La Vanité Tableau

que la société réelle. L'ambition de Balzac dépasse cependant la simple description : s'il veut brosser un tableau complet de l'espèce humaine, il cherche avant tout à en faire un tableau juste et vrai, et surtout à comprendre les rouages et les lois qui la régissent. La description doit s'accompagner de l'explication. La fiction devient ainsi le moyen de dénoncer l'hypocrisie, la vanité, l'ambition, l'égoïsme, le jeu des rôles qui gouverne la société. Doué d'une imagination et d'un sens de l'observation

l’œuvre reproduite : Jean-Michel BASQUIAT, Slaves Auction (Marché aux esclaves), 1982, collage de papiers froissés, pastel gras et peinture acrylique sur toile, 183 x 305,5 cm Musée National d’Art Moderne, Paris Introduction : présentation du tableau Jean-Michel Basquiat est un artiste américain né en 1960 et mort prématurément en 1988. Il commence comme artiste de rue en peignant des graffitis, et devient un artiste d’avant-garde très populaire et pionnier de la mouvance dite « underground »

ami de Basil, rencontré alors que les deux hommes étudiaient à l'Université Oxford) lorsqu'il voit pour la première fois le | |tableau fini. Les théories sur la jeunesse de ce nouvel ami font naître en Dorian de la jalousie pour le portrait qui, contrairement à lui, restera toujours | |tel qu'au moment où il a été peint. Dorian souhaite alors que le tableau vieillisse à sa place pour qu'il garde toujours sa beauté d'adolescent. | |

Moutons de panurge = Rabelais Dénotation, connotation Vanités = langage codé, sans vocation décorative Ludin Bauguin, les cinq sens, Louvre, 1630 S. Renard de Saint-André, Vanité, 17ème siècle L’anamorphose : Les ambassadeurs, Holbein, 1533, méditations sur la vie et la mort. (tête de mort déformée cachée dans le tableau) But : cacher une image dans l’image, point de vue particulier à adopter pour voir l’image en question. Vanité moderne => cane avec une tête de mort Théorie de Roland

contredit. Rousseau approfondit et met en œuvre un système philosophique ébauché dans le discours sur les sciences et les arts. Le discours sur l’inégalité date de 1755 et là, nous sommes dans la seconde partie du discours où Rousseau dresse un tableau des grandes sociétés et met en scène le processus générateur d’inégalité. Problématique : comment Rousseau cherche à convaincre ? Explication du texte : AXE I : Quelles sont les étapes de l’évolution ? En quoi y a-t-il progrès ?

il fait « l'objet » d'une œuvre à part entière dans les tableaux : apparaissent les premières natures mortes, suivies peu de temps après par les vanités. Durant la période de l'art moderne, la représentation d'objets dans les tableaux ne cesse d'évoluer. Les cubistes tels que Picasso y rajoutent une petite touche de modernité en insérant dans le tableau (généralement par collage) des objets de la vie courante pour nous rapprocher un peu plus de la réalité. Cette évolution n'est donc toujours pas

présente : "Mon ami Marc, qui est un garçon intelligent, garçon que j'estime depuis longtemps, belle situation, ingénieur dans l'aéronautique, fait partie de ces intellectuels, nouveaux, qui, non contents d'être ennemis de la modernité en tirent une vanité incompréhensible. Il y a depuis peu, chez l'adepte du bon vieux temps, une arrogance vraiment stupéfiante". "Il n'a pas d'humour. Avec toi [Yvan] je ris. Avec lui, je suis glacé." Pour Yvan, "c'est un garçon classique, c'est un homme classique.Tu

dans tous les siècles ; ton Dieu, ô Sion, règnera dans la suite de toutes les races. N’espérons plus, mon âme, aux promesses du monde : Sa lumière est un verre, et sa faveur une onde Que toujours quelque vent empêche de calmer. Quittons ses vanités, lassons-nous de les suivre ; C’est Dieu qui nous fait vivre, C’est Dieu qu’il faut aimer. En vain, pour satisfaire à nos lâches envies, Nous passons près des rois tout le temps de nos vies A souffrir des mépris et ployer les genoux :

règnera dans tous les siècles ; ton Dieu, ô Sion, règnera dans la suite de toutes les races. N’espérons plus, mon âme, aux promesses du monde : Sa lumière est un verre, et sa faveur une onde Que toujours quelque vent empêche de calmer. Quittons ses vanités, lassons-nous de les suivre ; C’est Dieu qui nous fait vivre, C’est Dieu qu’il faut aimer. En vain, pour satisfaire à nos lâches envies, Nous passons près des rois tout le temps de nos vies A souffrir des mépris et ployer les genoux : Ce qu’ils peuvent

siècle, il vaut à la fois comme moment historique, le XIXe, donc celui de la modernité, fils dégradé de la Révolution, et comme terrestre, matérialiste, bruissant des vanités et des intérêts humains, trop humains. Plus de perspective sociale ou politique, plus d’idéal, fût-il religieux: le siècle ne propose que sa stérilité. Dans ce tableau sinistre, un drame sentimental se déroule, lié à une biographie intellectuelle et morale, à la manière du Volupté de Sainte-Beuve. C’est là écrire selon une conception