La Veuve Blanche

que j'utilise toujours, elle m'a renvoyé la balle en me disant qu'elle pensait à moi chaque fois qu'elle raccommode des chaussettes ou qu'elle fait des petits fours avec une cerise dessus…. Passionnant….. Il y avait aussi la fille du ****** qui est veuve de Jacques ****** et nous a dit qu'elle aime beaucoup qu'on lui parle de son mari, j'ai aussi appris que son neveu Arnaud que Sophie gardait il y a 20 ans dans notre rue a 27 ans ce que j'ai beaucoup de peine à imaginer. Hervé****** est arrivé encore

Nous avons tous alors préparé nos couteaux, Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches, Nous allions pas à pas en écartant les branches. Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient, J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient, Et je vois au delà quatre formes légères Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères, Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux, Quand le maître revient, les lévriers joyeux. Leur forme était semblable et semblable la danse

m’appelle Renée. J’ai cinquante-quatre ans. Depuis vingt-sept ans, je suis la concierge du 7 rue de Grenelle, un bel hôtel particulier avec cour et jardin intérieurs, scindé en huit appartements de grand luxe, tous habités, tous gigantesques. Je suis veuve, petite, laide, grassouillette, j’ai des oignons aux pieds et, à en croire certains matins auto-incommodants, une haleine de mammouth. Je n’ai pas fait d’études, ai toujours été pauvre, discrète et insignifiante. Je vis seule avec mon chat, un gros

— Lydie, 10 ans —- Danseart, maître-porion, amant de la Pierronne, 40 ans. —- La Brûlé, 50 ans. Souvarine, anarchiste russe, sabote la mine, 28 ans. Les Hennebeau : — Philippe Hennebeau, directeur général des mines de Montsou, 48 ans. — Blanche Hennebeau, maîtresse de Négrel, 40 ans. Paul Négrel, ingénieur, fiancé de Cécile Grégoire, 25 ans. Les Grégoire : — Léon Grégoire, 60 ans. — Amélie Grégoire, 58 ans. — Cécile Grégoire, fiancée à Paul Négrel, étranglée par Bonnemort, 18 ans

dans l’antiquité II/ LE NEZ : Un jour, Azora revint en colère d’une promenade. Elle est allée consoler la jeune veuve Cosrou qui a élevé deux jours auparavant un tombeau à son mari près d’un ruisseau qui borde une prairie. Elle a promis aux dieux qu’elle resterait auprès du tombeau tant que l’eau du ruisseau y coulerait à côté. Sauf que quand Azora est venue la voir, la veuve était en train de détourner le ruisseau. Azora éclata en reproche si violents que ce manque de vertu ne plut pas à Zadig

par le commencement c'est-à-dire par se réveiller, lire son journal «  la brosse à dent », se laver etc. Le costume de Winnie est également drôle puisqu’il est en total décalage avec le décor de désert, elle est en robe en dentelle blanche avec un collier de perles blanches. De plus, même si Winnie est immobilisée elle arrive à avoir une véritable présence avec la parole mais aussi corporelle sur scène. Le passage très drôle est quand Winnie se demande ce qu’est un porc après avoir lu entièrement ce

cette série. Résumé : Hélène Grandjean l’héroïne de cette histoire épouse d'un nommé Grandjean qui lui a donne une fille, Jeanne, maladive et en proie à des « crises » régulières. La famille monte à Paris, où Grandjean meurt peu après son arrivée. Veuve d’un homme qu’elle n’a jamais vraiment aimé, Hélène se retrouve seule avec sa petite fille Jeanne dans cette grande ville, qu'elle ne connaît pas. Elle reçoit l'aide de deux amis venus du Midi comme elle : Jouve, prêtre, et son frère Rambaud, riche

hebdomadaire, et même un «pas de porte» . Les mains tendues au Maroc du nouveau sont les mains de Marocains et Marocaines, trop souvent bien valides, de tous les âges, arborant tous les costumes : la tenue du travail. Elle peut être la tenue blanche de la veuve, linceul que la fausse endeuillée gardera bien plus longtemps que les quelque 18 semaines requises. Le faux pansement, arboré au seuil des hôpitaux et pharmacies, ou même la tenue de ville bien propre et bien habituelle chez un petit fonctionnaire

ancien voleur poursuivi par la police, demande à Cyprienne de le laisser passer par les toits. Cyprienne avoue à sa mère Etiennette qu'elle aime Edgar Marc, caissier chez un banquier. Sa mère lui demande de ne plus le voir. Aveu: elle n'est pas veuve(bien qu'on l'appelle Mme André), le père de Cyprienne ne l'a pas épousée car il a été conscrit et elle n'a plus eu de ses nouvelles. L'huissier Scrabeau passe les meubles dans la pièce a coté. Il opère pour le banquier Puencarval. Rousseline, l'homme

il y a encore l’amour de la duchesse pour le chevalier, mais qui n’est pas réciproque. Voilà pourquoi on ne peut pas parler de “couple” dans ce cas-là. Pour ce qui est de la châtelaine: la première version dit qu’elle est veuve? Dans la deuxième version la dame de Vergy est veuve. Nous savons très peu de l’apparence des personnages. Leur apparence physique est à peine décrite. Il en est de même pour leur portrait moral. 4.4. Les références à Dieu Dans les trois versions, il y a quelques références