La Verite Est Elle Une Ou Plurielle

Hegel, philosophe du 19ème), qui est celui de l’apparition de la rationalité dans l’Antiquité (et avec elle les pratiques de la philosophie, de la démocratie, et de la science donc). On cherche la sagesse au lieu qu’elle soit acquise, on recherche une vérité objective, universelle. La science regroupe les connaissances relatives à des objets, des faits et des phénomènes qui sont vérifiés (et c’est là le plus important) par des méthodes expérimentales. Méthode expérimentale, étapes : observation phénomène

sujet. mémoire : ensemble des souvenirs construits et transmis, des individus ou d’un groupe. Elle englobe l’ensemble des relations qu’un individu ou un groupe entretient avec le passé autour d’un événement. Mémoire subjective et par définition plurielle. « une ou des mémoires » : la mémoire collective développe un récit consensuel autour d’un événement : elle se veut hégémonique et écrase les autres mémoires. SGM : conflit mondial, qui, de 1939 à 1945 a opposé le camp de l’Axe et celui des Alliés

» par un « on » général qui permet au spectateur de s’identifier à lui, et par ce biais, le fait complice. De plus le singulier s’oppose au pluriel, « on » ou « chacun » s’oppose aux Hommes, « ils » « eux ». Il fait adhérer le spectateur à sa vision personnel du « monde » et il fait de sa vérité, une vérité général, ce qui est appuyé par un présent de vérité général « un sage d’esprit s’accommode aux vices de son siècle » (l.104/105). 2) Au début, pendant l’échange entre les deux hommes, il y

deux personnages sont en miroir . 3)La nouvelle de M.Y reprend le mythe de la caverne de Platon :L'empereur et Ling sont des ignorants qui vont sortir de l'ignorance . Ils découvre une vérité qui les enchantent ou les déçoivent . WF est soit un sage qui fait accéder à la vérité soit un manipulateur qui cache la vérité . Synthèse :-M.Y présente l'art de façon paradoxale : il est soit une sublimation du réel soit un mensonge Entraînement au paragraphe de com. de texte paragraphe 7 : une scène pathétique

celle de la vérité. De même que le serment authentifie la parole, de même le texte authentifie l'écrit : sa littéralité, son origine, son sens, c'est-à-dire sa « vérité ». Depuis des siècles, combien de combats pour la vérité, et aussi, concurremment, combien de combats au nom d'un sens contre un autre, combien d'angoisses devant l'incertitude des signes, combien de règles pour tenter de les affermir ! C'est bien une même histoire, parfois sanglante, toujours âpre, qui a lié la vérité, le signe et

« Jusqu’au lit de ton père a porté sa fureur ». Le jeune Hippolyte est maintenant un ‘traître’ aux yeux de son père, ce dernier regrette de l’avoir mis au monde. Dans cette scène Thésée est très en colère, pourtant son fils n’ose pas lui dire la vérité on conclut que même dans ces situations déplorables, Hippolyte n’abandonne pas ses qualité et reste fidèle à sa pureté contrairement à son père. Son amour envers Aricie enfin dévoilé, ne réussie pas à le sauver. Personnages : Dans ce passage

livre de la Genèse, Elohim revient 164 fois. Elohim est-il un pluriel ? La preuve, au contraire, que cette assertion est fausse, nous l'avons dans les épithètes et dans les verbes qui accompagnent le mot Elohim dans la Bible, et qui sont toujours au singulier. Ainsi, #Ge 1:1 dit, non pas Elohim (les dieux) créèrent, mais: Elohim créa (bârâ). En réalité la forme pluriel du Dieu de la Bible évoque le respect voué à Dieu. Il est un pluriel d'excellence, le nom synthétique qui réunit toutes les perfections

autrement qu’avec une parfaite vérité ? La vérité est l’affirmation de ce qui existe et la négation de ce qui n’existe pas. Au sens philosophique, la vérité est le but ultime que chaque penseur convoite. Seulement, aucun d’entre eux n’a jamais prétendu y arriver car celle-ci impose une réflexion sur tous les principes. Ces principes doivent être remis en cause, repensés, et amenés à la conception véritable, la plus juste qui soit. Descartes disait à propos de la vérité qu’elle ne se donne pas mais

conscience intime, ses manifestations ne peuvent trouver place que dans des espaces réservés. Ne privilégiant aucune religion, la laïcité reconnaît la vocation à l’universalité de la civilisation qui est une, au-delà des cultures qui sont multiples et plurielles. Elle est une manière de se conduire, en s’abstenant de tout signe ostentatoire d’une foi ou d’une croyance. Il s’agit de refuser ce qui peut blesser la conscience ou la sensibilité d’autrui. Elle implique une référence à des valeurs communes et

les carcans que l'occident à bien voulu lui assigner mais à un universalisme de l'altérité ou chacun aurait une place dans un monde mondialisé en prise aux dynamiques idéologiques qui font surfaces en tout lieu[2]. C’est donc à un multiculturalisme pluriel soucieux de la différence et tributaire du paradigme du don qu’il s’agit. La notion se voit recyclée. Impossible de voir ressurgir des concrétions idéologiques ou culturelles sous le vernis du consensus politique après un tel exploit. Les résistances