La Vi De Maupassant

l’homme est considéré comme déterminé par son milieu social. L’écriture est soutenue par un gros travail de documentation. Comme pour le réalisme, le naturalisme s’exprime dans le roman. Zola dans son Roman expérimental en explique les enjeux. Maupassant définit sa conception du roman dans la préface de Pierre et Jean. 8 Le Parnasse Ce mouvement de « l’art pour l’art » touche essentiellement la poésie. Il s’étend sur toute la seconde partie du siècle, avec un point fort en 1866-1876. Il s’oppose

LA PLACE DES FEMMES DANS LES ARTS VISUELS CONTEMPORAINS : INVISIBILITE DE L’INVISIBILITE, L’EXEMPLE DU DEPARTEMENT DE LOIRE ATLANTIQUE Sophie Faÿ Novembre 2008 Université Paris III Sorbonne Nouvelle Université Paris VI Pierre et Marie Curie D.I.U. Egalité des chances entre les femmes et les hommes Direction : Chrystel Breysse Je remercie celles et ceux qui ont contribué à la construction de ce travail : En premier lieu les artistes qui m’ont reçue à l’occasion des entretiens, ainsi que

(1873), Femme à l’ombrelle (1875) Auguste Renoir (1841 – 1919) : Lise à l’ombrelle (1867), bal du moulin de la galette (1876). Vincent Van Gogh     (1853 – 1890) : les Tournesols (1889), Nuit étoilée (1889), Eglise d’Auvers - sur – Oise (1890) VI) Pointillisme : procédé pictural consistant à juxtaposer des petites touches de couleur séparées Georges Seurat (1859 – 1891) : Le cirque (1890), un dimanche après-midi à l’île de la Grande Jatte (1885) Paul Signac (1863 – 1935) : La Voile Verte

conte fantastique présente un univers stable et familier au lecteur, dans lequel un phénomène surnaturel apparaît : il est alors impossible de choisir entre explication rationnelle ou irrationnelle. Le conte fantastique est pratiqué par exemple par Maupassant et Mérimée au XIXe siècle. - Le conte philosophique, par le biais d’une fiction séduisante et facile à suivre, aborde des enjeux philosophiques complexes. Les plus célèbres sont ceux de Voltaire au XVIIIe siècle. → La parabole est un apologue

c’est de l’orgueil de village et l’amour du clocher. Enfin les habitants, depuis quarante ans que je vis avec eux, me paraissent la meilleure population de l’univers. Cependant j’entends dire à d’autres que c’est la plus détestable. (Correspondance, VI, p. 388, lettre à Auguste Richard de la Hautière, 18 janvier 1844). Cette lettre, peut-être moins connue que d’autres sur le même sujet, présente à mes yeux l’intérêt de souligner la clairvoyance de Sand dans ses affections – elle n’ignore pas les faiblesses

décrire avec précision la richesse du monde. 2/ La nouvelle Le rayonnement de la presse, en plein développement, donne une impulsion au récit court qu'est la nouvelle. Maupassant sera le meilleur représentant de la nouvelle réaliste, sorte de cliché instantané, qui peint fidèlement et sans concession une tranche d'humanité. VI) Recherche stylistique La stylisation romanesque s'impose comme une nécessité pour restituer le réel. La recherche stylistique des écrivains réalistes se fera avec la même

sensibilité » • On peut comprendre la formulation de deux manières selon que l'on considère de quelle manière cette faculté qu'on appelle la sensibilité s'exprime (dans la passion par exemple tel que nous l'avons aperçu avec la nouvelle de Maupassant, L'enfant ) ou selon que l'on étudie (explore) de quelle manière l'homme, principalement ou de façon privilégiée dans l'art, exprime la sensibilité qui l'affecte. Ou bien l'on vise la sensibilité comme faculté humaine dans

dans les différents textes du corpus ? | |- Maupassant, Une vie, chap XIV |Commentaire : Balzac, Illusions perdues, 2ème partie | |- Huysmans, Là-bas, chap XIX |Dissertation : En conclusion du roman de Maupassant, Une Vie, Rosalie déclare : « La vie, voyez-vous, ça n’est jamais

d’un genre (lettres authentiques et lettres fictives ; le lyrisme en poésie) ou d’une problématique (scènes romanesques : aventures, drames et passions ; jeux de dupes au théâtre) ; – des études d’œuvres intégrales ou par extraits (« La Parure » de Maupassant ; « Un mariage d’amour » de Zola ; « La Cafetière » de Gautier ; Les Misérables de Hugo ; Le Cid de Corneille) ; – des lectures d’œuvres complètes en lecture autonome, avec un guide de lecture et des questions plus ludiques sur l’ensemble de l’œuvre

[Corneille, Horace ]). V – L’hendiadys consiste à transformer une unité en deux unités (le plus souvent N+adj en N et N « emprunter une route sinueuse » donne « emprunter une route et des sinuosités »). VI – La syllepse consiste à utiliser un mot dans son sens propre ET dans son sens figuré : « Nouveau venu qui cherches Rome en Rome / Et rien de Rome en Rome n’aperçois… » (Rome = la grandeur impériale / Rome = la ville réelle). Une