La Victime Du Meurtre

étape Les enquêtes. 7ème étape La découverte de la vérité. C-LES PERSONNAGES Il y a multitude de personnages dans l’œuvre. Mais nous nous intéressons seulement qu’à quelques uns vues leur symbolisme. 1-Les personnages principaux : *Héro : ATUMBI -Victime -André KOH -Serigne LADJI -Bango BESSO -Solo DOMBO -Bado TRAORE Sanko KAMAGA Ce sont ces personnages qui symbolisent la traitresse, la cupidité. Ils sont également l’image de la bourgeoisie africaine. *Kondimi -Abia C’est l’image de la femme libre

limiter d’abord les hypothèses d’application de ce châtiment afin d’obtenir cette abolition totale souhaitée. Robert Badinter, par sa plaidoirie convaincra les jurés de ne pas condamner Patrick Henry à la peine capitale pour l’enlèvement et pour le meurtre qu’il a commis de l’enfant Philippe Bertrand, alors âgé de huit ans, du 30 janvier 1976 à la sortie de son école. Les États abolitionnistes sont aujourd'hui majoritaires, mais ils ne représentent encore qu'une minorité de la population mondiale.

citoyen est responsable de ses actes. Si crime il y a eu, un juge condamnera le criminel à la peine de mort, celle-ci permettant d'annuler le crime en le compensant. Pour les petits crimes, des indemnités pécuniaires (de l’argent du criminel versé à la victime) voient le jour, afin encore une fois d’équilibrer la balance de la justice. Mais pour les gros crimes (assassinats), la peine de mort est nécessaire. C’est donc la justice d’Aristote qui a inspiré le droit pénal occidental jusqu'au XVIIe siècle

généralement ces droits ne sont pas respectées dans les pays ayant subit ou subissant une guerre civile. Le portrait de la guerre contemporaine : Aujourd’hui, le statut des enfants lors des conflits armés a changé. En effet, ils ne sont plus des victimes mais sont désormais affiliés à des « gangs » et participent eux même à des actes de violences. Ils sont à la merci des groupes armés et sont la cible privilégiée de ceux-ci. Pour plusieurs types de conflits les enfants sont touchés notamment avec

L'avocat général Mesdames, messieurs les jurés, Nous sommes ici pour faire notre devoir de justice vis-à-vis de Monsieur Meursault et de son meurtre horrible. Nous allons d'abord revenir sur le meurtre de manière détaillé, sur les différentes étapes amenant le moment fatidique, où un jeune homme fut tué de sang-froid. Nous remontrons jusqu'aux conséquences de cet acte qui sont de pair avec la psychologique de ce monsieur. Et enfin, nous aborderons le jugement et la peine que mérite cet individu

veuve, Linnea Ravaska, victime de son neveu, Kauko Nyyssönen (Kake) et de ses deux acolytes, Jari Fagerström et Pertti Lahtela (Pera). Ce trio lui vole sa pension chaque mois et un jour, exige qu’elle fasse un testament à leur avantage. Pour elle, c’en est trop et décide de concocter un poison afin de se suicider. Mais elle ne le fera jamais car ses ennemis vont… disparaître ! En effet, la mort de ceux-ci ne sera que pur accident. Nous allons débattre de la culpabilité des meurtres commis envers Kauko

inquiétante. 1) Une scène de meurtre Le moment de la nuit : Minuit et demi, envisagée du point de vue de l’assassin (focalisation interne), qui s’est introduit dans la chambre où dort sa victime. On ne connait que les perceptions de Tchen et l’expression elle-même relève parfois du style indirect libre, ou du discours narrativisé. On envisage donc l’action du point de vue d’un assassin décidé à tuer un homme sans défense, sans que l’on sache pourquoi ce meurtre (vocabulaire éloquent : « frapperait-il

ne se tuent point les uns les autres; mais il peut se faire que l'intérêt particulier et momentané d'un peuple ou d'une classe soit, dans certains cas, d'excuser et même d'honorer l'homicide» Tocqueville ANALYSE Paradoxe du sujet, l'interdit du meurtre apparaît comme une exigence qu'on en commun tous les hommes, pourtant Tocqueville affirme que dans certaines circonstances il est excusé voire glorifié? Dans quel cas? guerre notamment. Il y a donc relativité de la notion de justice. PROBLEMATIQUE

romanesques écrites à la manière de Balzac. La future victime désignée deux fois par « cet homme » (l. 15 et 17), reste anonyme : réduite à un corps immobile, et par une synecdoque, à un pied (l.5, 8 et 16) conformément aux limites de la perception de Tchen, donc en grande partie invisible (comparaison l. 4-5), elle est identifiée seulement comme ennemie de la révolution. A ce stade, le meurtre en soi importe plus que le mobile ou la victime. Le temps semble arrêté, comme suspendu, alors que l’action

celui-ci. Le meurtre et l’inceste entraîneront la démesure et la fin de la cité. Et par la suite, nous verrons comment sa fille Antigone gardera ses propres valeurs et ces propres définitions des lois divines et du respect défini par les dieux auxquels on ne peut désobéir. Tandis que Créon lui défendra les lois établies par l’autorité et la force civile. Œdipe-Roi, le meurtre et l’inceste La tragédie Œdipe-Roi de Sophocle commence par un oracle, réponse des dieux : le coupable du meurtre de Laïos