La Verite Est Elle Une Ou Plurielle

retour sur lui même, il dresse le bilan de son voyage > Dénouement de l'histoire, le lecteur s'attend à une morale correspondant aux idées des Lumières. «profondes réflexions » → L'emploie du pluriel indique que la réflexion de Candide est variée > il réfléchit par lui même sur tous les sujets de la vie, grâce à son voyage. → Le mot « profondes » renvoi à l'amélioration de la réflexion de Candide, sa capacité

Newton et d'ouvrages (dictionnaires, critiques...) Remise en cause du système social et politique de l'ancien régime. Ils prônent une religion affranchie de toute l'Eglise.Partisans de l'égalité civile + séparation des pouvoirs, ils acceptent pour vérité ce qui est vérifié par l'observation et l'expérience. Ils condamnent le fanatisme et l'ignorance qui engendrent des superstitions et des préjugés. Ils montrent que d'autres formes de gouvernement existent dans lesquelles libertés et égalité peuvent

leur supériorité sur le Nouveaux Monde.
 Nous allons donc alors nous demander comment un des derniers humanistes de la Renaissance arrive t’il à dénoncer l’ethnocentrisme, c'est-à-dire, la croyance que le peuple dont nous faisons partie possède la vérité, la justice et les bonnes mœurs.

 Premièrement, l’humaniste, va s'intéresser à l’Autre en le présentant avec de nombreuses expression élogieuses les disants sages (« elle n’a autre fondement parmi eux, que la jalousie de la vertu »), courageux («

raison par rapport à mon histoire, ce que j’ai entendu, ce que j’interprète Je m’écoute parlé : on pense détenir la vérité générale On croit connaitre l’autre : on reporte ces propres sensibilités et connaissance sur l’autre car on pense qu’il est pareil que sois Nul ne détient la vérité ; la vérité est un ensemble de point de vue Cela veut dire que chacun à ses propres vérités en fonction de sa culture son environnement sa manière de vivre … Ecoute Optique, Gestuelle et

faible et misérable. Physiquement, il est limité et coincé entre l’infiniment grand et l’infiniment petit. Des forces s’acharnent sur son corps (maladies, vieillesse, mort…) Intellectuellement, il est limité par le fait qu’il n’accède jamais à la vérité. Les puissances trompeuses (telles que l’imaginations qui brouille ses perceptions) le dominent. Dans sa vie sociale, il obéit à des coutumes, conventions. Au niveau de sa morale, il fuit sa misère et tente d’y échapper par le divertissement.

normes que soi ». Un troisième sens apparaît quand il compare les sauvages avec les fruits de la nature  « sauvage » = naturel ( du latin « selvaticus » qui vient de la forêt) ; quand apparaît le dernier sens ? quand Montaigne énonce « là où, à la vérité, ce sont ceux que nous avons altérés par notre artifice… », il fait un raisonnement par analogie en comparant les sauvages aux fruits naturels et opère un retournement ; est « sauvage » ce qui a été altéré, qui a perdu ses qualités naturelles, a été

occupe une place très importantes, à l'âge romantique. Le XVIIIème siècle et ses récits subjectifs avaient ouvert la voie à l'expression du sentiment personnel. Le propos de ces romans est d'expliquer le présent par le passé et d'atteindre une forme de vérité historique. Réalisme et Naturalisme : * Le « petit fait vrai » : En situant ses romans dans une époque récente, Stendhal s'écarte du genre historique. Si ses héros, déchirés entre leurs idéaux et la médiocrité que leur impose la société

- Afin que le lecteur soit sensible à cette conception des Hommes et de l’amour, le narrateur cherche à dépasser la spécificité de l’événement pour donner un tour universel à son propos. - Jeu sur les pronoms : passage de la 1ère personne du pluriel (valeur généralisante) à la 1ère personne du singulier (valeur particulière). Il confère à son récit une dimension didactique. - Logique inductive (partir du cas atypique/particulier pour remonter jusqu’à une généralité, ou partir d’une conséquence

les « nouvelles terres ». L’ensemble du texte est construit sur un élargissement progressif du champ de vision. On observe une gradation dans la désignation du Nouveau Monde : Montaigne emploie d’abord le singulier (« cette nation »), puis le pluriel (« nouvelles terres »), et choisit finalement une expression de portée universelle : « au monde » (derniers mots). b) L’interrogation sur la culture Nous avons vu, dans les cours d’introduction, l’intérêt et la confiance que les humanistes accordent

quelles peines ne s'éviterait-on point » (l.53-54) _____● La dernière phrase de l'avant-dernier paragraphe (l.59 à 62) a une valeur de vérité générale : _______- Utilisation du présent de vérité générale + formulation proverbiale _______- Mots à valeur généralisante : « l'une des plus importantes vérités », « des plus généralement ________reconnues » (cf. lexique + pluriel), « dans le tourbillon de nos mœurs inconséquentes » (idée de ________morale clairement mise en évidence) ___♣ Un texte qui aurait