La Victime Du Meurtre

ALFRED DE MUSSET : LORENZACCIO : ACTE IV SCENE 11 Introduction Depuis le début de la pièce, Lorenzo prépare et organise le meurtre. Nous nous trouvons ici dans l'extrait où l'on nous raconte en direct le meurtre... : I) Les deux personnages "secondaires", le Duc et le maître d'armes A. Le Duc Alexandre Dans cette scène, il reste fidèle à l'image qu'il nous donne depuis le début : c'est un grossier personnage, il attend Catherine ; la tante de Lorenzo et il ne se préoccupe pas de préambules

Cette peine a pour objectif de dissuader la communauté de commettre le même crime en outre, chaque fois que des passants innocents sont détruit par des attentats désastreux, lorsque qu’un enfant est kidnappé et tué par son ravisseur, ou lorsqu’un meurtre incompris se produit, des penser s’élèvent en réclament la peine de mort pour les malfaiteurs. Il s’avère cependant que certaines personnes proclament que la peine de mort capitale n’est pas une solution idéale, voir équitable pour la criminalité

jurés. Je dois vous dire que cette accusation envers Thérèse Raquin me surprend au plus haut point. Non pas qu'elle n'ait rien à voir dans cette histoire, mais la façon dont vous êtes aveuglés est surprenante ! Effectivement, cette femme est une victime, elle aussi. Et ce depuis sa plus tendre, si le mot convenait, enfance. Que savez vous de son passé ? Cette pauvre fille qui a perdu sa mère l'âge de deux ans, lâchement abandonnée par son père dans les bras de sa tante ; tante qui la traitera avec

Sheppard n'a pu sauver Mrs Ferrars, qui vient de se suicider. Il est invité par Roger Ackroyd, grand industriel, ami très proche du docteur et amoureux de Mrs Ferrars. La veille, celle-ci lui a confié avoir empoisonné son mari, un an auparavant, et être victime d'un maître-chanteur dont elle n'a pu lui donner le nom de vive voix. Ackroyd révèle tout ceci au docteur après un dîner agité, quand Parker, le maître d'hôtel, apporte le courrier, dans lequel se trouve une lettre de Mrs Ferrars. L'industriel demande

Mais elle laisse faire le meurtre, dont elle est la complice consciente. Elle révèle, tout au long du récit, un tempérament inquiétant et manipulateur. Elle se perçoit elle-même coupable, ce qui la précipite dans d’intenses souffrances. Comme Laurent, elle connaît l’angoisse et le « détraquement nerveux » (chapitre XVIII, page 144). Contrairement à lui, elle voudrait obtenir le pardon pour sa faute. * Thérèse peut toutefois aussi être considérée comme une victime. Prisonnière d’un mariage et

et inquiétante.  1) Une scène de meurtre Le moment de la nuit : Minuit et demi, envisagée du point de vue de l’assassin (focalisation interne), qui s’est introduit dans la chambre où dort sa victime. On ne connait que les perceptions de Tchen et l’expression elle-même relève parfois du style indirect libre, ou du discours narrativisé. On envisage donc l’action du point de vue d’un assassin décidé à tuer un homme sans défense, sans que l’on sache pourquoi ce meurtre (vocabulaire éloquent : «frapperait-il

vocabulaire de l’odorat 2) La puanteur : pistes pour un commentaire de texte 3) Le parfum : pistes pour un commentaire comparé II – Histoire d’un meurtrier. (Niveau 3°-2nde) 1) Le meurtrier. Dissertation : Grenouille héros ou anti-héros ? 2) Les victimes 3) Du roman au film III – Une histoire au XVIII° siècle : des Lumières à Sade (Niveau 1ère) 1) Une histoire au temps des Lumières 2) La ville au XVIII° siècle 3) Libertinage et révolution IV – Documents I. Deux œuvres d’odeurs : Richesse

abordée une mise en lumière plus psycho-sociologique du crime passionnel. Mais avant de traiter ce sujet de façon plus profondes, quelques généralités… 1) Généralités Le crime passionnel désigne un meurtre ou une tentative de meurtre dont le mobile est la passion ou la jalousie amoureuse. La victime est généralement un être aimé du meurtrier, être ayant trompé le meurtrier, ou l’amant de cet être aimé. Le crime passionnel fait souvent l’objet de dispositions particulières dans la législation. En

phrases) puis deux ou trois parties structurées (pas forcément de plan apparent) et une petite conclusion/ouverture. INTRODUCTION L'origine du mot peine : la puena romaine, c’était une sorte de compensation pécuniaire pour indemniser la victime. Comment l'idée d'une justice est-elle apparue ? Comment les règles de droit sont-elles apparues ? Pour subsister, une société doit mettre en place des systèmes régulateurs. L'être humain a des pulsions agressive, il a bien fallu que les sociétés

des victimes de par l’incompréhension suscitée par la cruauté gratuite de ces actes sur des êtres qui leur sont chers, et pour la communauté environnante. C’est également un phénomène mondial. En effet, il y a par exemple, aux Etats-Unis parmi les plus connus et considérés comme les plus dangereux : Ted Bundy, le tueur de femmes (30 victimes), Edmund Kemper ou l’ogre de Santa Cruz (10 victimes) ; en France : Michel Fourniret (11 victimes) ; en Allemagne : Fritz Haarman (24 victimes) ; en