les péripéties dans diverses situations qui lui poseront problèmes. Pour exemple; envoyé en Italie, son bateau échoua (référence au tableau de Delacroix) sur une

Laclos Frears Forman 1 Double préface Auteur caché donne le mode d’emploi de son livre, à savoir l’ironie, arme absolue des libertins. - gros plan sur la lettre, motif important - gros plan miroir, les Vanités. (cf tableau). - montage alterné : les deux duellistes se préparent. Valmont caché : thème du masque. La Merteuil au contraire en pleine lumière : thème du double Les deux libertins sur les tréteaux : regard-caméra (face à face). Pas de prologue 2. Incipit La première note du roman

désigne un genre artistique de créations de toutes sortes, mais qui partagent toutes le même  but, celui de rappeler aux hommes qu'ils sont mortels et la vanité de leurs activités ou intérêts  terrestres.    Idée principales de l’oeuvre :    ­ La fusion du laid et du beau qui crée une ironie.  >>>> Opposition du beau avec le laid  >>>> Le tableau de l’horreur (mort, décomposition, ...etc)  >>>> Comparaison de la femme et de la charogne    ­ Le faux éloge romantique  >>>> Association de la mort et de l’érotisme 

droit fil de la devise horacienne de l’ut pictura poesis, « la poésie est comme la peinture », longtemps interprétée comme l’affirmation d’une filiation entre poésie et peinture. La scène racontée par la narratrice constitue en effet une sorte de tableau de genre, destiné à faire impression sur le narrataire en lui faisant revivre la violence de ses persécutions. 1) une scène violente Tout le passage est une succession de violences faites à l’encontre de l’héroïne. La première